31/05/01
Masahisa Fukase: The Unpublished Works, Stephen Wirtz Gallery, San Francisco
29/05/01
Annelies Strba, Galerie Almine Rech, Paris - New Works
26/05/01
Anne Chu, Victoria Miro Gallery, London
"My interest is in the fusion of painting and sculpture so that the painting in the sculpture is intrinsic to the form making, not decorating it. This is a tradition that has been seen in many ancient cultures, but has not been thoroughly explored in our era." -- Anne Chu
19/05/01
Leon Golub: Paintings, 1950–2000, Brooklyn Museum of Art - Retrospective Exhibition + Catalogue by Jon Bird
The exhibition is accompanied by a catalogue, Leon Golub: Echoes of the Real, by Jon Bird, published by Reaktion Books. Jon Bird is Professor of Art and Critical Theory at Middlesex University and a tutor in the Theory Department at the Jan van Eyck Acadamie, Maastricht.Publisher presentation: "Now in his late 70s, Leon Golub is a leading exponent of history painting – painting as a narrative, symbolic expression of global, social and political relations and of the realities of power. In this book, published to accompany a major retrospective exhibition travelling to Ireland, England and the United States, Jon Bird examines the artist's work from the classically influenced early paintings through depictions of conflict and masculine aggression to compelling images of the last two decades. Despite the widespread critical attention his work has received, the range and extent of his practice and its complex interweaving of the iconographic traditions of both high and popular art have not been properly examined. As a history painter, Golub is acutely aware of the antecedents to his own imagery and symbolism; part of Jon Bird's critical project is to track and define the artist's relationship to modernism. Making a case for Golub's practice of 'critical realism' that also takes account of the unconscious, Bird focuses on two themes that dominate Golub's work: how his art figures the body as a sign for social and psychic identity, and what might be termed the symbolic expression of social space."
15/05/01
François Lemoyne à Versailles (1688-1737)
Exposition
FRANCOIS LEMOYNE A VERSAILLES
(1688-1737)
Château de Versailles
15 mai - 12 août 2001
Après deux années de travaux, l'Apothéose d'Hercule retrouve enfin tout son éclat. Treize spécialistes ont travaillé à la restauration du plafond du salon d'Hercule exécuté entre 1733 et 1736 sur une surface totale de 480m2 avec toute la précision d'une toile de chevalet. Tout en préservant les altérations dues au vieillissement naturel de la toile, leur travail a mis en évidence l'histoire mouvementée d'une oeuvre unique qui conduisit son auteur au suicide après trois années d'un labeur inégalé.
A l'issue de ce chantier exceptionnel, le château de Versailles présente une exposition consacrée à François Lemoyne et à la genèse du plafond. Le visiteur pourra admirer, au début de la visite des Grands Appartements, l'ouvrage nouvellement restauré, puis découvrir l'exposition située dans les appartements de Madame de Maintenon.
Jusqu'à la réalisation du plafond de l'escalier de la résidence de Würzburg par Giambattista Tiepolo, l'Apothéose d'Hercule fut considérée comme la plus vaste composition peinte d'Europe. Le peintre s'était auparavant distingué par d'importants ensembles décoratifs dans les églises et les hôtels parisiens. Il chercha à s'imposer à Versailles par un art monumental hérité du Grand Siècle et parvint à le renouveler par l'usage de coloris clairs.
Appartenant à des collections dispersées de par le monde, les oeuvres rassemblées pour la première fois à Versailles depuis 1736 permettent de suivre pas à pas toutes les étapes de la préparation du plafond et de mieux comprendre les circonstances qui permirent à Lemoyne d'emporter la commande.
Avec La Continence de Scipion présentée au concours de peinture de 1727 (huile sur toile, Musée des Beaux-Arts de Nancy), l’artiste était parvenu à s'imposer parmi les figures marquantes de la peinture française.
Confronté à la difficulté de peindre une grande surface plafonnante, François Lemoyne avait dans un premier temps réalisé un modello "en forme", d'une taille douze fois inférieure à celle du plafond. Cette maquette, exemple unique dans l'histoire de l'art français, appartient aujourd'hui aux collections du château de Versailles.
Toutes les pièces exposées constituèrent pour François Lemoyne des étapes indispensables à l'élaboration de l'oeuvre finale. Les nombreuses études dessinées s'appliquent à décrire chacune des divinités présentes à l'Apothéose d'Hercule et témoignent de l’extrême attention que l’artiste porta à l’élaboration de son oeuvre monumentale.
Commissaire de l'exposition : Xavier Salmon, conservateur au musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
Publication : Catalogue de l'exposition par Xavier Salmon, 80 pages, 130 photographies, Editions Alain de Gourcuff.
L'exposition se déroule dans les appartements de Madame de Maintenon.
François Lemoyne à Versailles (1688-1737)
Château de Versailles
Etablissement public du Musée et du domaine national de Versailles
15 mai - 12 août 2001
11/05/01
Matthew Sontheimer, Dunn and Brown Contemporary, Dallas - Remarks
06/05/01
Udo Noger, Fassbender Gallery, Chicago - Me Waters
Amelia Stein, Rubicon Gallery, Dublin - Palm House
“ It is beautiful but not effortless. The first plants to be placed in the house had been shipped from tropical countries as resting specimens or as seed collected on a palm lined beach or a dark, dripping forest. They awoke to confined root runs but thrive, ensconced in a duplicate climate with water and food lovingly applied every day.” - Brendan Sayers, of the Botanic Gardens, in describing the “Pot and Tub” culture of the Great Palm House.
“Its vastness belies the fact that one is indoors, yet the atmosphere is alien. It is damp, still and scented as though in another world and it touches you as would an unseen spectre in the night. The light is filtered, first by the opaque glass and then by the taller inhabitants of the house, their vegetation casting ever-changing shadows. There is no great sound.” - Brendan Sayers.