31/05/10

VOLTA 6 Basel June 16-20, 2010

 

VOLTA6 Basel 2010

 

VOLTA6 - Basel

16 - 20 June, 2010

 

VOLTA, now in its sixth edition, gathers a unique selection of 81 highly respected international galleries for exhibition in the fresh new venue, the Dreispitzhalle. 

The 2010 Curatorial Board—composed of Adam Budak, curator of Kunsthaus Graz and co-curator of Manifesta 7;  Jacopo Crivelli Visconti , Critic & Curator, Sâo Paulo,  Christoph Doswald,  art  critic and curator, Zürich; Jasper  Sharp, curator and writer, Vienna; and  Stephanie Smith, contemporary curator at Smart Museum of Art, Chicago—worked through more than 350 applications to select 81 galleries from 28 countries

This eighty-one strong group of both emerging and mature galleries, emphasize the internationalism of the board and the continued focus and ideology of VOLTA Basel: to showcase a strong, curatorial selected presentation of artwork from a range of galleries in experience and identity. 

On the strength of the New York edition, the Basel curators conceived a new section, VOLTA SOLO in which 15 out of the 79  booths will be dedicated to strictly single artist presentations. In true VOLTA style, these are presented by both emerging galleries  new to  the VOLTA platform alongside mid-career galleries, all presenting artists on the cutting edge in a close and dedicated form of collaboration. 

The VOLTA SOLO Section comprises  Galerie Baer with  local  Dresden-based artist  Hannes Broecker ;  Tokyo gallery MA2  with Akihiro Higuchi ; the Parisian ColletPark with  Herwig Weiser  (Vienna/Cologne); Berlin’s magnus müller with 2008 Whitney Biennal participant Ellen Harvey; Georgia Scherman Projects from Toronto with  homegrown duo  Jennifer Marman &  Daniel Borins; Motive from Amsterdam representing Paris-based  Raphaël Zarka; P.A.R.A.S.I.T.E, Ljubjana,  presenting local artist  Tadej Pogacar ; acb galeria from Budapest with the Hungarian  artist  Gyula Várnai  from the city of Dunaújváros; moniquemeloche  from Chicago with local artist Justin Cooper ; galerieofmarseille representing local artist  Hervé Paraponaris; Republic representing Vancouver-based interdisciplinary artist  Holly Ward;  Zaum Projects  from Lisbon with Berlin-based Katrin Korfmann; and finally Ybakatu Espaço de Arte out of Curitiba, Brazil,  showcasing the works of São Paulo-based artist João Loureiro.

Indeed, with the addition of a Brazilian-based curator to the Curatorial Board former VOLTA exhibitors such as Eduardo Leme and Nara Roesler  (São Paolo) are joined by newcomers Ybakatu Espaço  de Arte  (Curtiba)  as well Laura Marsiaj  (Rio). Other geographical areas with newly enlarged representation include Canada—with a gallery from each of the three major cities: Georgia Scherman Projects, Toronto; Republic Gallery, Vancouver; and Parisian Laundry; Montreal—and Italy with five galleries from four major cities: V.M. 21 and  Furinin arte contemporanea,  Rome; Magrorocco, Milan; Umberto Di Marino, Naples; and Perugi arte contemporanea, Padua.

Adhoc gallery, Vigo, exhibited the work of artists Jasmina Cibic and Jorge Perianes.

 

JASMINA CIBIC, Ideologies of Display (Tyto alba), 2008

JASMINA CIBIC, Ideologies of Display (Tyto alba), 2008, lambda c-type print diasec mounted, 120 x 120 cm. Ed 5, Courtesy adhoc gallery, Vigo / Volta 6, Basel.

 

 JORGE PERIANES, 2010

JORGE PERIANES, Untitled, 2010, wood, wood pulp, acrylic painting, 67 x 52 x 7 cm, Courtesy adhoc gallery, Vigo / Volta 6, Basel.

 

Artists showing at VOLTA6 UNCOVERED included Marlon de Azambuja presented by the gallery Furini Arte Contemporanea, Rome, and Kristof Kintera presented by the gallery Jiri Svestka, Prague.

 

Marlon de Azambuja, Evidencia, 2010

Marlon de Azambuja, Evidencia, 2010, Color print on alluminium, 100 x 75 cm, Courtesy Furini Arte Contemporanea, Rome / Volta 6, Basel.

Marlon de Azambuja, Metaesquema, 2009

Marlon de Azambuja, Metaesquema, 2009, drawing on photo, 20 x 30 cm, Courtesy Furini Arte Contemporanea, Rome / Volta 6, Basel.

 

Kristof Kintera, Paradise now, 2009

Kristof Kintera, Paradise now, 2009, zinc - coated steel, each 200 x 250 x 50 cm, by now 12 pieces, Courtesy Jiri Svestka, Prague / Volta 6, Basel.

 

Twenty-five of the 81 exhibitors are new to the platform, including (excluding those already mentioned above): 

van der Mieden Galerie (Antwerp);  Crown (Brussels);  acb Gale ria (Budapest);  moniquemeloche (Chicago);  Galerie Christian Lethert (Cologne);  Specta (Copenhagen);  Galerie Baer  (Dresden);  Kevin Kavanagh  Gallery (Dublin);  Zaum  Projects, (Lisbon);  P.A.R.A.S.I.T.E. Institute (Ljubljana);  Danielle Arnaud Contemporary (London); Madder139 (London); Formato Comodo (Madrid);  LOST Projects and Pablo Art Gallery (Manila);  Pobeda  (Moscow);  Y Gallery (New York); Galleri Erik Steen (Oslo);  galerie  ColletPark and  Schirman et de Beaucé (Paris); adhoc Galeri a (Vigo).

With its fresh new location, a return  to the tightly-focused grouping of earlier years, a strong and respected curatorial board and a thought-provoking selection of 81 international galleries,  VOLTA6 “remains the world-renowned, cutting-edge art event in Basel”, said the organizers..

VOLTA was founded in 2005 by dealers Kavi Gupta (Chicago); Ulrich Voges (Frankfurt) and Friedrich Loock (Berlin).

 

VOLTA 6 BASEL

Location
Dreispitzhalle
Dreispitz Area Gate 13
Helsinki Strasse 5
Münchenstein/Basel

Expo Art Orienté Objet - Magasin CNAC Grenoble

Exposition Art contemporain > Art Orienté Objet > L’Alalie
Exposition Art contemporain > Grenoble > Magasin CNAC de Grenoble

 

Art Orienté Objet, L’Alalie

MAGASIN - Centre National d'Art contemporain de Grenoble

Jusqu’au 6 septembre 2010

 

L’alalie, titre de cette exposition, désigne un moment où l’on n’arrive plus à parler, où l’on est comme bloqués. La situation dans laquelle on se trouve nous apparaît trop complexe, trop pleine de contradictions. On est dépassé par ce qui se passe devant nous. A tel point qu’aucune solution ne semble possible. On est alors  incapables de dire quelque chose et d’agir.

Le duo Art Orienté Objet est créé il y a une quinzaine d’années par Marion Laval-Jeantet et Benoît Mangin. Dès le début il se rapproche d’artistes comme Mark Dion, qui les invite à ses côtés dans des expositions de groupe.

Art Orienté Objet fait partie de ces quelques artistes dont le travail interroge les questions environnementales, anthropologiques, voire scientifiques dans un sens commun, dont ils recyclent les protocoles d’expérimentation et les modes de représentation.

L’exposition conduit à cette interrogation : Face à des questions si complexes qui se posent à nous, peut-on encore agir ?

Pour le MAGASIN ils conçoivent une exposition dont le titre choisit par les artistes est L'alalie. Ce titre est celui de l’une des pièces principales de l’exposition. L’alalie, comme on l’a dit,  désigne un moment « d'aphasie », c’est-à-dire cet instant où l’on ne parvient plus à parler, où tout semble s’arrêter. L’exposition regroupe un ensemble de pièces dont la plupart sont créées pour l’exposition et qui sont soumises à un protocole expérimental scientifique et technique, qui fait évoluer leur forme pendant la durée de l'exposition ou la fait même disparaître dans certains cas.

L’exposition témoigne de cette impression croissante que l’on peut avoir : face aux enjeux écologiques actuels nous sommes en présence de telles contradictions que l’on se demande s’il est encore possible d’agir, de modifier la situation dans laquelle on est.

Chaque pièce est présentée comme un oxymore, c’est à dire quelque chose qui apparaît contradictoire, qui se joue du rapport entre attirance et répulsion ressenti par le spectateur. Chaque oeuvre fabriquée agit comme un arrêt sur image, qui témoigne d’une si grande contradiction qu’elle en devient vertigineuse.

Marion Laval-Jeantet et Benoît Mangin, définissent ainsi le projet L’alalie :

« Dans le monde du Vivant où l’homme fait figure de prédateur terminal, nous voudrions proposer un scénario d’anticipation où l’artiste laisse la parole en suspens pour n’offrir que des oeuvres ayant trait au vertige existentiel de la disparition et de la mutation. Le terme le plus juste pour définir cet état serait pour nous « l’alalie », du nom d’une des pièces proposées. L’alalie, un mutisme soudain où l’esprit se trouve plongé de trop d’évidence. A l’image de l’oeuvre éponyme où les langues rares disparaissent avec les langues communes, l’homme avec les animaux, nous arrivons à un moment où l’expérimentation nous a conduits au silence verbal, nous ne pouvons que laisser les oeuvres parler d’elles-mêmes, « réciter » un monde où l’homme se doit d’abord d’observer.
Ces oeuvres, loin d’être des hypothèses purement scientifiques ou anthropologiques, sont avant tout des objets actifs, des efficaces, qui offrent l’hypothèse que l’art est un des rares vecteurs de l’anticipation. Mais aussi qu’il peut produire des projections à même de « guérir » un état où le monde ne peut plus être appréhendé, tant sa complexité est grande. Ainsi, toutes ces oeuvres mettent en jeu la confrontation d’éléments perceptibles antinomiques, révélatrice de processus invisibles. Chacune de ces pièces est tirée d’une expérience vécue ».

Les spectateurs découvrirent progressivement ces pièces, organisées dans les galeries d’exposition comme sur le cheminement d’un parcours initiatique.

 

ART ORIENTÉ OBJET, L’ALALIE

30 mai – 6 septembre 2010

MAGASIN – Centre National d'Art Contemporain de Grenoble
Site Bouchayer-Viallet
155 cours Berriat
38000 Grenoble

www.magasin-cnac.org

Vente Art Antique Drouot Montaigne

Marché de l’art > Enchères > Annonce > Paris > Civilisation Egyptienne, Art Romain, Art Grec
Marché de l’art > Pierre Bergé & associés

 

Vente Archéologie
Paris - Drouot Montaigne - 17 juin 2010 à 14 heures
Exposition 15, 16, 17 juin 2010

Le 17 juin prochain, sera présentée, lors de la vente Pierre Bergé & associés, une sélection d’importantes oeuvres antiques, partie de collections prestigieuses et propriétés de divers amateurs.

 

Civilisation Egyptienne

Comme à l’habitude, l’Egypte réservera quelques temps forts, avec en particulier un précieux étui à khôl Nouvel Empire, un rare hippopotame Moyen Empire, dans un état de conservation exceptionnel, ainsi qu’ un unique shaouabti, seul exemplaire intact connu à ce jour, donné avec certitude à Ramsès II.

 

Etui à khôl. Egypte, Nouvel EmpirePrécieux étui à khôl
Egypte, Nouvel Empire. Patte de verre. H : 10,9 cm
Provenance :  Collection W. Arnold Meijer. Ex collection hollandaise, 1930.
Publié dans Objects for Eternity, 2006.
Exposition :  Musée Allard Pierson, Université d’Amsterdam, 2006-2007.
Estimation : 50 000 / 70 000 €

Photo © et courtesy Pierre Bergé & associés

 

 

 

hippopotame_egypte_moyen-empire Rare hippopotame
Egypte, Moyen Empire. Terre siliceuse à glaçure bleue et noire.
Provenance : Collection particulière, NY, 1990. Ex collection suisse, années 1970.
Estimation : 60 000 / 80 000 €

Photo © et courtesy Pierre Bergé & associés

 

 

 

 

 

shaoubati_ramses-ii Exceptionnel shaouabti de Ramsès II
Egypte, Nouvel Empire, XIXe dynastie, règne de Ramsès II.
Terre siliceuse à glaçure vert-bleu et noire. H_16,6 cm
Provenance : Collection particulière, France, acquis en 1981.
Estimation : 20 000 / 30 000 €

Photo © et courtesy Pierre Bergé & associés

 

 

 

 

 

 

 

Art Romain, Art Grec & Hellénistique   

Les civilisations du bassin méditerranéen seront bien représentées, avec en particulier un exceptionnel bronze représentant un éphèbe, une monumentale tête de la déesse Demeter ayant appartenu à Joseph Shitrit au début des années 1960 et un rarissime torse grec de la célèbre collection bavaroise K.H. Oedekoven

 


bronze_etrusque_ephebe Exceptionnel bronze représentant un éphèbe
Art étrusque, IIIe - IIe siècle av. J.-C.
Hauteur: 67 cm
Ex. Collection William Herbert Hunt
Publié dans Wealth of the Ancient Art - Kimbell Art Museum, 1983
Private Collections of Texas - European Art, Ancient to Modern, novembre 2009
Expositions : Kimbell Art Museum, Juin 1983 - Virginia Museum of fine Arts, octobre 1983 - Detroit Institute of Arts, février 1984 - Dallas Museum of Art, avril 1984
Estimation : 250 000 / 350 000 €

Photo © et courtesy Pierre Bergé & associés

 

bronze_grec_ephebe Exceptionnel bronze d’un éphèbe
Art Grec, IVe siècle av. J.-C.
Bronze. Hauteur : 54 cm
Provenance :  Ex. Collection K.H. Oedekoven, 1960.
Reproduit dans Mandarin Oriental, Celebration Desination, 2009.
Estimation : 400 000 / 500 000 €   

Photo © et courtesy Pierre Bergé & associés

 

 

 

 


demeter Monumentale tête de Déméter
Art Hellénistique. IIIe - IIe siècle av. J.-C.  
Marbre. Hauteur : 45 cm
Provenance :  Ex. Collection Joseph Shitrit, av. 1965.
Estimation : 250 000 / 350 000 €

Photo © et courtesy Pierre Bergé & associés

 

 

 

 

 

Vente Pierre Bergé & associés

Jeudi 17 juin - 14h00
Drouot Montaigne
15, Avenue Montaigne
75008 Paris

Expositions 
Mardi 15 juin de 11h à 18h
Mercredi 16 juin de 11h à 21h
Jeudi 17 juin de 11h à 12h

30/05/10

Résultats Enchères Tableaux, Sculptures, Meubles et Objets d’art

Marché de l’art > Enchères > Résultats > Bruxelles > Sculptures – Peintures – Objets d’art
Marché de l’art > Pierre Bergé & associés

Salle des Beaux Arts – Bruxelles
Tableaux anciens - Mobilier - Objets d'art cataloguée
Pierre Bergé & associés Belgique
Résultats de la vente du Mercredi 26 mai à 17h00

 

PBA, Tableaux, Sculptures et objets d'art, 26 mai 2010 La société de ventes volontaires Pierre Bergé & associés Belgique a réalisé pour la vente de Tableaux, Sculptures, Meubles et Objets d’art du 26 mai 2010 à Bruxelles un montant de 633.815 € frais inclus.

Plus hautes enchères frais inclus

Ecole Russe du XVIIIème siècle, Portrait du tsar Pierre le Grand - Toile: 47.120 €

JEAN DECOEN , Le baiser, Sculpture en marbre blanc : 40.960 €

Lustre en bronze à six bras de lumière - Flandres, milieu du XVème siècle : 21.080 €

Image © Pierre Bergé & associés, Vente du 26 mai 2010.

 

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Pierre Bergé & associés s’est imposé sur le Marché de l’art

29/05/10

Jules de Balincourt, Exhibition at Mori Art Museum, Tokyo

Contemporary Art Exhibition > Jules de Balincourt (b. 1972)
Contemporary Art Exhibition > Japan > Tokyo > Mori Art Museum

 

MAM Project 011: Jules de Balincourt

Mori Art Museum, Tokyo

Through July 4, 2010

 

JULES DE BALICOURT, Feast of Fools, 2004

  © JULES DE BALINCOURT, Feast of Fools, 2004
  Oil and enamel on panel, 121,9 x 203,2 cm
  Collection of Jeffrey Deitch
  Courtesy Mori Art Museum, Tokyo
  Grant from Ambassade de France au Japon

 

Since participating in the exhibition "Notre histoire" at Palais de Tokyo (Paris), the Whitney Biennale (New York) and "USA Today" at the Royal Academy of Arts (London), all of which were held in 2006, Jules de Balincourt (born in Paris, 1972) has established his international reputation and his work is in demand around the world. This exhibition includes brand new artworks as well as important pieces dating back to 2003.

Jules de Balincourt works predominantly in the medium of painting, but he also makes sculptures and installations. His paintings are characterized by their free use of bright colors and bold lines to depict scenes from everyday life, adventures, romances, politics, economics, the environment, utopian visions and even purely psychological landscapes. These diverse vistas demonstrate how de Balincourt's conception of reality extends not only to the news and media but also to what we now call cyberspace.

 

JULES DE BALINCOURT, Untitled (Billboard), 2006

  © JULES DE BALINCOURT, Untitled (Billboard), 2006
  Oil on panel 121.9 x 142.2 cm
  Private Collection, USA
  Courtesy Mori Art Museum, Tokyo
  Grant from Ambassade de France au Japon

 

As his perspective is dynamic and grows outwards in the form of a network, his subjects are naturally diverse. His paintings are at once figurative and abstract, and at times are reminiscent of photography, maps or even video. Likewise, his artworks are diverse in their depth, with some subjects depicted in close-range and others at a distance. The actual sizes of his paintings vary greatly, too. When viewed together, his artworks can appear to be in dialogue with each other, and they are open and accessible enough for each viewer to be able to incorporate them into his or her own story. The artist calls this effect "free association painting."

Jules de Balincourt incorporates the strategies of graphic design and advertising into his paintings, occasionally including their titles or other slogan-like phrases within the works themselves. At the same time, his artworks exhibit a distinctly post-9/11 world view, including critical stances on the capitalist system and the overly-controlled nature of present day society. This tendency is due in part to his own strong interest in theories of utopia, social systems and community. He even contributes directly to community-building in Brooklyn, New York, where he operates an alternative art and event venue called Starr Space.

This exhibition of Jules de Balincourt’s paintings was curated by Tsubaki Reiko, Assistant Curator, Mori Art Museum.

Organizer: Mori Art Museum
Grant from Ambassade de France au Japon

 

MAM Project 011: Jules de Balincourt
March 20 - July 4, 2010

Mori Art Museum - Gallery 1
53F Roppongi Hills Mori Tower
6-10-1 Roppongi, Minato-ku
Tokyo 106-6150 – Japan

MAM Project is a series by the Mori Art Museum to support the activities of promising young artists

Next MAM Projects

MAM project 012: Tromarama, July 24 - November 7, 2010

MAM project 013: Katarina Seda, November 27, 2010  - February 27, 2011

 

Next Mori Art Museum Exhibitions

Sensing Nature: Perceiving Nature in Japan
Yoshioka Tokujin - Shinoda Taro - Kuribayashi Takashi, July 24 - November 7, 2010

Odani Motohiko, November 27, 2010 - 27 February, 2011

28/05/10

La Collection Motais de Narbonne au Louvre

Exposition Art > Paris > Musée du Louvre > La collection Motais de Narbonne
Publication > Catalogue d’exposition


La collection Motais de Narbonne

Tableaux français et italiens des XVIIe et XVIIIe siècles

Musée du Louvre

Jusqu’au 21 juin 2010 

 

Catalogue de l'exposition de la La collection Motais de Narbonne. Tableaux français et italiens des XVIIe et XVIIIe siècles. Coédition : Musée du Louvre éditions / Somogy éditions d’art. Ouvrage collectif sous la direction de Stéphane Loire. Mars 2010

  Catalogue de l’exposition

La collection Motais de Narbonne
Tableaux français et italiens des XVIIe et XVIIIe siècles

Ouvrage collectif sous la direction de Stéphane Loire.
Coédition : Musée du Louvre éditions / Somogy éditions d’art
Ouvrage réalisé avec le soutien d’Arjowiggins
Edition française - Parution : mars 2010
Broché à rabats - 45 x 280 mm
136 pages - 100 illustrations
ISBN Somogy : 978-2-75720-363-7
ISBN Louvre : 978-2-35031-265-1
Prix : 25 €

 

Les collections d'oeuvres dont le Louvre a en charge la conservation bénéficient depuis la création du musée de dons de collectionneurs. Pour certains d'entre eux le Louvre est la référence essentielle au vue de laquelle ils conçoivent leur propre collection. Quelques collectionneurs peuvent ainsi fonder leurs acquisitions d'oeuvres au regard des lacunes de celles que conserve le musée. Quoi qu'il en soit, le Louvre est une référence évidente pour le marché de l'art ancien qui a sûrement participé à la naissance de "vocations" de collectionneurs et oriente certains de leurs choix. Héléna et Guy Motais de Narbonne font partie des grands collectionneurs ayant une excellente connaissance et une passion pour les oeuvres conservées au Louvre. Depuis le début des années 1980, ils ont constitué une collection de grande qualité et particulièrement cohérente en soi mais aussi au regard des oeuvres conservées au Louvre.

Cette superbe collection d'Héléna et Guy Motais de Narbonne fait l'objet d'une exposition au musée du Louvre à travers une quarantaine de peintures françaises et italiennes des XVIIe et XVIIIe siècles. Vous pouvez voir ci-dessous la liste des artistes dont une oeuvre est présentée. Les sujets de ces oeuvres sont, pour la plupart, religieux et mythologiques. Certaines peintures inédites, sont le travail d’artistes déjà bien représentés au Louvre tels que Bourdon, Le Brun, Tassel, Boucher, Subleyras ou Vien, mais aussi Creti, Giordano ou Preti. D’autres, en revanche, sont dues à des peintres absents du Louvre. Ainsi, grâce au don de ces deux collectionneurs, deux tableaux de Déruet et de Viani viennent enrichir désormais le fonds de peinture ancienne du musée.

Le catalogue de cette exposition de la collection Motais de Narbonne est un ouvrage collectif qui rassemble des contributions d’historiens de l’art français et étrangers : Elisa Acanfora, Donatella Biagi Maino, Jean-Claude Boyer, Dominique Brême, Jean-Gérald Castex, Karen Chastagnol, Francesco Frangi, Bénédicte Gady, Thomas Gaehtgens, Aude Henry-Gobet, Clémentine Gustin-Gomez, Hélène Guicharnaud, Sophie Harent, Guillaume Kazerouni, Stéphanie Koenig, Alastair Laing, Sylvain Laveissière, Anne Leclair, Annick Lemoine, Nicolas Lesur, Eckhard Leuschner, Stéphane Loire, Philippe Malgouyres, Angelo Mazza, Maria Rosaria Nappi, Mary Newcome, Gianni Papi, Jean Penent, Pierre Rosenberg, John Spike, Nicola Spinosa. S'agissant d'une collection privée, un tel catalogue s'avère particulièrement intéressant en complément de l'exposition.

 

Sommaire du catalogue d'exposition

- Préface, Henri Loyrette
- « Le parement de Narbonne », Pierre Rosenberg
- « Le pourquoi et le comment d’une collection », entretien avec Héléna et Guy Motais de Narbonne
- « Collectionner la peinture ancienne, à Paris, au début du XXIe siècle », Stéphane Loire
- Catalogue : 44 notices rédigées par un spécialiste (liste ci-dessus)
- Bibliographie
- Index
- Crédits photographiques

 

Liste des artistes

Lubin Baugin
Jacques Blanchard
Sébastien Bourdon
Jean-Baptiste de Champaigne
Nicolas Chaperon
Nicolas Colombel
Pierre-Louis Cretey
Claude Déruet
Laurent de La Hyre
Charles Le Brun
Jean Lemaire
Charles Mellin
Nicolas Mignard
Pierre Mignard
Francois de Nomé
Charles Poërson
Nicolas Régnier
Simon Renard de Saint-André
Antoine Rivalz
Jacques Stella
Jean Tassel
Nicolas Bertin
François Boucher
Louis II de Boullogne
Michel-François Dandré-Bardon
Gabriel-François Doyen
François Lemoyne
Jean-Baptiste-Marie Pierre
Pierre Subleyras
Joseph-Marie Vien
Nicolas Vleughels
Francesco Botti
Francesco Cairo
Donato Creti
Antonio De Bellis
Gregorio De Ferrari
Francesco De Mura
Luca Giordano
Le Guerchin
Mattia Preti
Alessandro Rosi
Antonio Tempesta
Domenico Maria Viani
Peintre anonyme romain

 

Exposition : La collection Motais de Narbonne
Tableaux français et italiens des XVIIe et XVIIIe siècles

Musée du Louvre, aile Sully, 2è étage, salles 20 à 23
25 mars - 21 juin 2010

27/05/10

Cafés and Cabaret: Toulouse Lautrec’s Paris - Exhibition

Art Exhibition > Neo impressionnism – Art Nouveau > Henri de Toulouse Lautrec

Café and Cabaret:
Toulouse-Lautrec’s Paris
Museum of Fine Arts –MFA–, Boston
Through August 8, 2010

 toulouse-lautrec_1
   1. Henri de Toulouse Lautrec, May Milton, 1895.

More than 30 bold and subtle posters, prints, and paintings representative of the bohemian nightlife of late 19th-century Paris are presented in Café and Cabaret: Toulouse-Lautrec’s Paris at the Museum of Fine Arts, Boston (MFA). The French aristocrat Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901), one of the most famous artists of the Post-Impressionist period, is toulouse-lautrec_7known for his striking images of performers in the centers of Parisian entertainment in the 1880s and 1890s, specifically the café-concerts and cabaret nightclubs in the neighborhood of Montmartre. Toulouse-Lautrec spent most of his time in this lively section of the city—where women danced the Cancan at places such as the Moulin Rouge—and chronicled in his canvases and lithographs the extravagant nightlife of Parisian dance halls and nightclubs.

Image 2 : Henri de Toulouse Lautrec, The Englishman at the Moulin Rouge, 1892.


toulouse-lautrec_2
3. Henri de Toulouse Lautrec, Divan Japonais, 1893.

“Toulouse-Lautrec was one of the most original and creative artists of the late 19th century, a master of the great age of color lithography,” said Malcolm Rogers, Ann and Graham Gund Director of the MFA. “No artist captured the excitement of Parisian nightlife with more verve than Toulouse-Lautrec.”

toulouse-lautrec_4Despite his short life, Toulouse-Lautrec was enormously productive and succeeded in developing a style uniquely suited to the celebrity culture of the raffish district of Montmartre, where he and other privileged sophisticates went “slumming” in the late 1800s. He had a genius for caricature that captured the signature features and body language of his subjects, who included his friends, the singers and dancers May Milton, Jane Avril, and La Goulue (“the glutton”). He accomplished this with the radical use of broad flat colors, strong silhouettes, and unusual points of view. Toulouse-Lautrec was heavily influenced by the Japanese prints discovered during this time and incorporated Japanese design elements in works such as Divan Japonais (1893) (Image 3), with its asymmetrical composition and broad areas of color. In this color lithograph, the celebrated dancer Jane Avril, accompanied by the music critic Edouard Dujardin, is shown attending a performance at the Divan Japonais (Japanese Sofa) nightclub by another star, Yvette Guilbert, who appears in the background. Although her head is not visible in Toulouse-Lautrec’s radical composition, Yvette Guilbert (Image 4) is recognizable by her sleek formal gown and signature black gloves.
4. Théophile Alexandre Steinlen, Yvette Guilbert-At the Ambassadeurs café, 1894.

“Through his work, Toulouse-Lautrec drew new connections between art and daily life, becoming a central figure in the decadent society he portrayed,” said Clifford Ackley, Department Chair and Ruth and Carl J. Shapiro Curator of Prints and Drawings, who organized this exhibition together with assistant curator Helen Burnham. “He transformed the art of the poster, and his designs were some of the greatest ever created.”
 
toulouse-lautrec_5Toulouse-Lautrec incorporated into his own highly individual vision stylistic elements from various contemporary artists, including the French painter Edgar Degas.. An example of Degas’ influence can be seen in the lithograph May Belfort (1895), where the shifting perspective—down into the orchestra pit and up to the stage—is reminiscent of the multiple viewpoints in Degas’ work. Toulouse-Lautrec inserted himself into his images of nightclubs and hung his work in the cabaret Le Mirliton, one of his many haunts. He also designed advertising posters for his good friend the singer, comedian, and showman Aristide Bruant, as seen in the colorful poster Aristide Bruant in his Cabaret (1893), an iconic work featuring Bruant in his dark corduroy worker's jacket, wide black hat, bright red scarf and scowling features.
5. Henri de Toulouse Lautrec, Aristide Bruant in his Cabaret, 1893.

toulouse-lautrec_8
6. Henri de Toulouse Lautrec, At the Café La Mie, painting, about 1891-1892.

toulouse-lautrec_3In addition to works by Toulouse-Lautrec, Café and Cabaret highlights evocative images of Parisian nightlight by several other celebrated artists of the period, including Pablo Picasso’s painting Stuffed Shirts (Les Plastrons) (1900), Théophile-Alexandre Steinlen’s poster Collection of the Chat Noir (1898) (Images 7 + 8 + 4), and Pierre Bonnard’s lithograph At the Theater (1895).







   7. Théophile Alexandre Steinlen, Collection of the Chat Noir, 1898.

toulouse-lautrec_6
   8. Théophile-Alexandre Steinlen, In the Street (Gigolots and Gigolettes), 1895.

The MFA’s Department of Prints, Drawings and Photographs has also organized two additional exhibitions at the MFA, both on view from November 21, 2009–July 3, 2010: Albrecht Dürer: Virtuoso Printmaker, in the Clementine Haas Michel Brown Gallery, which showcases works by the great early German printmaker, and Harry Callahan: American Photographer, in the Herb Ritts Gallery, which includes nudes, scenes of street life and elegant visions of nature by the celebrated 20th-century photographer. Through their juxtaposition, the exhibitions offer viewers works by one of the greatest artists of color lithography (Toulouse-Lautrec), alongside those by one of the greatest masters of black and white printmaking (Dürer), and those by one of the greatest and most influential American photographers (Callahan).

CAFÉ AND CABARET: TOULOUSE-LAUTREC’S PARIS
November 21, 2009 - August 8, 2010
Museum of Fine Arts, Boston - Mary Stamas Gallery

Valérie Jouve Exposition à Beaubourg Centre Georges Pompidou

Exposition de Photographies > Paris > Centre Georges Pompidou > Valérie Jouve

Valérie Jouve, Sans titre, 2010
  Valérie Jouve, Sans titre, 2010 © et courtesy Valérie Jouve

Exposition personnelle de  Valérie Jouve
Centre Georges Pompidou
23 juin - 13 septembre 2010

Le Centre Pompidou est la première grande institution parisienne à présenter une exposition personnelle de Valérie Jouve.

Valérie Jouve mène une réflexion sur la place de l’humain dans la ville. Elle inscrit de manière documentaire et poétique des individus dans un espace par le biais du cadrage, voire du montage d’images. Fluidité des corps contre rigueur des structures : cette dualité fonde sa démarche, structure ses films et ses photographies. L’artiste a précisément conçu sa proposition pour le Centre Pompidou, jouant ainsi pleinement de l’espace de la Galerie d’art graphique du Musée national d’art moderne. Elle y fait dialoguer des images de dimensions et de statuts différents, et organise leur confrontation.

VALERIE JOUVE

Valérie Jouve, née en 1964 à Saint-Étienne, vit et travaille à Paris. Anthropologue de formation, elle décrypte notre société et ses aspects de théâtralité quotidienne par la mise en scène photographique de moments grâce à des « images jouées » ou « performées ». Elle considère que ces photographies ont une valeur documentaire sans pour autant nier la dimension sociologique que cet aspect sous-entend. Ses oeuvres y associent toutefois une certaine mélancolie poétique.

Le monde urbain est un des thèmes centraux de l’oeuvre de Valérie Jouve. Fascinée par la ville, elle capte ses personnages, leurs comportements et saisit cette représentation quotidienne que nous impose la ville en figeant, à travers la photographie, tout ce qui forme son identité. La question du traitement de l’espace est au coeur du sujet : il s’agit de comprendre comment la figure confère une présence à ce qui l’entoure. L’architecture intervient comme forme emblématique de l’espace que se donne l’individu pour exister. Ce décalage entre conscience collective et individuelle se trouve ainsi posé en termes esthétiques.

Commissaire de l’exposition : Quentin Bajac, conservateur au Musée national d’art moderne (Centre Pompidou), chef du cabinet de la photographie.

Un ouvrage retraçant l’ensemble des oeuvres de l’exposition est édité par les éditions du Centre Pompidou.

Centre Georges Pompidou - Paris - Beaubourg
Musée national d’art moderne
 

26/05/10

Seeing Beauty at Museum of Photographic Arts, San Diego, CA

 

Seeing Beauty

Museum of Photographic Arts, San Diego

Through January 23, 2011

 

edouard_boubat The Museum of Photographic Arts (MoPA) presents Seeing Beauty, the fifth in a series of educational exhibitions comprised of works from MoPA's permanent collection, presented in a thought-provoking, interactive and experiential setting. The exhibition explores the aesthetics of beauty, expressed through the eyes of various photographers throughout the history of the medium, including Bill Brandt, Walker Evans, Mary Ellen Mark, Edward Weston, Minor White, and Aaron Siskind.

 

Photo : Edouard Boubat, 1948, gelatine silver print. Collection of Museum of Photographic Arts, San Diego.

 

 

Seeing Beauty presents a range of genres in photography, such as portraiture, abstraction, landscape, and still life. The photographs in the exhibition examine the elements of art and design, composition and framing, as well as subject matter. In examining these elements in the context of aesthetic beauty, the exhibition poses the question of how our personal interpretation and notions of what constitutes beauty affect our experience of looking at art. The exhibition is meant to engage viewers to challenge, redefine, or confirm their understanding of what beauty is, and what factors contribute to their aesthetic evaluation.

 

Seeing Beauty
January 30, 2010 - January 23, 2011

Museum of Photographic Arts
1649 El Prado
San Diego, CA 92101

Hours: Tuesday through Sunday 10 a.m.-5 p.m. Closed Mondays.

Also on view at MoPA:

In Light
Selections from the Permanent Collection
January 30, 2010 - January 23, 2011

This exhibition demonstrate the “photography’s ability to reveal the unseen and the unseeable”.

State of Mind
A California Invitational
February 6 - June 6, 2010

With photographs by Susan Anderson, Uta Barth, Stephen Berkman, Brian Forrest, Corina Gamma, Jim Goldberg, Ken Gonzales-Day, Todd Hido, Soo Kim, Mona Kuhn, Claudia Kunin, Michael Light, Chris McCaw, Brad Moore, Han Nguyen, Ken Ohara, Trevor Paglen, Nigel Poor, Susan Rankaitis, Liza Ryan, Catherine Wagner, & James Welling. All were nominated by forty photography professionals within the state of California (curators, writers, gallery owners, publishers, academics, and Deborah Klochko, Executive Director of the MoPA) as California photographers who were producing innovative work. A kind of “Best Of” Californian photographers… and we know that there are many great photographers in California.

 

Visit www.mopa.org for information about exhibitions, programs and special events.

24/05/10

Art history: September 1969 Events – Brief News from the past

Brief "Retro News" about art history

1969 - African-American artists Christine Baker, Sadie Graham, Lester Johnson, James King, James Lee, Charles McGee, Harold Neal, George Rogers, Bob Stull and Shirley Woodson opened an Art Gallery and Academy in Detroit, Michigan: 8232 W. Six Mile Road.

Source : Negro Digest (later Black World published by Johnson Company), September 1969, p. 90

Link to Google Books

Bank of America Art Collection at Mint Museum, Charlotte NC

New Visions: Contemporary Masterworks from the Bank of America Collection
Mint Museum Uptown
Levine Center for the Arts, Charlotte, NC
October 1, 2010 - April 17, 2011
 
The Mint MuseumCharlotte, North Carolina— and Bank of America will collaborate to present an exhibition comprising over 60 works from the bank’s Art Collection. New Visions: Contemporary Masterworks from the Bank of America Collection and the other exhibition at Mint Museum, Contemporary British Studio Ceramics: The Grainer Collection, are the inaugural exhibitions of the new Mint Museum Uptown which is part of the Levine Center for the Arts in Charlotte, North Carolina.

The exhibition contains a broad selection of regionally diverse practitioners and presents an opportunity to experience significant works by some of the most visionary artists of the past decades. The exhibition will feature paintings, sculptures and works on paper from an array of artists, including Milton Avery, Jennifer Bartlett, Roger Brown, John Chamberlain, Janet Fish, Helen Frankenthaler, Sam Gilliam, John Marin, Elizabeth Murray, Louise Nevelson, Jules Olitski, Edward Ruscha, Miriam Schapiro and Frank Stella, among others.

Beginning with works from 1945, the exhibition reveals a wide variety of philosophies, approaches and movements reaching into the early 1990s. Historically significant works focusing on intense color and geometry as an organizing principle, such as Frank Stella’s Damascus Gate and Ellsworth Kelly’s Black and White Triangle, reveal the monumental scale and rigorous structures of late 1960s through early 1970s Minimalism. Postminimalist works from the 1980s, such as Elizabeth Murray’s Split and Join and Jennifer Bartlett’s In the Garden, present a return to imagery, while still retaining defined formalist structures.

The vibrant and irreverent canvases of Ed Paschke and Roger Brown exhibit the influence of outsider art and Surrealism. This influence was a hallmark of the second generation Chicago Imagists, a regional offshoot of Pop Artists. The influence of popular culture and media fueled diverse works by Roy Lichtenstein, James Rosenquist, Robert Rauschenberg and Robert Longo. Masterful paintings by some of California’s most heralded artists—including Edward Ruscha (Clock Speed), James Weeks (Ocean Park Studio) and Wayne Thiebaud (Dark Cake)—demonstrate a surprising and complex relationship between abstraction and realism. Deborah Butterfield’s cast lead horse sculpture, as well as Lynda Benglis’s biomorphic reliefs  and John Chamberlain’s steel assemblage, comprise some of the compelling sculptural works within the show.

Curator of the exhibition: Carla Hanzal, curator of Contemporary Art.

New Visions: Contemporary Masterworks from the Bank of America Collection is organized by The Mint Museum, Charlotte, N.C., and provided by Bank of America Art in our Communities program.

mintmuseum.org

Mint Museum Uptown grand opening - Charlotte, North Carolina

Museums News > North Carolina > Charlotte > Mint Museum Randolph & Mint Museum Craft + Design

 

Mint Museum Uptown –Charlotte, North Carolina– opens October 1, 2010 as part of Levine Center for the Arts

Designed by noted architectural firm Machado & Silvetti of Boston, the 145,000-square-foot Mint Museum Uptown will be part of the Levine Center for the Arts located in the heart of Charlotte’s business district. In addition to the Mint, the cultural campus includes the Bechtler Museum of Modern Art, the Harvey B. Gantt Center for African-American Arts + Culture, and the John S. and James L. Knight Theater, along with corporate, retail and restaurant facilities.

The Mint Museum Uptown will house the collections of the Mint Museum of Craft + Design, as well as the American Art and Contemporary Art collections and selected works from the European Art collection. The latter three collections are moving from the Mint Museum Randolph. The new five-story facility will include two full floors of galleries, each featuring 12,000 square feet of permanent collection space and 6,000 square feet of changing exhibition space. A dramatic multi-story atrium, named for the late Robert Haywood Morrison in honor of his foundation’s gift to the Museum, will serve as a central hub of activity and features a 60- by 60-foot glass curtain wall offering spectacular views of the urban landscape. The building also includes a café, a Family Gallery, painting and ceramics studios, classrooms, a 240-seat auditorium, a Special Events Pavilion with outdoor terrace, and an expanded Museum Shop specializing in crafts of the Carolinas. These amenities and special features will provide inspiring venues for hosting public programs to reinforce the Museum’s dual priorities of making art and education experiences accessible to the community.

Following the opening of the new uptown location, the Mint Museum Randolph will maintain its current location in the historic Eastover neighborhood and execute a reinstallation plan of its galleries designed to showcase collections of Art of the Ancient Americas, Decorative Arts, and Historic Costume & Fashionable Dress, along with selections of African Art, Asian Art, Ceramics, Coins & Currency, European Art, Native American Art and Spanish Colonial Art.

“The opening of our new facility marks a pivotal chapter in the Mint’s history and in Charlotte’s emergence as a cultural destination,” said Executive Director Phil Kline. “We are thankful to the City of Charlotte, the Arts & Science Council, and our corporate, foundation and private donors who have committed funds and significant works of art towards this historic initiative. When our doors open in October, the public will have the unique opportunity to view never-before-seen works from our permanent collections, in addition to seeing two landmark inaugural exhibitions.”

Inaugural Exhibitions at Mint Museum Uptown

New Visions: Contemporary Masterworks from the Bank of America Collection, October 1, 2010 - April 17, 2011

Contemporary British Studio Ceramics: The Grainer Collection, October 1, 2010 - March 13, 2011

 

mintmuseum.org

23/05/10

New British Painting, Gallery Kalhama & Piippo Contemporary, Helsinki - Emma Bennett, Nadine Feinson, Sam Jackson, Alex Gene Morrison, Dominic Shepherd, Gavin Tremlett

New British Painting
Emma Bennett, Nadine Feinson, Sam Jackson, Alex Gene Morrison, Dominic Shepherd, Gavin Tremlett 
Gallery Kalhama & Piippo Contemporary, Helsinki 
21 May - 8 August 2010 

Gallery Kalhama & Piippo presents the group exhibition “New British Painting” showcasing six painters for the first time to the Finnish public. The exhibition is curated by director of Charlie Smith London Zavier Ellis and Pilvi Kalhama. The exhibition is a continuum to the gallery’s thematic group shows and is arranged with the support of the British Council.

The YBA (Young British Artists) -school of the 1990s and the London art scene became the interest of high intensity by the entire art world, along with artists like Damien Hirst and Tracy Emin. At the same time art itself became deeply wrapped up in theoretical and conceptual explanations. Today, the art world is still following the London art scene but is the situation the same as before? In the past years both the art talk and the large scale spectrum of installations have been questioned by artists. What are the questions preoccupying the minds of today’s artists living in this metropolis of great ethnical diversity?
“Today’s British art is more an art of differences and divergence than of sameness. Many artists wish to separate themselves from their famous predecessors both stylistically and in their subject matter. They’d rather focus on individuality and personality. Even the viewers of today call for art to unfold on a personal level.

In the body of work of many British artists one can see a radical difference to large-scale painting. However, the contemporary artists working with miniature scale paintings still pose large-scale questions – of sexuality, personality, the self, affinity and strangeness. One thing in common with their predecessors is the glimpse of provocation. An essential concern is still a certain elegance, or a breeze of traditionality. The grand - but often personal and somehow queer - statement raised from the current time is concealed in aesthetical attire. This is typical London today and those tendencies are the ones we want to show in Finland.”

- Pilvi Kalhama, director of Gallery Kalhama&Piippo Contemporary
“In the post-YBA era there is an open acknowledgement of the historical canon of art, typified most directly in this exhibition by Emma Bennett (b.1974) and Gavin Tremlett (b. 1977) and to some extent Sam Jackson (b. 1977), where that history is embraced to a degree whereby the historical is assimilated into the contemporary without irony or cynicism. The historical is mined to the point where it can be appropriated or transcribed, and reconfigured into the personal. A subjective idiom is established that equates to the artist’s internal critical model to reveal constant preoccupations of the human psyche: beauty, loss, transience, alter-ego and alternative realities being some such examples.

Indeed, it has to be accepted that art must perform some kind of function other than visual indulgence and a fundamental purpose has to be an engagement with the other, both for the artist and audience, through which one can take flight from the everyday. Nadine Feinson’s (b. 1959) fascination with the monstrous; Dominic Shepherd’s (b. 1966) eerily populated landscapes; and Alex Gene Morrison’s (b. 1975) acidic figure, landscape and interior paintings become windows to other worlds. The magical and mythical entice and warn us to proceed but proceed with caution. Deathly dark powers are at work in these hinterlands as beauty and terror simultaneously seduce and threaten, as we are invited to engage with and decipher interior worlds by means of representations of the exterior.

My hope is that a certain sensibility will render manifest in order to reveal current preoccupations of today’s British painters, who in this case were all schooled in and mostly still work from London. There are recurring interests that underpin a section of rising British painters, some of which are expressed in the exhibition.”

- Zavier Ellis, curator and director of Charlie Smith London
GALLERY KALHAMA & PIIPO CONTEMPORARY
Mannerheimintie 3B, 00100 Helsinki
www.kalhamapiippo.com 

22/05/10

Etienne Martin Exposition à Beaubourg - Centre Georges Pompidou

ETIENNE-MARTIN
Collection du Centre Pompidou, Musée national d'Art Moderne
23 juin - 13 septembre 2010
Galerie du musée, Niveau 4

Le Centre Pompidou rend un hommage à l’oeuvre de l'artiste Etienne-Martin à travers une exposition d’une quinzaine de sculptures majeures de l’artiste appartenant à la collection du Centre Pompidou. Parmi celles-ci, Le Manteau (1962) avait fait largement connaître l’artiste et constitue la première sculpture en tissu de l’histoire de l’art moderne.

Aujourd’hui, l’entrée par dation de trois nouvelles oeuvres, donne une actualité particulière à cette collection. L’exposition présente cet ensemble particulièrement intéressant auquel s’ajoute une sélection de dessins reproduisant, sous forme de diagrammes, les configurations vécues et rêvées de sa maison natale de Loriol.
Enfin, un choix d’archives inédites appartenant au Musée d’art moderne de la Ville de Paris, don de Madame Marie Thérèse Etienne-Martin, et des photographies du légendaire atelier de la rue du Pot-de-Fer, près du Panthéon à Paris, où l’artiste vécut de 1938 jusqu’à la fin de sa vie, complètent cette présentation.

Biographie - Etienne-Martin (1913-1995)

Etienne-Martin a été identifié dès les années 1960 à ses Demeures, sculptures-habitats conçues pour être visitées, imaginées par le spectateur. Dès 1984, le Centre Pompidou consacrait une exposition thématique à l’ensemble des Demeures.

Ancien de l’Académie Ranson et du groupe Témoignage d’avant-guerre, Etienne-Martin a été un proche du peintre Alfred Manessier, du sculpteur François Stahly, de l’écrivain Henri-Pierre Roché et des architectes du groupe d’Oppède pendant la guerre. Remarqué ensuite par des critiques d’art aussi différents que Michel Tapié, Michel Ragon ou Alain Jouffroy, présenté par la Galerie Breteau dès 1938, puis par les galeries Couturier et Artcurial, Étienne-Martin a vite été reconnu à la fois comme un inventeur de formes hors pair, travaillant par prédilection le bois et le plâtre, et comme une personnalité singulière, marquée par l’enseignement de Gurdjieff et les philosophies ésotériques.

C’est à partir des souvenirs d’enfance liés à sa maison natale de Loriol, dans la Drôme, qu’Etienne-Martin reconnaîtra avoir construit son oeuvre en établissant entre ses sculptures et cette maison des correspondances intimes. Fasciné par l’oeuvre autant que par le personnage, Harald Szeemann fera de lui l’un des artistes-clés de sa section « Mythologies individuelles » à la Documenta 5 de Kassel en 1972.

Les Editions du Centre Pompidou ont publié un catalogue de l'exposition sous la direction de Jean-Paul Ameline, commissaire de l’exposition, conservateur général du Patrimoine. Broché, format 22 x 28 cm - 144 pages - Prix : 29, 90 euros

Commissaire de l'exposition : Jean-Paul Ameline, conservateur général du Patrimoine avec la collaboration de Doïna Lemny, attachée de conservation
Architecte/ Scénographe : Laurence Le Bris
Chargée de production : Malika Nouï

Centre Georges Pompidou – Paris – Beaubourg
Musée national d’art moderne
23 juin - 13 septembre 2010
Metros : Hôtel de Ville, Rambuteau / RER : Chatelet-Les Halles
Horaires : Exposition ouverte tous les jours de 11h à 21h, sauf le mardi
Tarif : 10 à 12 euros, selon période
Tarif réduit : 8 à 9 euros valable le jour même pour le Musée national d’art moderne et l’ensemble des expositions
Accès gratuit pour les moins de 18 ans
Billet imprimable à domicile : www.centrepompidou.fr

Philippe Pasqua par Nicolas Reynal sur France 4

Pasqua L'insaisissable
Film documentaire inédit de Nicolas Reynal
sur l’artiste Philippe Pasqua
Diffusé sur France 4 le 2 juin 2010 à 22h30

Réalisateur : Nicolas Reynal
Producteurs : Marc Rousseau & Jérôme Cheval
Produit par : Films Concept Associés

« Pasqua l'insaisissable », c'est le quotidien d'un artiste contemporain français en plein essor et qui dépense sans compter pour ses oeuvres, comme pour ses loisirs. Son dernier projet est encore plus démesuré : prendre sa propre Ferrari pour la gainer de cuir avant de la faire entièrement tatouer et de la fixer au mur.

Né en 1965, PHILIPPE PASQUA est un artiste autodidacte qui participe au renouveau de l'art figuratif français. Sur des toiles monumentales chargées de matière, il représente la figure humaine. Depuis quelques mois, il sculpte des têtes de mort géantes en marbre de Carrare et des crânes d'hippopotame en chrome. Sa cote ne cesse de grimper tant en peinture qu'en sculpture, les expositions s'enchaînent dans le monde entier, et les grands collectionneurs lui passent commande.

La singularité de Philippe Pasqua ne se retrouve pas seulement dans ses oeuvres. Son rythme de vie (il ne se déplace qu'en jet privé), ses loisirs (il est passionné de voitures de sport), son lieu d'habitation (un loft de 1500 m2) et ses fréquentations (une galerie de personnages étonnants) échappent à toute norme. Perfectionniste et en constante recherche de nouveaux projets délirants, il incarne parfaitement une certaine image de l'artiste du 21ème siècle, celle d'un homme d'affaires créatif en perpétuel mouvement.

Philippe Pasqua expose depuis le début des années 90, et désormais ses oeuvres se vendent très cher. Son atelier-loft de 1500 mètres carrés meublé par les plus grands noms du design est jonché de pinceaux. C'est normal, à chaque coup de pinceau, il jette l'outil. Passionné de voitures rapides, de paint-ball, de jet privés, de villas somptueuses, de yachts et d'hélicoptères, sa vie est une succession d'événements extraordinaires et de démesure.

Le réalisateur, Nicolas Reynal, a eu l'opportunité unique de suivre pendant plusieurs mois le quotidien de ce peintre et sculpteur français dont la cote ne cesse de monter. Alors que le milieu de l'art contemporain apparaît uniquement comme un univers spéculatif où seule l'extravagance semble payante, il paraît intéressant de suivre pas à pas les étapes de création et de commercialisation des oeuvres d'un artiste en pleine ascension. Grâce à une immersion au coeur de ce processus, ce film décrypte les codes et le mode de fonctionnement du marché de l'art contemporain, tenter de comprendre comment la cote d'un artiste évolue, et quelle influence ce marché exerce sur la création.

Source : France 4 – www.france4.fr

20/05/10

Biographie Andréa Branzi – Conférence HEAD Genève

Design > Andréa Branzi

 

Pour la dernière Talking Heads de cette année académique, la Head – Genève (Haute Ecole d’Art et de Design de Genève) organise une rencontre avec Andrea Branzi le 26 mai 2010. De même que Enzo Mari, Andrea Branzi est une figure majeure et incontournable du design italien, reconnue internationalement pour son oeuvre, son apport exceptionnel à l’histoire de la discipline et surtout pour la vigueur de son engagement, toujours intact.

A propos de ANDREA BRANZI – Brève biographie

Andréa Branzi est né à Florence en 1938 est à la fois designer, architecte, professeur, critique et auteur fécond de textes et d’ouvrages sur le design.

Au même titre que Enzo Mari, André Branzi occupe une position primordiale dans le champ du design. En 1964, étudiant non diplômé, il crée avec ses amis de l’école d’architecture de Florence le groupe Archizoom Associati avec lequel, jusqu’en 1974, il développe des oeuvres dont le couronnement est sans aucun doute la No-Stop City, incarnation d’un passage de la société de l’ordre vers la production sérielle où le design joue un rôle décisif : « parce qu’il opère sur la marchandise » établissant comme hypothèse stratégique que Archizoom forme le seul héritage du design italien. Avec ce dernier, Andréa Branzi tente de transformer entièrement le monde, car il est le « protagoniste » qui permet d’intervenir dans le réel : « La seule discipline qui se salit les mains dans cet univers hybride et compromis, mais terriblement réel. Il travaille sur les objets et les marchandises et se trouve donc au centre des véritables problèmes de notre époque. »

Depuis la fin des années 1960, Branzi n’a de répit de développer une réflexion érudite sur le design avec des ouvrages et des expositions et de proposer une relecture de l’idéologie de l’architecture moderne et de ses enjeux sous des éclairages audacieux. Mais se focaliser sur ses essais en tant que membre de l’Architecture Radicale et délaisser sa production serait une grave erreur, car Andréa Branzi est tout autant un designer qu’un architecte du faire. Toujours omniprésent, toujours remarquable, ses travaux exposés au dernier Salon du Meuble de Milan en avril, sa dernière grande exposition monographique à la Fondation Cartier à Paris ou au Grand Hornu en Belgique témoignent – s’il en était besoin – du formidable appétit qu’il nourrit pour les objets et leur présence. Ne croyant plus à la vigueur des batailles contre la consommation, même si elles sont parfois légitimes, Andréa Branzi sent une nécessité à designer car pour lui « Tout reste à dire, j’ai des choses à dire et je les dis. C’est mon espace de liberté. »

 

HEAD Genève - Mercredi 26 mai à 19h

Discussion animée par Alexandra Midal, historienne du design, professeure à la Head – Genève.

 

Egalement sur Wanafoto : Biographie du designer italien Enzo Mari

 

Head – Genève, bd James-Fazy 15, 1201 Genève, entrée libre

Art Fair Tokyo New Executive Director Takahiro Kaneshima

Announcement of Change in Executive Director at ART FAIR TOKYO

The ART FAIR TOKYO Committee Executive announces that Misa Shin, Executive Director of ART FAIR TOKYO since 2005, will be stepping down at the end of May 2010.

Mina Shin has directed a total of four editions of ART FAIR TOKYO, since her appointment as Executive Director in November 2005. During this time, her aims have been to encourage the development of an art market in Japan and to create a truly international art fair in Tokyo. Under each year of Shin’s direction, ART FAIR TOKYO has attracted a wide variety of international and domestic art collectors and art enthusiasts. The fifth edition, held in 2010, attracted a record 50,000 visitors. “This proved that the spring-time ART FAIR TOKYO has firmly established itself on the international art scene”. Shin succeeded in developing the Japanese art world by nurturing a new generation of potential collectors through her message that art should be thought of as something to buy, and not just as something to look at.   

In the future, Shin will serve as an Advisor to ART FAIR TOKYO.

The ART FAIR TOKYO Committee Executive announces that Takahiro Kaneshima will be appointed as the new Executive Director of ART FAIR TOKYO as of June 1, 2010. For the last five years, Kaneshima has been active in the East Asian art scene, particularly in the field of support-activities for artists and the management and coordination of many art projects.

"I am very excited to have the chance, as Executive Director of ART FAIR TOKYO, to sincerely and dynamically work towards demonstrating the wonders of Tokyo’s art scene to the world," Kaneshima said. "We need to consider the specific role of Tokyo in Asia and how ART FAIR TOKYO should function in the global art scene. I believe that ART FAIR TOKYO can be more appealing to the world by reflecting Japan's unique characteristics and its potential, so I greatly look forward to further developing and refining the quality of the fair."

Working on the foundations built by Shin, ART FAIR TOKYO will continue to grow, taking advantage of Kaneshima’s network and his proven skills of organizing fascinating projects in the East Asian region.” (Press release)

Takahiro Kaneshima’s Short Biography

Executive Director of ART FAIR TOKYO since June 1, 2010, Director of FEC (Far East Contemporaries), Takahiro Kaneshima has managed research projects related to contemporary art in East Asia, activities for supporting artists, and interexchange activities. After graduating with an M.A. in Media and Governance from the Graduate School of Keio University, he worked for NOKIA and Toshiba Corporation. Since 2005, he has been involved in a variety of contemporary art businesses in Beijing. Kaneshima has worked for TOKYO GALLERY + BTAP in Beijing, and served as the East Asia producer for "ART iT." Takahiro Kaneshima was born in 1977 in Tokyo.

Next Post about the New Organizational Structure of the Art Fair Tokyo Committee

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La Revanche de l’Archive Photographique, Exposition au CPG - Centre de la Photographie Genève

La revanche de l'Archive Photographique
Centre de la Photographie Genève
4 juin - 31 juillet 2010
Museu da Imagem e do Som (MIS), São Paulo en 2011-2012

LA REVANCHE DE L’ARCHIVE PHOTOGRAPHIQUE, une exposition conçue par Joerg Bader, constituera le coeur du Festival des 50JPG : 50 jours pour la photographie à Genève. Une trentaine d’artistes venant de tous les horizons seront réunis au Centre de la Photographie Genève (CPG).

Deux raisons principales liées aux archives ont permis à la photographie, qui n’était qu’une esclave de l’histoire de l’art, fidèle reproductrice de peintures et de sculptures reléguée dans la cave, d’accéder à l’étage noble du musée des beaux-arts.

D’une part, les artistes des avant-gardes historiques ont utilisé, dans leur élan de transformation de la société et de la vie, la photographie comme un médium qui pouvait toucher, via les mass-médias, un public plus large que celui de l’art. Nombre de leurs protagonistes, tels que Hannah Höch, Laslo Moholy-Nagy ou Alexander Rodchenko, parmi d’autres, cultivaient secrètement des archives de photographies.

D’autre part, le musée des beaux-arts de Genève a commencé à mettre en valeur des oeuvres de photographes qui aspiraient par leurs documents photographiques à la constitution d’archives. Eugène Atget est le premier de cette lignée. Son travail d’inventaire du Vieux Paris fut mis en valeur par les Surréalistes à la fin des années 1920 et servit de modèle à Walker Evans et Berenice Abbott. “L’inventaire” de la population allemande sous la République de Weimar par August Sander fut, dans l’après-guerre, un exemple notamment pour Bernd et Hilla Becher. Tous ces photographes étaient engagés dans ce que Walker Evans appelle le “style documentaire”, dont l’une des caractéristiques est justement l’ambition de constituer une archive. Aujourd’hui, la nature de l’archive photographique intéresse un nombre croissant de photographes et d’artistes. Face à l’avalanche de photographies produites quotidiennement, de plus en plus de producteurs d’images deviennent des archivistes-iconographes.

LA REVANCHE DE L’ARCHIVE PHOTOGRAPHIQUE fait le point sur ce champ infiniment riche en étroite résonnance avec la “Visual Culture”. En considérant la période des années 1970, avec par exemple Christian Boltanski ou Bernd & Hilla Becher, jusqu’à nos jours, elle renoue avec l’esprit des avant-gardes et montre des propositions qui s’inscrivent toutes de près ou de loin dans un art politique et dans une politique de l’art.

LA REVANCHE DE L’ARCHIVE PHOTOGRAPHIQUE dépasse le cadre d’une exposition conventionnelle de photographies. Elle propose non seulement un élargissement du champ de l’art contemporain, en incluant des positions de militantisme politique, d’anthropologie ou de photoreportage et montre également les productions photographiques sous leurs angles les plus divers en mettant en avant des modes de présentation qui ne se limitent pas qu’au tirage vintage sous verre et marie-louise.

Figurent notamment parmi les artistes invités : Claudia Andujar, Roy Arden, Ariella Azoulay, Bernd & Hilla Becher, Mabe Bethônico, Ursula Biemann, Christian Boltanski, Marcelo Brodsky, Banu Cennetoglu, Martin Dammann, Silvie et Chérif Défraoui, Jeremy Deller/Alan Kane, documentation céline duval, Dora Garcia, Jochen Gerz, Catherine Gfeller, Lois Hechenblaikner, Edward Hillel, Jacob Holdt, Jean-Jacques Lebel, Armin Linke, Gustav Metzger, Susan Meiselas, Gabriele & Helmut Nothhelfer, Uriel Orlow, Peter Piller, Ricardo Rangel, Rosangela Renno, Guadalupe Ruiz, Marie Sacconi, Joachim Schmid, Sean Snyder, Larry Sultan & Mike Mandel, Meir Wigoder…

Le catalogue de l’exposition

Le catalogue de l’exposition La Revanche de l’Archive Photographique (français/anglais) sera publié dans le courant de l’été 2010. Il comptera environ 200 pages et offrira à chaque artiste une double page avec au moins deux illustrations couleur. Il comprendra également des textes critiques analysant le thème de l’archive photographique dans le domaine de la “Visual Culture”. Plusieurs auteurs théoriciens sont d’ores et déjà prévus dont notamment : Ariella Azoulay, Sueli Rolnik, Christian Hubert-Rodier, Hubertus von Amelunxen et Irit Rogoff. Les artistes des partenaires s’inscrivant dans le thème de l’archive photographique seront également inclus.

LA REVANCHE DE L'ACHIVE PHOTOGRAPHIQUE sera présentée sous une forme restreinte au Museu da Imagem e do Som (MIS) de São Paulo en 2011-2012.

Centre de la Photographie Genève
Bâtiment d’art contemporain
10, rue des Vieux-Grenadiers, 1205 Genève

Museum of Ixelles Close-up

 

Close-up

Museum of Ixelles, Bruxelles

25 May - 5 September 2010

Collection of photographs of the Museum of Ixelles

For the first time, the Museum of Ixelles is exhibiting its entire collection of photographs. Come and discover the prints of photographers such as Lucien Clergue, Gilbert De Keyser, Gilbert Fastenaekens, Robert Morian, Marie-Françoise Plissart and Marc Trivier presented alongside the work of Dirk Braeckman, Michel François, Wim Delvoye, Marie-Jo Lafontaine…

As part of the Summer of Photography, the young photographer Laurent Friob is also exhibiting at the Museum of Ixelles.

10 years of acquisitions 

Rich with some 12,000 works from the 19th and 20th  century, the Museum of Ixelles saw its collections increase as the years passed. Recent contemporary work, as well as older, exceptional acquisitions, grace this collection. This summer presentation emphasizes this diversity, showing not only James Ensor, Rik Wouters and Jules Lismonde but also Dirk Draeckman and Stephan Balleux.

Free entry
Open : Tuesday > Sunday • 11.30 > 17.00
Closed Mondays and Public holidays.

Museum of Ixelles
Rue Jean Van Volsem, 71
1050 Bruxelles

www.museumofixelles.be

19/05/10

Baltard, Les Halles de Paris au Louvre des Antiquaires

 

BALTARD, LES HALLES DE PARIS, 1853-1973

Au Louvre des Antiquaires

29 mai - 31 juillet 2010


A l’heure où la ville de Paris engage la réalisation du projet de rénovation du quartier des Halles, le Louvre des Antiquaires poursuit son exploration du vieux Paris et revient en images sur l’histoire et des Halles Centrales réalisées par Victor Baltard en 1853, jusqu’à leur destruction en 1973.

Du 29 mai au 31 juillet 2010, la salle d’exposition du Louvre des Antiquaires accueille une centaine de reproductions et de photographies originales ainsi que des documents et témoignages recueillis par Patrice de Moncan, historien de la Ville de Paris.

« Du fer, rien que du fer ! »

A partir de 1811, Napoléon Ier entreprend une réorganisation cohérente des marchés couverts car le quartier des halles, qui existe depuis le XIIème siècle, connaît des conditions de circulation et d’hygiène plus que précaires. Il projette alors de faire construire une halle centrale entre le marché des Innocents et la Halle aux blés.

Un concours d'architecture est lancé en 1848 sous Napoléon III et remporté par Victor Baltard. Après échec de son premier projet, Victor Baltard remporte à nouveau le concours de 1853.

« Du fer, rien que du fer ! » - « Faites moi des parapluies » exigea l’Empereur après avoir admiré la nouvelle gare de l’Est. Baltard propose la construction de 12 pavillons de fer couverts de vitrage avec des parois en verre et des colonnettes en fonte, à l’architecture légère, spacieuse et aérée. Les travaux démarrent dès 1854, et quinze ans plus tard, dix des douze pavillons sortirent de terre.

« Le ventre de Paris » -  1852 à 1969

Au XIXème siècle, les Halles sont le centre névralgique de la capitale avec sa foule tourbillonnante et bigarrée, ses amoncellements de victuailles, ses flamboiements de couleurs, ses odeurs puissantes de fermes, de jardins et de marées.

Le « Pavillon 3 » accueille « La Boucherie » où les carcasses affluent pour être débitées durant la nuit avant que les foules ne se pressent, alors qu’ au Pavillon 9,  comme Emile Zola le décrit dans  Le Ventre de Paris  «  la marée arrivait, les camions se succédaient, charriant les hautes cages de bois pleines de bourriches, que les chemins de fer apportent toutes chargées de l'Océan ».

L’espace couvert s’avère rapidement insuffisant et plus de 500 marchands dit « au petit tas » inondent de denrée les carreaux des Halles chaque jour. Ce spectacle tentaculaire gagne les rues voisines.


1971-1973 : « L’assassinat des Halles », démolition des pavillons de Baltard

Dans les années 1950, les vieilles Halles commencent à être décriées. Car si elles drainent quotidiennement plus de 8000 tonnes de marchandises, leur (des)organisation ne facilite pas le négoce : « Ses tristes carcasses métalliques et ses parois de lattes font penser au séchoir de quelque gigantesque bateau-lavoir, successeur inattendu de la nef parisienne » écrivait alors Philippe Lefrançois, historien de Paris.

Leur transfert à la périphérie de la capitale s’impose et en 1965  les activités du marché de gros des Halles et de la Villette sont déplacées sur le site de Rungis.

Dans les années 1970, les pavillons de Baltard accueillent alors un ensemble d’activités artistiques et culturelles. En 1971, ils sont voués à la destruction pour laisser place au centre commercial Le Forum des halles.

Cette destruction est sujette à polémiques pendant plusieurs années et de nombreux parisiens déplorent « l’assassinat des Halles ». Seul un pavillon est démonté et reconstruit à Nogent-sur-Marne. Il est désormais classé monument historique.

 

Le 31 juillet, le Louvre des Antiquaires proposera à la vente les reproductions de photographies exposées. Patrice de Moncan signera son dernier ouvrage consacré aux Halles de Baltard.

Patrice de Moncan, historien de la Ville de Paris, a publié de nombreux ouvrages sur la capitale édités aux Editions du Mécène. « Baltard Les Halles de Paris  » est le huitième opus de la collection « Paris ! d’hier et d’aujourd’hui » qui connaît un large succès.

Au Louvre des Antiquaires en même temps :

 

Le nouveau visage des Halles en 2013

L’exposition du Louvre des Antiquaires présente les perspectives des architectes Patrick Berger et Jacques Anziutti, lauréats du concours international lancé le 31 octobre 2006 par la Ville de Paris dans le cadre de l’opération de rénovation du quartier des Halles. Basé sur la simplicité du principe développé par les toitures anciennes des Halles, le projet est composé d’une canopée architecturale ayant pour objectif d’assurer une continuité avec le jardin, les espaces publics et les monuments historiques. Trois illustrations de la canopée sont dévoilées au public, permettant aux visiteurs de découvrir quel sera le nouveau visage des Halles en 2013.

 

LE LOUVRE DES ANTIQUAIRES

2, place du Palais Royal
75001 Paris

Entrée libre.
Métro Palais Royal
Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 19h MAIS Fermé les dimanches de juillet.