Elizabeth Dee Gallery, New York
October 31 – December 19, 2009
ELIZABETH DEE GALLERY
545 West 20th Street, New York, NY 10011
www.elizabethdeegallery.com
STOREX STORYDISK HD
Le StoryDisk HD de Storex est un disque dur multimédia FULL HD 1080-P 24. Il permet de décoder les fichiers vidéo HD, tels que le H.264 (MKV), le Xvid HD et le MPEG HD.
Son port USB HOST 2.0 permet la lecture ou le tranfert de vos fichiers multimédia vers votre disque dur sans même avoir besoin de déplacer le StoryDisk HD ou de le déconnecter du téléviseur. Une clé USB, un disque USB ou une carte mémoire SD ou MMC suffisent.
Il dispose d’une mémoire interne qui peut aller jusqu'à 2 To avec laquelle vous pouvez stocker de nombreuses vidéos, pas mal de photos ou encore de la musique.
Caractéristiques techniques
Disque dur 3,5“
Capacités : de 500 Go à 2 To
Interface : USB 2.0 + USB HOST (copie USB)
Lecteur de cartes mémoire : MMC/SD
Sorties vidéo : HDMI 1.3 Full HD, 1080P-24 Composite, YUV
Sorties audio : SPDIF Coaxial 5.1, Stéréo RCA
Fichiers vidéo supportés : H.264 MKV,AVI, MPEG HD, XviD,
Fichiers audio supportés : AC3, MP3, WMA, LPCM
Fichiers image supportés : JPEG, BMP
Ecran LCD : Oui, 2 lignes d’affichage
Dimensions (LxHxP) : 245 x 42 x 175 mm
Poids avec disque : 1,1 Kg
Prix ttc : 199 euros en version 1 To
Disponibilité : Novembre 2009
Il est également proposé en version Lite, moins chère mais sans le full HD et sans écran LCD : Storex StoryDisk Lite HDMI 1080i
“Recent years have brought a reassessment of the works by California’s Abstract Expressionist artists and an appreciation of the importance of this school in the history of American art,” said Scott A. Shields, associate director and chief curator, Crocker Art Museum. “The Blair collection is extremely important to the Crocker because it represents a pivotal era that has been lacking in our collection of California art. Thanks to the Blair’s generous gift, we are able to offer a broad survey of the story of artistic development in California since 1945.”
Steven PARRINO, Untitled , 1993 Courtesy Art & Public, Geneva.
Andy Warhol, Stephane Kropf, Sylvie Fleury, Walter Steding, John Dogg, Christian Marclay, Carl Andre, Alix Lambert, Amy Granat, Janine Antoni, Walter Robinson, John Nixon, Ricardo de Oliveira, Christian Floquet, Lily van der Stocker, John Armleder, Laurie Parson, Cady Noland, Gavin Brown, etc... Le MAGASIN consacre son projet de rentrée au portrait de l'artiste Olivier Mosset. La forme qui est celle de l'hommage rassemble les oeuvres de nombreux artistes sans jamais montrer le travail d’Olivier Mosset lui même. Ces artistes appartiennent à toutes les générations confondues, de Carl Andre à Stéphane Kropf en passant par le collectif 1m3 pour les plus jeunes. Figure incontournable de la scène artistique, Olivier Mosset entretient avec eux des liens de voisinage au sein d'une famille de même sensibilité. Il collectionne leurs oeuvres, ou pratique l'échange. L’ensemble forme aujourd'hui une collection dont il a offert la plus grande partie au Musée de la Chaux-de-Fonds, d’autres oeuvres étant déposées ou données au MAMCO de Genève, au Consortium de Dijon, ou encore à Tucson. L'exposition entend donc faire le portrait de l’artiste à travers des salles qui seront organisées autour de thèmes identifiés. Une première salle présentera ses racines, avec les gravures de Chardin données chaque année par son grand père à ses collaborateurs, ou le portrait de Grégoire Muller. Une autre rassemblera les portraits d’Olivier Mosset à travers les photographies de Steven Parrino ou la peinture à l'acrylique de Walter Steding. Une autre salle dévoilera les citations, emprunts et copies (Hugo Pernet). Les ensembles qui suivent déclinent les peintures monochromes, les pièces au sol, et le lien indéfectible de l’artiste au monde du motocyclisme. Olivier Mosset est né en 1944 à Berne, il vit et travaille aujourd'hui à Tucson (Arizona). Membre du groupe BMTP en 1966 avec Daniel Buren, Niele Toroni et Michel Parmentier, il s'installe à New York en 1977. Bibliographie princiaples : Olivier Mosset : Travaux 1966-2003/Arbeiten 1966-2003/Works 1966-2003, Musée Cantonal des Beaux-Arts, Lausanne - Kunstverein St Gallen, 2003. Commissaire de l'exposition : Yves Aupetitallot MAGASIN – Centre National d'Art Contemporain Site Bouchayer-Viallet, 155 cours Berriat - 38000 Grenoble www.magasin-cnac.org
Désir est le thème fédérateur choisi par la Galerie Jérôme de Noirmont pour présenter un choix très attractif et limité d’œuvres d’artistes qu'elle représente en permanence, lors de la FIAC 2009. Parmi les artistes représentées par la galerie, Bettina Rheims, dont la photographie évoque immanquablement le désir féminin, dévoilera en avant-première les premiers tirages de sa toute nouvelle série C’est Paris (2009), qui sera exposée à la Bibliothèque Nationale de France en 2010. Cette nouvelle série fait suite à Just like a woman (2008). Galerie Jérôme de Noirmont 36-38, avenue Matignon - 75008 Paris FIAC 2009 Grand Palais, Paris 22 - 25 octobre 2009 .
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Wanafoto évolue et souhaite voir ses visiteurs participer au blog
Vous prenez des photos, envoyez-nous celle que vous préférez à wanafoto@gmail.com en joignant, si possible, un petit texte sur le contexte de la prise de vue et/ou le matériel utilisé.
Photographes amateurs, semi-pros ou pros, vous exposez, faites nous part de vos dates d'exposition afin que nous puissions nous en faire l'écho sur Wanafoto.
Vous souhaitez publier un message ? Envoyez le nous :)
“Anthony McCall was part of a circle that included many of the seminal artists of the 1960s – Richard Serra, Carolee Schneemann, Michael Snow and Joseph Kosuth, to name but a few – and addressed many of the issues they were dealing with, albeit in his own independent and idiosyncratic way. It is exciting now, to present this exhibition of McCall, following his wonderful comeback that started with the Whitney Biennial in 2004,” says Lars Nittve, Director of Moderna Museet and curator of Moderna Museet Now: Anthony McCall.
Entrance to the NASA Kennedy Space Center
From September 24 – 26, 220 happy invited guests converged on Orlando, Florida to attend the 2009 Hasselblad Global Conference. The singular choice of holding the event at NASA’s legendary Kennedy Space Center was in itself ample incentive for the guests to come. The Scandinavian-based company celebrated its history as well as heralding its future by staging part of the conference where Apollo 11 lifted off with Hasselblad moon cameras on board and unveiled the new H4D camera series together with the latest Phocus 2.0 imaging software.
Dr. Buzz Aldrin and press representatives Hasselblad CEO Christian Poulsen and Dr. Buzz AldrinA gathering of leading photography and aerospace experts as prestigious as the one at the Florida event will not be seen again for a long time. Hasselblad CEO Christian Poulsen took part along with senior management from the company’s research and development team to celebrate with familiar friends from NASA. And even the “Man on the Moon” himself appeared in person with his wife Lois: astronaut Buzz Aldrin, the second person to ever set foot on the moon as part of the 1969 Apollo mission and one of the first Hasselblad photographers to capture images in space. The 79-year-old veteran astronaut answered journalists’ questions, sharing details about his life and the unforgettable moon flight with equal portions of humor and philosophical insight. One perhaps little-known fact was that Hasselblad cameras are still awaiting the return of humans in the Sea of Tranquility, where the equipment had to be left behind to reduce weight on board the lunar lander.
Gala-Dinner in the Apollo/Saturn V Center beneath the mighty Saturn V rocket
The three-day program gave attendees many unique glimpses into the mysteries of aeronautics and behind-the-scenes information about Hasselblad. Those taking part in a VIP tour of the spacious Cape Canaveral space center were able to capture images from the past and future of space exploration. As part of a compact university training course, photographers were given useful tips on how to put their Hasselblad equipment to the most effective use from expert Hasselblad engineers themselves. The conclusion to the 2009 Hasselblad Global Conference was a banquet for the guests in the Apollo/Saturn V Center beneath a huge Saturn V rocket. The 110 m space rocket measuring 10 m in diameter created a genuinely overwhelming backdrop for the closing event.
Pour la présentation de l’exposition cliquez ici
L’exposition s’accompagne de différents spectacles, films, conférences et d’activités multimédia et pédagogiques pour les adultes mais aussi pour les enfants.
Sam 16 Janvier 2010 :
The Nervous Magic Lantern de KEN JACOBS
Au plus profond de la plus Grande Dépression
Ken Jacobs est un artiste majeur de la scène expérimentale new-yorkaise. Il est l’auteur de nombreux films, notamment Tom Tom the Piper’s Son, exploration d’un film homonyme de 1905 ; et du pamphlet sur la politique américaine dans la seconde moitié du XXème siècle, Star Spangled to Death.
Parallèlement à ses films, Ken Jacobs a créé un nombre important de performances sous la bannière de ce qu’il nomme « The Nervous System ». Celles-ci mettent le projecteur de cinéma au coeur de leur dispositif. Ken Jacobs invente ses propres instruments de projection qu’il manipule durant la performance. Il crée ainsi des effets rythmiques, de profondeur ou de relief inédits. Ses performances remettent en cause les perceptions habituelles du temps, de l’espace et de l’image, elles désorientent et bouleversent le spectateur.
Ken Jacobs présente à la Cinémathèque un film en 3D réalisé à partir d’images de l’un des pionniers du cinéma, Louis Aimé Augustin Le Prince (1842-1890), commande de la ville de Leeds : Gift of Fire. Nineteen Obscure Frames That Changed The World, ainsi qu’une performance à la lanterne : Au plus profond de la plus Grande Dépression dans laquelle il projette des plaques abstraites de son invention.
Au plus profond de la plus Grande Dépression
LES CONFÉRENCES DU CONSERVATOIRE DES TECHNIQUES
En partenariat avec la CST, La fémis, le CDHDTE du CNAM et les universités Paris I, Paris III, Paris VII, Paris X.
Tarif Plein 4 € / TR 3 € / Forfait atout prix et Cinétudiant 2.5 € / Libre pass entrée libre
Nous sommes à un tournant essentiel de l’histoire des techniques cinématographiques : la propagation de plus en plus rapide du numérique va entraîner la perte de certains procédés. Comme à l’arrivée du son en 1927-1929, des appareils, des systèmes, des films, des métiers vont disparaître, intellectuellement et physiquement. La Cinémathèque française a créé un «Conservatoire des techniques» pour collecter et préserver les traces technologiques du 7e art, pour rassembler les témoignages et les archives des techniciens, pour sauver la mémoire des industries du cinéma.
A partir du 16 octobre, un cycle de conférences à l’occasion de l’exposition :
Ven 16 octobre 14h30
CONFERENCE DE DOMINIQUE WILLOUGHBY « LA PEINTURE ANIMEE DEPUIS ÉMILE REYNAUD »
En 1880 avec son Praxinoscope à projection, Emile Reynaud parvient à coupler la synthèse graphique du mouvement avec la lanterne magique, créant une nouvelle technique de peinture animée lumineuse, distincte des formes antérieures de projection et qui précède le cinéma photographique. Inventeur et artiste accompli, il crée ensuite le jeu expressif des personnages peints et animés dans ses Pantomimes Lumineuses, puis la Photo Peinture animée. De toutes ces inventions on peut retrouver des développements au fil des évolutions du cinéma, des films absolus au dessin animé narratif, en passant par les films coloriés et les hybridations graphiques et photographiques. Cependant, la peinture animée en tant que technique « directe » va principalement se développer dans le cinéma expérimental, notamment avec les films de Len Lye et McLaren à partir des années 1930.
A la suite de sa conférence, Dominique Willoughby signera son livre Le Cinéma graphique, Une histoire des dessins animés (Editions Textuel) à la librairie de la Cinémathèque.
Dominique Willoughby est cinéaste et enseigne à l’Université Paris 8, il est directeur de l’association Cinédoc Paris films Coop, spécialisée dans la conservation et distribution du cinéma expérimental.
Ven 6 novembre 14h30
CONFERENCE DE LAURENT MANNONI « LIFE MODELS » (CONFERENCE, PROJECTION ET LECTURE)
A partir des années 1870 apparaît en Angleterre un nouveau genre de plaques pour lanterne magique : les « Life Models ». Ce sont des plaques photographiques sur verre transparent et rehaussées de couleurs à la main. Les prises de vues ont été réalisées dans des studios vitrés anglais, avec des acteurs et figurants. Chaque série de plaques raconte une histoire, mimée par les comédiens sur fond de toile peinte. Les vues étaient accompagnées de commentaires et, parfois, de chansons.
La conférence retracera l’histoire esthétique et technique des « Life Models », et sera aussi l’occasion de présenter le fonds exceptionnel conservé par la Cinémathèque (quelque 1600 plaques). Plusieurs séries originales seront projetées.
A la suite de sa conférence, Laurent Mannoni signera le catalogue de l’exposition Lanterne Magique et film peint à la librairie de la Cinémathèque.
Laurent Mannoni est le commissaire de l’exposition « Lanterne magique et film peint - 400 ans de cinéma » avec Donata Pesenti Campagnoni. Directeur scientifique du patrimoine et du Conservatoire des techniques cinématographiques à la Cinémathèque française, il est l’auteur de nombreuses contributions sur les débuts du cinéma.
Ven 4 décembre 14h30
Conférence-Projection de NICOLE BERNEZ, JOSE ANTONIO SISTAGIA et HUGO VERLINDE :
FILMS PEINTS / FILMS SANS CAMERA / TECHNIQUES EXPERIMENTALES DE L'ARGENTIQUE AU NUMERIQUE
Arnaldo Ginna et Bruno Corra, Georges Méliès, Lon Chaney, Werner Graeff, Dwinell Grant, Len Lye, Maurice Lemaître, Carmen D’Avino, José Antonio Sistiaga, Stan Brakhage, Frédérique Devaux, Jürgen Reble, Carl Brown, Jeff Scher, Cécile Fontaine, David Matarasso, Yves-Marie Mahé, Jérôme François, Henri Foucault… quelques uns des noms attachés à la grande tradition expérimentale du film peint, qui s’inscrit dans l’histoire encore à établir des techniques de création cinématographique sans caméra, déjà relayée par les technologies numériques.
Ponctuée de projections, alimentée par les artistes pluri-disciplinaires José Antonio Sistiaga et Hugo Verlinde, cette conférence s’attache à retracer les initiatives pratiques et propositions formelles en matière de films peints et de cinéma sans caméra.
Nicole Brenez enseigne à Paris 1-Panthéon-Sorbonne. Elle est la programmatrice des séances de cinéma expérimental de la Cinémathèque française depuis 1996. En 2000, elle organisait à la Cinémathèque la rétrospective Jeune, dure et pure, une histoire du cinéma d’avant-garde et expérimental en France. Auteur de nombreux ouvrages, sur Abel Ferrara ou Jean Epstein, elle a dirigé le catalogue d’exposition Jean-Luc Godard : Documents (Centre Pompidou, 2006).
Vendredi 8 janvier 14h30
Conférence de JACQUES MALTHETE : « Technique du film peint aux débuts du cinéma »
La mise en couleurs des premières bandes cinématographiques a d'abord été réalisée à la main, image par image, à l'aide d'un simple pinceau jusqu'en 1903-1904, puis au moyen de pochoirs. Les coloris appliqués sur l'image positive étaient les fameuses "couleurs d'aniline", obtenues selon des procédés industriels mis au point dans la seconde moitié du XIXe siècle. Les bandes positives pouvaient également être virées ou teintées.
Au-delà de contraintes économiques raisonnablement identifiables, la logique selon laquelle s'opérait le choix des coloris, comme celui du procédé de mise en couleurs, n'est toutefois pas toujours facile à saisir.
Jacques Malthête a été directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique. Il est l'auteur de nombreuses contributions sur les débuts du cinéma et, en particulier, sur Georges Méliès dont il est l'un des descendants. Il a notamment été le co-directeur du catalogue de l'exposition Méliès, magie et cinéma (Paris-Musées, 2002) et le co-auteur du catalogue raisonné L'Oeuvre de Georges Méliès (La Cinémathèque française/Editions de La Martinière, 2008). Il a participé à plusieurs ouvrages collectifs sur Léon Gaumont et Étienne-Jules Marey.
Vendredi 5 février 14h30
Conférence de JEROME PRIEUR avec une introduction de Laurent Mannoni
ROBERTSON, LE FANTASMAGORE
Tout en hauteur, à plusieurs mètres du sol, presque dans les airs, repose un catafalque de pierre. Sur la corniche, quatre têtes de morts et deux angelots escortent le défunt comme pour une dernière messe noire.
Au détour du Père-Lachaise, se dresse le mausolée d'Étienne-Gaspard Robertson né à Liège le 15 juin 1763 et mort aux Batignolles le 2 juillet 1837. Physicien renommé en son temps et jusqu'à Saint-Petersbourg pour ses ascensions aérostatiques et les séances de fantasmagories qu'il donnait à la fin du Directoire, au couvent des Capucines, Robertson avait inventé l’art de la nuit, la projection lumineuse, le cinématographe.
Depuis son premier essai, Nuits blanches (Gallimard), Jérôme Prieur a beaucoup écrit sous l’inspiration de l’image : de Séance de lanterne magique (Gallimard) jusqu’à Roman noir, sur la littérature gothique (Seuil, « La librairie du XXIème siècle »), en passant par Le Spectateur nocturne et la découverte du cinéma (Cahiers du cinéma).
Cinéaste, ses films documentaires s’intéressent à la littérature, à l’histoire, à l’archéologie, et notamment aux débuts du christianisme qui ont donné lieu à trois grandes séries réalisées avec Gérard Mordillat (Corpus christi, L’Origine du christianisme, L’Apocalypse).
CINECYCLE 2009-2010
Cycle trimestriel de pratique du cinéma : les jeunes cinéphiles passent derrière la caméra et l’écran.
CinéCycle 1 : Les secrets de la projection
Ce CinéCycle permet de découvrir tous les secrets de la projection des images : images fixes avec les lanternes magiques, ou en mouvement avec les films peints sur pellicule, réalisés sans caméra. Ce CinéCycle est également l’occasion de rencontrer le peintre et cinéaste José Antonio Sistiaga qui réalise des films peints directement sur de la pellicule, présentés dans l’exposition.
Tous les mercredis du 07 octobre au 16 décembre 2009
Pour les enfants de 11 à 14 ans (groupe de 12 enfants maximum)
De 15h à 17h30 le mercredi, hors vacances scolaires - Tarif 60 € par cycle de 8 séances inscription trimestrielle
Pendant l’année scolaire 2009-2010 : 3 cycles de 8 séances :
CinéCycle 1 : Les secrets de la projection du 07 octobre au 16 décembre 2009
CinéCycle 2 : Un monde en couleurs du 13 janvier au 17 mars 2010 - Inscription à partir du 2 décembre 2009
CinéCycle 3 : du 24 mars au 26 mai 2010 - Inscription à partir du 24 février – 2010.
MULTIMEDIA
... Zoom sur… Le théâtre optique d’Emile Reynaud www.cinematheque.fr/zooms/reynaud
L’histoire, réanimée, de cet incroyable inventeur qui réussit à maîtriser la technique de la projection en mouvement, grâce à son Théâtre optique, présenté pour la première fois à l’Exposition universelle de 1889… Mais connaissez-vous le praxinoscope ?
Avec le soutien de la Mission de la Recherche et de la Technologie du Ministère de la Culture, la Cinémathèque a initié le vaste projet de numérisation de sa collection de plaques de lanterne magique, qui compte plus de 17 000 pièces.
Une première phase du projet, qui a abouti à la mise en ligne du site www.laternamagica.fr, accessible à tous, a permis de numériser en 2008 un premier corpus d’environ 1 500 plaques. Il s’agit des plaques de lanterne magique issues des fonds « Royal Polytechnic Institution » de Londres (plaques de grand format soigneusement peintes à la main) et « Life models » (photographies rehaussées de couleurs, et présentées généralement sous forme de séries).
A l’automne 2009, un nouveau corpus d’environ 1 200 pièces sera ajouté. Il concerne la collection du fabricant français Lapierre.
Compte tenu de la taille de la collection, de la fragilité des pièces, qui nécessite un travail minutieux et soigné, le site continuera de s’enrichir au fil des années.
POUR LE JEUNE PUBLIC
autour de l’exposition LANTERNE MAGIQUE ET FILM PEINT
du 14 octobre 2009 au 28 mars 2010
Au temps où le cinématographe n’existait pas encore, on connaissait déjà le secret des images projetées. A la Cour de France ou dans les plus petits villages, grâce à des colporteurs, la lanterne magique projetait des images féériques, drôles ou énigmatiques. Cette exposition dévoile ces étonnantes images qui nous parlent de voyages, de fantômes, de contes et de légendes… Pour plonger dans cet univers inconnu et fascinant, des visites, des ateliers et des stages pendant les vacances, sans oublier un livre et un spectacle de lanternes, conçus tout spécialement à l’attention du Jeune public.
Visites ateliers en famille - NOUVEAU le dimanche
Une visite de l’exposition suivie d’un temps d’atelier pratique en famille.
Chaque visite-atelier sera différente, faisant écho à un des aspects de l’exposition : plaques animées (8 nov), fantômes (22 nov), films peints (6 déc), contes et légendes (13 déc), et autres rendez-vous en 2010… Pour les enfants de 6 à 8 ans accompagnés d’un adulte De 10h30 à 12h30 les 8 novembre, 22 novembre, 6 décembre, 13 décembre - Tarifs : 8€ pour les adultes et 4€ pour les enfants.
Pendant les vacances de la Toussaint : Stage « Fantômes de cinéma »
Apparitions, ombres, silhouettes, effets de lumière… Tous ces phénomènes permettent de révéler la présence des fantômes au cinéma. Lors de ce stage, on utilisera différentes techniques pour faire apparaître les fantômes qui hantent la Cinémathèque : depuis les lanternes magiques jusqu’aux rayogrammes, en passant par les surimpressions, les effets de flou ou la pixillation. Et pour finir, le samedi, une séance spéciale Halloween…
Pour les enfants de 10 à 12 ans
Jeu 29 et ven 30 octobre, de 10h à 17h (prévoir un pique-nique pour le déjeuner) puis sam 31 octobre de 15h à 18h : séance Jeune Public suivie d’un goûter et de la présentation des travaux.
Tarif 40 € par enfant (une place adulte est offerte par enfant participant au stage, pour la séance Jeune Public du samedi).
Sam 5 déc à 15h et dim 13 déc à 15h00
Spectacle de Lanternes magiques pour le jeune public : « Philidor et les lanternes magiques »
Création en avant-première
A l’occasion de l’exposition Lanterne magique et film peint. 400 ans de cinéma, un spectacle, conçu par le Service pédagogique de la Cinémathèque, a été confié au conteur Julien Tauber. Celui-ci s’inspire de l’univers merveilleux des lanternes – pays lointains, plaques scientifiques, diableries… – ou des contes traditionnels illustrés sur plaques, pour nous entraîner dans un voyage inédit. Dans la tradition du spectacle total, le conteur est accompagné par un musicien et par deux lanternistes qui, depuis la salle, projettent sur grand écran les images peintes sur verre.
Durée approximative : 75’. Spectacle à voir en famille (enfants à partir de 6 ans).
Dim 29 novembre à 15h00
Lanterne magique : le grand art de la lumière et de l’ombre
Pour la première fois, à l’occasion de l’exposition de la Cinémathèque française, « Lanterne magique et film peint », Laura Minici Zotti, directrice du Musée du pré-cinéma de Padoue, présentera, en plus d’une sélection de peintures sur verre du XIXème siècle, quelques séries du XVIIIème, particulièrement rares, afin que le public d’aujourd’hui s’étonne et s’émerveille à la manière des spectateurs des époques anciennes.
Quand les lumières s’éteindront dans la salle, le spectateur sera projeté dans une soirée d’il y a deux cents ans. Le noir est le complice des sentiments. Les limites d’espaces et de temps n’existent plus. Les images qui se succèderont sur l’écran apparaîtront comme par magie, stupéfiantes. Bien que nos yeux contemporains soient habitués à des rythmes de perception souvent convulsifs, en chacun de nous demeure intacte la capacité à se laisser aller à l’étonnement, à la rêverie, à un retour à des temps calmes et harmonieux. Peu à peu, le rythme de nos pensées s’apaise, emportées sur les ailes de l’imagination.
Spectacle conçu par Laura Minici Zotti - Lecture par Mathieu Dion - Ingénieur du son: Francesco Modolo - Durée approximative : 80’. Spectacle à voir en famille (enfants à partir de 10 ans).
FILMS
Programme Norman McLaren - Sam 14 novembre 14h30 Salle HL
Discours de bienvenue de Norman McLaren (Opening Speech) de Norman McLaren - Canada/1960/6’/35mm : Film à truquages avec animation d’objets et animation d’un acteur.
Points (Dots) de Norman McLaren - Canada/1940/2’/35mm : Effets visuels et sonores abstraits dessinés à l’encre de chine sur pellicule 35mm
La Poulette grise
de Norman McLaren
Canada/1947/6’/35mm
Dessins colorés au pastel illustrant une vieille berceuse française.
Hen Hop de Norman McLaren - Canada/1942/3’/35mm : Représentation visuelle et musicale du chant du canon.
Le Merle de Norman McLaren - Canada/1958/4’/35mm : Animation image par image et superposition optique de découpage de papier blanc sur simples fonds de couleur.
Mosaïque (Mosaic) de Norman McLaren - Canada/1965/5’/35mm : En réunissant les copies de Lignes verticales et Lignes horizontales (lignes blanches sur fond noir), seules les intersections sont visibles et les petits carrés produisent des « mosaïques ».
Blinkity Blank de Norman McLaren - Canada/1955/5’/35mm : Utilisation d’animation intermittente et d’images spasmodiques jouant sur la persistance de la vision et l’après image dans la rétine de l’oeil.
Il était une chaise (A Chairy Tale) de Norman McLaren - Canada/1957/9’/35mm : Allégorie avec action en direct, utilisant des techniques de pixillation, différentes vitesses de caméra et beaucoup de manipulation de la chaise à l’aide de fils invisibles.
Rythmetic de Norman McLaren - Canada/1956/8’/35mm : Film d’animation sur les règles d’arithmétique les plus simples avec chiffres blancs découpés, évoluant sur fond noir.
Caprice en couleur
(Begone Dull Care)
de Norman McLaren
Canada/1949/7’/35mm :
Interprétation de trois pièces de jazz très différentes jouées par le trio d’Oscar Peterson et composées par ce dernier.
Voisins (Neighbours)
de Norman McLaren
Canada/1952/8’/35mm
Animation d’acteurs, Jean-Paul Ladouceur et Grant Munro, par des techniques généralement utilisées pour des dessins de marionnettes.
Dans le cadre de la programmation Cinéma d’avant-garde :
Chaab Mahmoud Mix Magic
Ven 13 novembre 19h30 Salle GF
Les Aristocrates à la lanterne de Chaab Mahmoud - France/2009/60’/lanterne magique et plaques
José Antonio Sistiaga - Ven 13 novembre 21h30 Salle GF
Impressions en haute atmosphère de José Antonio Sistiaga - Espagne/1989/7’/35mm
…era erera baleibu izik subua aruaren... de José Antonio Sistiaga - Espagne/1968-70/75’/35mm
…era erera baleibu izik subua aruaren... de José Antonio Sistiaga
Classiques du film peint - Ven 27 novembre 19h45 Salle GF
Carolee Schneemann, Fuses, 1964
Rainbow Dance de Len Lye - NZ/1936/5’/16mm
Films abstraits de Luigi Veronesi - Italie/1940/5’/vidéo
Fuses de Carolee Schneemann - Etats-Unis/1964-67/25’/16mm
Chantal D, star de Maurice Lemaître - France/1968/26’/16mm
Graphyty de Jean-Pierre Bouyxou - France/1968/20’/35mm
Japon Series de Cécile Fontaine - France/1991/7’/16mm
Shockingly Hot de Stan Brakhage - Etats-Unis/1996/4’/16mm
Yours de Jeffrey Scher - Etats-Unis/1997/7’/16mm
Nécessités du film dépeint - Ven 27 novembre 21h45 Salle GF
Inter-no-view de Gil J Wolman - France/1982/30’’/Extrait sonore
Un coup pour deux Mégapneume de Gil J Wolman - Canada/1965/4’/vidéo
Bartok de Gil J Wolman - France/1982/25’/vidéo
Le Poète interrompu (2° version) de Gil J Wolman - France/1982/40’/vidéo