21/12/05

The Art of Screenprint at Detroit Institute of Arts

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The Art of Screenprint

Detroit Institute of Arts

Through December 31, 2005

 

This exhibition presents the versatility of screenprint by concentrating on the variety of procedures artists employ to create images in this major category of modern printmaking. The objects are selected from the museum’s collection and the archives of Stewart & Stewart, printers and publishers of fine art screenprints in Bloomfield Hills, Michigan, for 25 years. Highlighted artists include Janet Fish, John Himmelfarb, Hunt Slonem and Steven Sorman, among many others. The history of the medium will also be displayed in a small selection of eclectic prints by dozens of other artists working now and in the early 20th century.   This exhibition is free with museum admission.

Programs are made possible with support from the Michigan Council for Arts and Cultural Affairs and the City of Detroit.

Detroit Institute of Arts
5200 Woodward Avenue
Detroit, Michigan 48202
dia.org

Presse Heidelberg Speedmaster CD 74

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Depuis Juin 2005, la plus longue Speedmaster CD 74 fabriquée par Heidelberger Druckmaschinen AG (Heidelberg), plus de 21 mètres, est en production chez le concepteur et fabricant d'emballage carton et plastique ALLIORA.
. La Speedmaster CD 74-2+LY-P-6+LYLX possède une configuration adaptée aux besoins spécifiques et particuliers du métier de l'emballage et comprend 13 groupes (impression, flexo, séchage) ainsi qu'un dispositif de retournement.
. Toutes les possibilités d'ennoblissements en ligne sont ainsi réunies dans une même presse. La combinaison parfaite pour Alliora (groupe ILEOS) qui fabrique entre autre des étuis de luxe pour la cosmétique, le parfum et les spiritueux. Avec trois sites de production en France et un site en Allemagne (Rodgau), le chiffre d'affaires est de 80 millions d'€ et un effectif de 760 personnes.
. La Speedmaster CD 74 est installée sur le site de Saint-Hilaire en Normandie. "Les premières semaines d'utilisation nous confortent dans notre choix. La Speedmaster CD 74 est la réponse adaptée aux nouvelles et futures exigences de productivité, calage rapide, flexibilité et qualité de nos marchés", résume Bernard Bros, Directeur du développement au sein d'Alliora. .
Alliora imprime sur du carton, du carton pelliculé et des matières plastiques. Elle utilise toute l'étendue de possibilité de grammage de la CD 74 qui va de 0,03 mm à 0,8 mm avec un format de 60 x 74 cm. La presse est conçue pour les applications les plus diverses tels que : des emballages jusqu'à 2 couleurs verso et 6 couleurs recto avec vernis recto/verso de protection, brillant ou vernis à particules.
. Pour l'impression en ligne, 8 couleurs sont possibles avec la dépose de plusieurs vernis. D'autres effets sont imaginables en ligne, tels que mat/brillant, or, argent déposé en flexo. La précision des registres, la qualité du transfert du support et la toute nouvelle retiration garantissent un nouveau standard d'impression tout en minimisant les risques de rayures.
C'est pour ces raisons que des supports aussi sensibles que le polypropylène et les cartons pelliculés peuvent être imprimés en recto/verso en 1 seul passage.
Les configurations de presse "à la carte" en petit et moyen format deviennent de plus la règle pour les imprimeurs. Le département "Customized Machines" ou "machines spéciales" progresse de plus en plus. En format 70 x 100 cm, 1 presse sur 5 possède déjà une configuration spéciale. Ainsi aussi les presses en petit format et moyen format de type Speedmaster SM 52 et Speedmaster CD 74 se développent de plus en plus. Par exemple pour la Speedmaster CD 74, plus de 20 pour cent des presses sont des configurations personnalisées. Depuis 2002, plus de 150 CD 74 UV ont été installées à travers le monde. Ces investissements se font dans les pays industrialisés mais aussi de plus en plus dans les pays en fort développement de l'Europe de l'est, en Asie ainsi qu'en Afrique. Les presses spéciales sont équipées pour les besoins spécifiques des clients et permettent surtout une différentiation dans les produits de part les technologies d'impression UV ou hybrides, double groupe vernis, Flexo avant Offset, découpe en ligne et vernissage en reprise.
Grâce à sa conception modulaire et ses possibilités de configuration "presque" sans limites, la Speedmaster CD 74 est la presse universelle pour l'impression en ligne et en retiration dans le moyen format. Depuis son introduction lors de la Drupa 2000, plus de 5.000 groupes de CD 74 ont déjà été installés.

20/12/05

Heidelberg Prinect Image Control

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Les fonctions de Prinect Image Control d'Heidelberg
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Prinect Image Control est un système de mesures des couleurs hautement automatisé pour le suivi couleurs de l'impression. Il permet une mesure spectrocolorimétrique de l'intégralité de la feuille. Les mesures sont enregistrées, puis le système détermine les déviations par rapport à la feuille de référence définie et les ajustements nécessaires à la correction des écarts. Ils sont transmis ensuite directement aux presses pour régler les encriers sur tous les groupes simultanément pour obtenir une qualité d'impression constante. .
Prinect Image Control contient aussi une base de données des tons spéciaux et peut supporter le diagnostic à distance.
. L'histoire de Prinect Image Control
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Prinect Image Control est le résultat d'années de partenariat entre Heidelberg et le fabricant de colorimètres suisse Gretag Macbeth AG. Les premiers développements ont démarré en 1993 sous le nom de code CPC 2S MIB. Le but du projet était de développer une technologie complètement innovante et révolutionnaire, la régulation des presses à partir de mesures colorimétriques des images imprimées. .
Le produit fut présenté pour la première fois sur IPEX à Birmingham en Angleterre, en même temps que le premier pupitre de control numérique Prinect CP2000. Ce nouveau système de mesure couleur était capable de mesurer plus de 160 000 points de la feuille imprimée en moins d'une minute.
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Sa production démarra dès 1999, et il se vit rapidement plébiscité par le GATF Award aux USA en l'an 2000 et plus récemment par le prix de l'innovation pour ses options "Mini Spots" par le magazine Deutscher Drucker.
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Depuis la Drupa 2004, Prinect Image Control est un élément clé des solutions Prinect Couleurs et grâce à ses nouvelles fonctionnalités assure la gestion couleur dans les systèmes intégrés.
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1000ème vente de Prinect Image Control
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"Le millier de systèmes Prinect Image Control installés dans le monde montre l'importance qu'accordent les imprimeurs visant une très haute qualité, à la mesure spectrocolorimétrique. De nombreuses imprimeries reconnaissent que l'investissement dans un flux couleurs optimisé est véritablement rentable car la qualité peut être produite de manière fiable et répétable", explique Jörg Bauer, vice Président de la division Prinect chez Heidelberg.
Le 1000ème système de contrôle spectrométrique de l'image a été installé à l'imprimerie Rasch en Allemagne. Pour expliquer sa décision d'investissement, Uwe Schade, Directeur de Rasch explique: "Notre orientation sur le marché de la qualité implique un intérêt très important pour la gestion des couleurs. Prinect Image Control est une des pierres angulaire du flux couleurs, par sa capacité de mesurer l'image sur la feuille imprimée, en d'autres termes de ce que nous vendons et non pas seulement la gamme de contrôle".

15/12/05

Major focus on digital photography at Macworld Expo 2006

 

IDG World Expo announced a major focus on digital photography at Macworld Conference & Expo 2006, taking place January 9-13, 2006 at San Francisco's Moscone Center. Several new features have been added to this year's event that will provide attendees with more education, services and product insight about digital photography - always one of the most popular topics at Macworld.

Aperture

January's Macworld will mark the first in-depth public training on Apple's newly launched product, Aperture - the first all-in-one post-production tool for professional photographers. Taught by best-selling digital photography author, Derrick Story, this conference session is part of the Power Tools Conference and provides two full days of in-depth training on this powerful tool.

Digital Photography Exhibitors

The leading companies in the digital photography industry will be exhibiting or sponsoring at Macworld. A sample of those exhibiting companies include: Adobe, Canon, Nikon, Olympus, Quark, FileMaker, Lowel-Light, HP, Epson, Filmloop, Light Crafts and B&H Photo-Video-Pro Audio.

Digital Photography Day

Sponsored by Olympus, FileMaker and Lowel-Light, this new Macworld educational feature provides attendees the opportunity to improve digital photography skills in one day under the instruction of top-notch industry photographers. Professional and novice classes will include classroom instruction; outdoor shooting; indoor lighting and shooting; downloading and critique; editing; and organizing and sharing images.

The Dr. Is In - Digital Photography Help

This new Exhibit Hall feature is a complimentary service where attendees can bring prints, camera (bring cables for download) or images on flash storage to the digital photography doctors in the Creative Corner of the Macworld Exhibit Hall and let members of the American Society of Media Photographers give pointers. The Doctors will be in all week. Open to all Exhibit Hall attendees.

Digital Photography Birds-of-a-Feather: ASMP/ SFDIG: "The Digital Camera of 2015"

The American Society of Media Photographers will host Mac industry luminary David Pogue of The New York Times, as he discusses the next decade of digital photography. You'll hear about the screens, batteries, storage devices, and software of the next decade's digital camera, including which current annoyances will go away and which will only get worse. Features virtual video visits from the top visionaries at Kodak, Nikon, and Canon. 1/11/06 at 6:00 p.m. Open to all Exhibit Hall attendees.

Photoshop Feature Presentation

Photoshop expert Russell Brown of Adobe will entertain and educate with an "altered" view of Photoshop, guaranteed to make you smile. Russell will take you on a wild and wacky ride through some of the key new features found in Photoshop CS. 1/13/06 at 10:00 a.m. Open to all attendees.

Photoshop Education

-- Users Conference: "Photoshop Digital Creation: Uncanny Realism," 75 minute session.

-- Users Conference: "Photoshop CS2: Secrets to Levels and Curves," 75 minute session.

-- Power Tools Conference: "Professional Photoshop," two full days of in-depth training.

-- Taste of the Conference: "Photoshop CS: Essential Tips & Tricks," gives essential, time-saving techniques on Photoshop. 1/11/06 at 5:00 p.m. Open to all Exhibit Hall attendees.

Digital Photography Education

Users Conference: Learn how to use a digital camera, take better pictures and share them with friends, family and other associates with sessions on Wednesday. Thursday sessions offer tips, tricks and vision to the advanced Digital Photographer. This track includes five unique 75-minute sessions.

09/12/05

Lee Ufan, Musée d'Art Moderne, Saint Etienne

Lee Ufan 
Musée d'Art Moderne, Saint Etienne 
9 décembre 2005 - 19 février 2006 

L’exposition de l’artiste coréen Lee Ufan, né en 1936, regroupe une quarantaine de peintures et de sculptures, selon un parcours et une sélection décidés par l’artiste.

Les peintures de la série « Correspondance », commencées il y a une dizaine d’années, présentent une ou deux touches gris-bleu sur un fond blanc infiniment vide, puisqu’il se prolonge dans le mur blanc du musée. Le minimalisme apparent relève en fait d’une composition gestuelle dans laquelle le peintre confronte sa présence à l’espace sur lequel il agit. Parallèlement à la peinture, ses sculptures exaltent des matériaux comme la pierre et la plaque de fer et jouent sur les notions d’espace, de vide, d’intermédiaire et de confrontation entre le naturel et le pensé.

En limitant l’acte de faire et en le combinant avec des choses non-fabriquées, Lee Ufan laisse entrer et interférer l’extériorité, et nous invite aux « confins » du visible et de l’invisible, du fini et de l’infini.

Catalogue Lee Ufan, 64 p., 40 illustrations. Co-édition Musée d’art moderne, Saint-Etienne Métropole / Communic’Art. Bilingue français/anglais. Texte d’Okyang Chae-Duporge, « L’espace non-agi dans l’œuvre de Lee Ufan ».

Musée d’Art Moderne de Saint-Etienne Métropole
www.mam-st-etienne.fr

07/12/05

Osvaldo Romberg au MAM de Saint-Etienne - Exposition Architectures narratives

Osvaldo Romberg – Architectures narratives
Musée d'Art Moderne, Saint Etienne
9 décembre 2005 - 19 février 2006

Le Cabinet d’arts graphiques du Musée d'Art Moderne de Saint Etienne poursuit sa vocation de montrer les œuvres sur papier d’artistes contemporains avec une exposition consacrée à Osvaldo Romberg, déjà présent dans l’exposition Domicile : privé/public.

Les 67 aquarelles présentées à l’occasion de cette exposition ont été réalisées à partir de plans d’architectes. La réflexion autour de l’architecture comme métaphore d’une narration est une thématique particulièrement chère à l’artiste, que ce soit à partir des plans d’édifices religieux de la Renaissance ou de l’époque baroque, ou autour de plans plus récents et plus proches du Musée, comme ceux de Le Corbusier à Firminy. En retravaillant ces plans, Osvaldo Romberg donne à voir le travail de l’architecte comme une œuvre d’art – au-delà de sa dimension fonctionnelle – en même temps qu’il interprète chaque structure pour mieux montrer le sens sociologique que la forme détient en elle-même, créant ainsi une étonnante narration à partir de figures familières.

Catalogue : Osvaldo Romberg, 48 p., 15 ill., bilingue français/anglais.

Musée d’Art Moderne de Saint-Etienne Métropole
www.mam-st-etienne.fr

05/12/05

Joan Miró, Galerie Sandrine Mons, Nice - Graphics

Joan Miró: Graphics
Galerie d’Art Moderne et Contemporain Sandrine Mons, Nice
10 décembre 2005 – 18 février 2006

La Galerie d’Art Moderne et Contemporain Sandrine Mons à Nice présente une sélection d’œuvres graphiques par l’artiste catalan, Joan Miró (1893-1983). 
L’œuvre de Joan Miró n’est pas seulement gigantesque, fruit d’une vie entière consacrée à la création artistique, elle perdure dans sa capacité à nous interroger, à nous fasciner. Elle fascine parce qu’elle cache plus qu’elle ne révèle, concilie l’infime et l’infini. Elle présente des couleurs et des formes dont les harmonies rythmiques et suggestives allient l’humour et la fraîcheur enfantine à l’intuition du surnaturel. 

Celui dont André Breton disait qu’il est le plus surréaliste de tous n’aura de cesse de chercher à « atteindre le maximum d’intensité avec le minimum de moyens » (Joan Miró). 
Grâce à l’épuration de sa rhétorique visuelle et l’alliance des mots, il créa un langage plastique singulier qui fera de lui une figure à part dans l’histoire de l’art du XXème siècle. En constant dialogue avec ses contemporains, il dit préférer l’écriture à la peinture et fait de sa collaboration avec des écrivains l’une de ses principales activités. 

Joan Miró est à l’origine d’une multitude d’œuvres sur tous supports dont la production et la distribution s’écartent des réseaux traditionnels liés aux Beaux-Arts. Il crée des livres, des affiches,  des estampes, des œuvres qui peuvent circuler et faire de son art un bien commun. Dans l’exposition présentée par la Galerie d’Art Moderne et Contemporain Sandrine Mons, ces pièces révèlent combien ces œuvres de distribution plus large ne forment pas seulement un écho de son œuvre picturale mais constituent le cœur même de la pensée artistique de celui qui dira qu’« un brin d’herbe est aussi gracieux qu’un arbre ou une montagne ».

Catherine Somzé, Amsterdam 2005
Galerie d’Art Moderne et Contemporain Sandrine Mons
8 rue Dalpozzo, 06000 Nice
www.galeriemons.fr

04/12/05

Foire des Antiquaires de Belgique 2006, Bruxelles

Foire des Antiquaires de Belgique, Bruxelles
20 - 29 janvier 2006

Du 20 au 29 janvier 2006, la Foire des Antiquaires de Belgique attend dans ses somptueux quartiers, encore plus vastes, plus de 30.000 amateurs, collectionneurs et professionnels des antiquités. Cette 51ème édition, placée sous la nouvelle présidence de Madame Zeberg, sera résolument progressiste puisque la Chambre royale des Antiquaires de Belgique a choisi d’ouvrir sa foire aux arts modernes et contemporains. En maintenant toujours une proportion de 40% d’exposants étrangers, la foire devrait confirmer cette dimension internationale, désormais bien assise depuis son transfert vers les espaces du Bâtiment A de Tour & Taxis. En augmentation, le nombre d’exposants issus des quatre coins du globe passe désormais à 120. Le salon se renforce et se maintient donc dans une évolution continue, où les acquis sont solidifiés tout en poursuivant cette rigueur objective qui fait la réputation de l’événement : allier exigence de qualité, luxe, raffinement et professionnalisme à l’intention d’un public d’acheteurs très averti.

Créée en 1955, la Foire des Antiquaires de Belgique est aujourd’hui l’un des plus anciens et plus prestigieux salons. Elle constitue désormais un rendez-vous incontournable au sein du calendrier international des antiquités. Organisée par la Chambre Royale des Antiquaires de Belgique, fondée en 1919, elle offre l’occasion, chaque année, aux professionnels comme aux amateurs, de regarder et de s’informer tout en prenant la mesure du marché et en créant de nouveaux contacts. La foire a toujours privilégié la qualité et garantit l’authenticité de son offre grâce à une sélection rigoureuse entreprise par un Comité d’Experts indépendants. Forte de ses acquis en termes d’exigence et de prestige, elle se tourne aussi vers l’avenir en relevant sans cesse de nouveaux défis.

Après la présidence de Monsieur Jan De Maere qui lui insuffla le souffle que l’on sait, c’est au tour de Madame Grethe Zeberg de prendre les rênes de la foire. Etablie depuis plus d’un siècle à Anvers, la Maison Zeberg possède une renommée internationale dans le domaine des meubles, des tapisseries, des sculptures, de l’argenterie et autres objets rares ou exceptionnels de la période comprise entre le XVème et le XVIIème siècle. Au fil des années, hissant le bon goût au rang de leitmotiv de son artisanat et de son activité commerciale, la famille Zeberg s’est constituée une clientèle qui comprend aujourd’hui plusieurs maisons royales d’Europe. La famille Zeberg œuvre à titre bénévole depuis de longues années dans le milieu de l’art, Jenny Zeberg ayant été Vice Présidente de la Chambre des Antiquaires et de la Foire et trésorière de la Cinoa,Grethe Zeberg, sa fille, Présidente de l’asbl Antiquaires Anversois et aujourd’hui de la foire.

Lors de l’édition 2004, la Chambre Royale des Antiquaires de Belgique a investi les superbes et immenses halls de l’ancienne gare de triage de «Tour & Taxis». Situé en plein centre de Bruxelles, cet ensemble architectural de tout premier plan, véritable bijou du patrimoine industriel belge à l’atmosphère magique, constitue incontestablement l’un des atouts majeurs de la foire. C’est pourquoi, afin de permettre l’augmentation du nombre des exposants tout en leur assurant des espaces d’exposition de qualité, la superficie occupée par la Foire des Antiquaires de Belgique a été augmentée et couvrira désormais les salles 1, 2, 3 et 4 dans le Bâtiment A, soit une surface totale de 12.315 m2 de plain-pied. Le tout en des espaces à nouveau orchestrés par le prestigieux duopole de Volume Architecture : Nicolas de Liedekerke et Daniel Culot, dont on a pu apprécier tout particulièrement la maestria lors de la mise en scène des précédentes éditions. Comme il se doit, chaque exposant disposera à nouveau, à sa guise, d’un espace de stand aussi vaste que possible, réparti le long d’allées spacieuses de 4 mètres de large. En outre, l’accès au site demeurera également on ne peut plus aisé, grâce à d’importants espaces de parking gardés pouvant accueillir de nombreux véhicules.

Ces vastes superficies d’exposition autorisent la Chambre Royale des Antiquaires de Belgique à étoffer le nombre de ses participants. Un renforcement, visant toujours plus de qualité, qui s’opère d’une part en faisant appel aux meilleurs antiquaires belges, et d’autre part suivant le souhait de sa nouvelle Présidente, Madame Zeberg, en asseyant la dimension internationale de la foire par le renforcement de la présence d’antiquaires venus d’Allemagne et des Pays-Bas, mais aussi de France, de Grande-Bretagne, d’Italie, du Luxembourg, de Monaco et de Suisse. Tout en conservant au salon une proportion de 40% d’étrangers et de 60% d’exposants belges, le nombre d’exposants français est en forte augmentation avec la participation d’enseignes très prestigieuses qui vont contribuer à renforcer le niveau d’excellence de la foire et à la rendre encore plus concurrentielle. Ainsi de Claude Bernard, Philippe Heim, Patrick Perrin, Antoine Lebel, Alain Marcelpoil, Anne-Marie Monin, Giorgio Salvai et Claude Vittet.

Soucieuse d’élargir toujours plus ses potentialités, l’édition 2006 de la foire s’ouvre enfin aux arts moderne et contemporain en accueillant un groupe de galeries spécialisées dans ces domaines de la création artistique. En effet, le profil de l’amateur d’art et d’antiquités a fort changé ces dernières années, devenant plus éclectique. C’est ainsi que de plus en plus de collectionneurs hybrident leurs collections en mélangeant les arts classiques, modernes et actuels. Des salons démontrent ce changement de mentalité à un niveau international. C’est pourquoi, la Foire des Antiquaires de Belgique a choisi de s’inscrire, elle aussi, dans cette évolution. Aussi a-t-elle procédé à un choix exclusif et international d’une bonne dizaine de galeries parmi les plus importantes en Europe et aux Etats-Unis.

A l’heure où, ce n’est un secret pour personne, la belle marchandise se fait plus rare, le credo de la Chambre Royale des Antiquaires de Belgique demeure plus que jamais la recherche de la qualité ! L’offre artistique, variant désormais de l’Antiquité au classicisme moderne voire à l’art contemporain, impose dès lors un souci de qualité et d’exception constante. C’est pourquoi, les expertises (le vetting) sont-elles ici traitées avec un sérieux et une exigence maximale. Le Comité organisateur a mis sur pied des Commissions d’Experts répartis par section. Constituées de conservateurs, d'antiquaires non-exposants, d’historiens d’art et de restaurateurs, elles opèrent, deux jours, en l’absence de tout exposant. Chaque objet qu’elles examinent étant soumis à l’approbation unanime de leurs membres, sous peine d’être refusé au salon, non parce qu’il est faux mais parce qu’il ne correspond pas aux exigences de qualité requises !

La Foire des Antiquaires de Belgique est toujours l’occasion de découvertes rares, voire exceptionnelles, en un lieu où la rencontre entre les oeuvres et leur public est désormais privilégiée. Le salon s’adresse à deux sortes d’acheteurs : un noyau dur de collectionneurs sérieux et un grand nombre de personnes, tout simplement intéressées, recherchant un bel objet pour leur environnement. Le premier groupe n’achète pas uniquement au coup de cœur, il cherche surtout à constituer des ensembles, car collectionner peut être le but ou l’aboutissement de toute une vie. Le second groupe se constitue d’un public de connaisseurs qui possède en général une éducation au-dessus de la moyenne, a des revenus élevés et croit en la vertu des valeurs patrimoniales. Par la volonté générale de vouloir faire plus et mieux en améliorant sans cesse la participation comme la présentation, la 51ème édition de cette prestigieuse manifestation répond déjà aux attentes des plus exigeants d’entre eux.

Mais soulevons sans plus tarder un coin du voile et révélons quelques-unes des pièces maîtresses qui devraient satisfaire ces visiteurs privilégiés. Dans le domaine de la joaillerie, Epoque Fine Jewels de Courtrai proposera par exemple un exceptionnel collier de chien de style guirlande signé Cartier Paris (vers 1907), en platine et diamants sur ruban de velours noir, à motifs de guirlande, de noeuds et de fleurs. De son côté, la Bruxelloise Georgia Chrischilles proposera une statue tibétaine en bronze doré, datée du XVème siècle, représentant le 5ème Bouddha Manushi ou futur Bouddha Maitreya. De Paris, Georges Salvai apportera un extraordinaire petit meuble à demi-lune de la moitié du XVIIIe siècle, marqueté en ivoire et peint en or sur un fond en bois teint en faux ébène. Pour sa part, le spécialiste lyonnais de l’Art Déco, Alain Marcelpoil exposera un bureau en acajou clouté de forme asymétrique, estampillé André Sornay de 1935 et son fauteuil bridge assorti. Chez Oscar De Vos (Lathem-Saint-Martin), on découvrira une superbe toile de Gustave Van de Woestyne, “Paysan dans son champ” (1909). A noter encore chez Ronny Van de Velde (Anvers), la splendide huile sur toile de James Ensor « La mort et les masques » de 1927. Enfin dans le domaine des antiquités, retenons le très beau portique en tilleul sculpté, doré et polychromé, daté de la fin du XVIIème siècle et exécuté en Italie du Nord, qui sera visible chez l’antiquaire Zeberg d’Anvers.

Chambre Royale des Antiquaires de Belgique
Rue Ernest Allard 32, B-1000 Bruxelles
www.antiques-fair.be

Exposition Wolfgang Laib, Fondation Beyeler, Riehen / Bâle - "L’éphémère, c’est l’éternité"

Wolfgang Laib 
L’éphémère, c’est l’éternité 
Fondation Beyeler, Riehen / Bâle 
27 novembre 2005 – 26 février 2006 

Né en 1950 à Metzingen en Allemagne, Wolfgang Laib est à ce jour le plus jeune artiste auquel la Fondation Beyeler ait consacré une exposition particulière. Celle-ci est née en étroite collaboration avec l’artiste. Par sa sobriété, l’espace de la Fondation Beyeler, conçu par Renzo Piano, permet une approche particulièrement intense de l’œuvre de Laib.

La création tout à fait singulière de cet artiste, qui repose sur l’emploi de matériaux naturels, fait de Laib une des personnalités marquantes de l’art de ces trente dernières années. Après les expositions que lui ont consacrées plusieurs galeries et musées suisses (dont, en 1990, le Kunstmuseum de Lucerne et plus récemment, en 2003/04, la Galerie Caratsch de Pury & Luxembourg de Zurich), la Fondation Beyeler est le premier établissement suisse à présenter une rétrospective, prenant ainsi en compte tous les aspects de son œuvre. Wolfgang Laib, qui travaille notamment avec du pollen, du lait, du riz et de la cire, se concentre sur un petit nombre de séries dont il poursuit le développement sous forme de cycles. Présentées dans cette exposition, elles révèlent pleinement les dimensions inhabituelles que les installations de cet artiste confèrent à l’espace d’exposition moderne. Ces dimensions sont indissociables de la profonde spiritualité de Laib et de la fusion entre éléments orientaux et occidentaux qui caractérise son œuvre. Médecin de formation, Laib est tout aussi marqué, en tant qu’artiste et en tant qu’homme, par les rites, les formes et la sagesse orientaux que par la mystique d’un saint François d’Assise ou par des artistes modernes comme Mondrian, Malevitch, Brancusi ou Joseph Beuys.

On découvrira dans cette exposition vingt œuvres spatiales ainsi qu’une trentaine de dessins et de photographies, dont certains travaux qui n’ont encore jamais été présentés en Suisse. Chronologiquement, l’exposition s’ouvre sur l’un des deux Brahmandas (Œufs-mondes) en pierre massive, que l’artiste a réalisés au début des années 1970 et qui marquent le commencement de sa carrière artistique. Suivent les Pierres de lait (Milchsteine), premières pièces de musée de Laib, qui voient le jour à partir de 1975 et qu’il continue de décliner aujourd’hui. Les Pierres de lait sont des objets d’une grande sobriété, installés à même le sol. Sur leur partie supérieure, les blocs de marbre rectangulaires présentent une légère déclivité, quotidiennement remplie de lait. Le marbre blanc et le lait se fondent ainsi en une unité indissociable de solidité et de fluidité. Suivent les célèbres Champs de pollen, dont on a déjà pu découvrir certains lors d’expositions temporaires de la Fondation Beyeler (La Magie des arbres, 1998 et Le Mythe de la fleur, 2005). Ils sont constitués de poudre de pollen éclatante, répandue sur le sol du musée où elle dessine des rectangles d’une luminosité magique. L’artiste le recueille lui-même dans les prairies et les forêts de pins de sa Haute Souabe natale. La mise en place du pollen, conservé dans des récipients de verre, fait l’objet d’un processus méticuleusement défini. Sur les photographies publiées dans des catalogues ou des articles de journaux et qui conservent la trace de ce processus, l’artiste apparaît comme un Jackson Pollock méditatif, éparpillant une abstraction spirituelle de pure nature dans le White Cube profane, l’espace d’exposition classique de l’art moderne.

Dans des œuvres comme les Pierres de lait ou les Champs de pollen qui invitent à une contemplation paisible, l’artiste enrichit la salle de musée d’une nouvelle dimension de perception. Il faut attendre les séries ultérieures pour le voir commencer à s’évader du calme statique de l’œuvre et envahir l’espace. C’est le cas, par exemple, des Repas de riz (Reismahlzeiten) – assiettes de laiton remplies de riz, disposées longitudinalement, – ou des petites Cinq montagnes que l’on ne peut escalader (Die fünf unbesteigbaren Berge), réalisées à partir de tas de pollen. Ici, l’œuvre nous invite à la longer et à mesurer à son rythme l’espace dans lequel elle est présentée. Cette tendance à une dynamique spatiale s’accentue considérablement dès que l’artiste se lance dans des travaux de plus grandes dimensions, qui partent également, et de façon croissante, à la conquête de la verticalité. On peut citer, à partir de 1995, les tours qui se dressent sous forme d’escaliers des Ziggourats (Zikkurats) et les Bateaux de cire (Wachsschiffe), qui parcourent l’espace sur de hauts châssis de bois. Les Ziggourats citent des formes d’architecture religieuse orientale, qu’elles traduisent dans un langage que l’on peut appréhender dans l’espace du musée : tandis que notre regard suit la topographie des tours, l’espace du musée se transforme sous nos yeux en lieu d’ascension métaphorique, dont la nature n’est pas exclusivement esthétique. Cette idée de mouvement est encore plus perceptible dans les Bateaux de cire, dont certains, sur leurs châssis de bois, conduisent déjà d’une salle à l’autre. Ici, Wolfgang Laib nous présente le White Cube du musée comme un lieu dont les frontières ne sont pas infranchissables. Jadis récipient d’un statisme artificiellement animé, il devient lieu de départ d’un voyage mythique. À la Fondation, les Bateaux de cire trouvent un lieu d’exposition spectaculaire au Foyer du musée, où ils rencontrent une œuvre monumentale de l’UBS Art Collection, exposée simultanément au musée, mais dans un autre espace.

L’exposition permet à découvrir également des exemples majeurs d’œuvres se présentant elle-mêmes comme espaces, un sommet de la création de Laib. Citons d’abord les Chambres de cire (Wachsräume) créés dès la fin des années 1980, dont on peut découvrir ici un exemplaire. Ne se contentant plus de l’espace (de musée) existant, Laib façonne lui-même des espaces oblongs revêtus de cire mais vides par ailleurs, auxquels la présence du spectateur apporte un complément idéal : l’œuvre elle-même se transforme en lieu. La même observation s’applique à un nouveau travail, la Chambre de laque (Lackraum), fait de laque noire et cinabre tirée de résine de thitsi originaire de Birmanie (Myanmar). Mais si les Chambres de cire et la Chambre de laque transportables sont conçus comme un espace dans l’espace, un dernier pas est franchi comprenant de tels espaces qui sont directement intégrés dans la nature : l’art de Laib s’y émancipe entièrement du White Cube. Il n’existe que deux de ces Chambres de cire, dont l’un a récemment vu le jour sur un terrain appartenant à l’artiste. Il n’est pas accessible au public et figure pour la première fois sous forme de photographie dans le catalogue de l’exposition de la Fondation Beyeler.

On peut également découvrir d’importants travaux du cycle des Maisons de riz (Reishäuser) en forme de coffres, un escalier de laque recouvert de laque birmane et une œuvre murale faite d’éléments de cire triangulaires, qui n’a encore jamais été présentée. Un choix de dessins et de photographies de l’artiste complète l’exposition. Alors que les dessins permettent à Laib d’élargir son travail spatial par des méditations à la fois précises et libres sur papier, les photos témoignent du regard artistique qu’il pose sur des paysages, des monuments et des objets (souvent sacrés), originaires pour la plupart du Proche et de l’Extrême Orient et qui sont d’un immense intérêt pour la compréhension de son œuvre. Ces travaux témoignent en même temps des affinités singulières de Laib avec la dimension du religieux et du contemplatif. Ce lien a conduit certains auteurs à percevoir chez lui une forme d’antagonisme, l’aspect conceptuel et artistique du concept de Laib s’inscrivant, selon eux, dans la pensée occidentale, contrairement à son aspect idéologique et religieux, qui relèverait de l’Orient.

Tel n’est pas l’avis d’Harald Szeemann, particulièrement proche de l’artiste. Il considère que ces deux composantes sont déjà réunies et anticipées par d’autres artistes, dont il considère Laib comme le successeur : Kandinsky, Mondrian et Brancusi. Selon Szeemann, Wolfgang Laib « … n’est pas un européen indianisé qui sert du contexte de l’art, mais il est un contemporain conscient qui indique à travers des gestes sculpturaux minimes, des espaces intérieurs gigantesques ».

Ce ne serait évidemment pas possible sans la position personnelle tout à fait particulière de l’artiste qui réunit des forces extrêmement différentes — depuis une figure comme Bouddha en passant par François d’Assise pour aller jusqu’au mystique soufi Jelaluddin : Laib se présente donc comme un artiste contemporain qui, depuis plus de trente ans, s’accroche au concept radical d’une unité inclusive. Un peu de ce radicalisme résonne dans le sous-titre de l’exposition, inspiré de propos de Laib : — « L’éphémère, c’est l’éternité ».

Les éditions Hatje Cantz ont publié un catalogue bilingue (allemand, anglais) de 124 pages et 50 illustrations en couleurs (CHF 68. –). Il contient des contributions de Christoph Vitali, Katharina Schmidt, Philippe Büttner et Ulf Küster.

FONDATION BEYELER
Baselstrasse 101, 4125 Riehen/Basel
www.beyeler.com

01/12/05

Larry Clark, Tulsa and Teenage Lust - Simon Lee Gallery

 

Larry Clark holds a seminal position in American photography. Widely known for his treatment of teenage sexuality, violence and drug use, Clark’s contentious photographs and films are simultaneously unimaginable and unforgettable. Simon Lee presents selections from both Tulsa (1963 - 1971) published in 1972 and Teenage Lust (1963 - 1983) first published in 1983 and expanded in 1987.

The trajectory of Clark’s career and often-controversial representations of American youth culture have their roots in Clark’s marginalized origins and his own early outlaw existence. Clark’s mother was a travelling baby photographer whom he assisted as a salesman and photographer. Used to having his camera by his side, Clark discovered that his friends were willing subjects for what were to become pivotal explorations into the underbelly of the American dream. Clark’s candid engagement with his milieu has seen him pursue important social issues pertaining to the construction of masculinity in American culture, the exploitation of teenagers by the mass media and the destructiveness of dysfunctional family relationships.

Tulsa (1963-1971), which was gathered on several forays in Clark’s home-town in Oklahoma, is now considered a classic memento mori of the period. Clark’s ability to encapsulate the social and cultural shifts in American society is one of the overriding strengths of Tulsa and marked him as a significant figure in the canon of late twentieth century photography. The subjects of Tulsa were Clark’s drug buddies and his unselfconscious handling of the drugs scene and its repercussions, make for unsparing statements on Vietnam-era America. Clark’s own teenage years correlated with an increasing rejection of the middle-class ethos in the 1940s and 1950s. The youth rebellion that became endemic in post-war American was indicative of a breakdown in consensus. This coincided with a period of paranoia relating to security issues ranging from Communist infiltration to organised crime. Culturally this rejection was reflected by the Beat literature of writers like Jack Kerouac and William S. Burroughs and also influenced movies including, Rebel without a Cause (1955), Blackboard Jungle (1955) and I was a Teenage Werewolf (1957).

The alienation from mainstream society that Clark’s early imagery evokes is perpetuated in his second series of photographs, Teenage Lust (1963-1983). This series chronicled the next generation of Tulsa teenagers as well as male hustlers in New York City. It consists of out-takes from Tulsa and new material, which is loosely autobiographic. Teenage Lust has an awkwardness reflecting Clark’s desire to make sense of his life and brings him full circle recalling the activities in Tulsa he was attempting to escape. His desire to implicate himself in the narrative of Teenage Lust saw him using additional devices such as confessional text, news clippings and family photographs. Ultimately this series established Clark’s enduring impulse towards the margins and his desire to offer an insight into subcultures largely unseen by a wider public.

Larry Clark’s remarkable influence on the style and subject matter of subsequent generations of photographers and filmmakers has been extensively acknowledged. His mythologizing of the criminal margins reflects an age-old fascination within American culture. This defining myth and Clark’s particular preoccupation with mass media’s exploitation of adolescents, has influenced the work of photographers such as Richard Prince and Nan Goldin. His recognized impact on Hollywood is present in the films such as Taxi Driver (1976) by Martin Scorsese, Rumble Fish (1983) by Francis Ford Coppola and Drug Store Cowboy (1989) by Gus Van Sant.

In 1995 Larry Clark released his first feature film, Kids which was lauded as an instant classic. Other film projects include Another Day in Paradise (1998), Bully (2001), Teenage Cavemen (2001), Ken Park (2002) and his most recent feature Wassup Rockers (2005).

Larry Clark’s work is represented in the photography collections of many major museum collections, including the Metropolitan Museum of Art, New York, The Museum of Modern Art, New York, The San Francisco Museum of Modern Art and Pinakothek Der Moderne, Munich.

 

On 17th December, the ICA in collaboration with Simon Lee screens Bully (2001). After the screening there is a conversation between Larry Clark and Jens Hoffman, Director of the ICA.

 

updated 2009

Roger Ballen - Shadow Chamber - Livre

Shadow Chamber regroupe une sélection de 71 photographies inédites en noir et blanc. L’introduction de Robert A. Sobieszek analyse l’approche unique de Roger Ballen en la situant dans le contexte de l’histoire de la photographie. L’auteur est conservateur du département de photographies au Los Angeles County Museum of Art et fut notamment le directeur des collections photographiques à la George Eastman House in Rochester, à New York. On lui doit également : LACMA's Robert Smithson: Photo Works et The Camera I: Photographic Self-Portraits from the Audrey and Sydney Irmas Collection.
Shadow Chamber
Photographies de Roger Ballen
Texte de Robert A. Sobieszek
300 x 280 mm, relié, 128 pages 71 photographies noir et blanc
Prix : 59,95 €
Phaidon, 2005,