27/02/09

Fiches techniques Photo-Reporter

Le magazine Photo-Reporter a publié depuis son premier numéro en janvier 1976 des fiches techniques détachables. Voici une première liste des fiches publiées dans la première série du magazine, du n° 1 au n° 21, c'est-à-dire des numéros de janvier 1976 à juillet 1978 inclus. A partir du numéro suivant d'août-septembre 1978, une nouvelle série commence avec 8 fiches techniques par numéro : 4 consacrées aux techniques de la photo et 4 à celles du cinéma.
Ne disposant pas des premiers numéros (ils furent d'ailleurs assez vite épuisés), je ne cite que les thèmes des fiches publiées dans chaque numéro (cette liste figurait dans des numéros plus récents). Sachant que chaque fiche portait sur un aspect plus précis du thème général. Je serais plus précis lorsque j'aurais pu me procurer ou consulter ces numéros. Toutefois l'intitulé pour certains numéros fournissent plusieurs sujets (exemple : un sujet photo et un sujet cinéma comme cela sera systématisé ensuite)
>>> Si vous disposez d'un de ses numéros, pourriez-vous me communiquer le titre plus précis de chacune des fiches ? Vous pouvez les noter en commentaire ou en me contactant par email
  • N° 1 - Janvier 1976 : Savoir utiliser un flash
  • N° 2 - Mars 1976 : Température de la couleur. Les filtres
  • N° 3 - Avril 1976 : Effets spéciaux en laboratoire
  • N° 4 - Mai 1976 : Photo de reportage
  • N° 5 - Juin 1976 : Photo sous-marine
  • N° 6 - Juillet 1976 : La macrophotographie
  • N° 7 - Octobre-Novembre 1976 : Différentes sources de lumière
  • N° 8 - Décembre 1976 : Cinéma et filtres spéciaux
  • N° 9 - Janvier-Février 1977 : Cinéma et filtres spéciaux (à nouveau)
  • N° 10 - Mars 1977 : Chasse photo et sensitométrie
  • N° 11 - Avril 1977 : Chasse et mise en scène cinéma
  • N° 12 - Mai 1977 : Technique de laboratoire et plans cinéma
  • N° 13 - Juin 1977 : Portrait au flash et cinéma : les focales
  • N° 14 - Juillet 1977 : Le mouvement et cinéma : la nuit
  • N° 15 - Septembre-Octobre 1977 : Cas spécifiques et cinéma : L'éclairage...
  • N° 16 - Décembre 77-Janvier 1978 : Cas spécifiques et mouvements de caméra
  • N° 17 - Février 1978 : Accidents en N et B et prises de vue cinéma
  • N° 18 - Mars 1978 : Effets spéciaux en photo et cinéma
  • N° Spécial - Avril 1978 : Solarisation en photo, filtres et éclairage cinéma
  • N° 19 - Mai 1978 : Portraits en intérieur et prise de son
  • N° 20 - Juin 1978 : Portraits au flash (à nouveau) et prise de son (à nouveau)
  • N° 21 - Juillet 1978 : Solarisation et lumière

Magazine Photo-Reporter/avril 1981/N°30

Photo de couverture Copyright Jean-Daniel Lorieux
Couverture Copyright EDIMAR - Tous droits réservés
Au sommaire du n° 30 de Photo-Reporter - Le magazine de l'actualité photo-ciné - d'avril 1981 :
  • Portfolio - Reportage d' Alexandre Aufort chez les pompiers de Paris
  • Photo-journalisme / Reportage - 30 jours d'agence
  • Bilan technologique - Bronica
  • Techniques - La projection de fond
  • Pascal Manoukian - "Comment je suis devenu photo-reporter"
  • Reinhart Wolf - New York comme personne ne l'a jamais photographié
  • Jean-Daniel Lorieux aux Rencontres d'Olympus - Une expo : Palier ou consécration ?
  • Le film Fujichrome 400
  • Le métier de Photo-reporter
  • Rubriques régulières

Rubrique Magazines Photo

26/02/09

Pinnacle Dazzle DVD Recorder

Une solution pour sauvegarder toutes vos vidéos - Dazzle DVD Recorder vous permet de transférer rapidement le contenu de vos cassettes vidéo sur DVD
Fonctionnalités-clés :
  • Le boîtier USB Dazzle se connecte facilement à un magnétoscope, à un lecteur DVD, à un caméscope ou à presque tout appareil vidéo.
  • Le logiciel vous permet de graver vos vidéos directement de la source vers un DVD.
  • Vos vidéos sont préservées sur des DVD pouvant être lus sur tout lecteur DVD de salon.
  • Inclut Pinnacle Instant DVD Recorder : Enregistrement en un clic de votre source vidéo vers un DVD avec menu et chapitres.
Configuration minimale requise • Windows® XP (SP2 ou supérieur) ou Windows Vista • Intel® Pentium® ou AMD® Athlon®, 1,4 GHz ou supérieur (2,4 GHz ou supérieur recommandé) • 512 Mo de RAM, (1 Go recommandé) • Carte graphique 64 Mo compatible DirectX® 9 ou supérieure ( 128 Mo de RAM recommandé) • Carte son compatible DirectX 9 ou supérieure (M-Audio® ou Creative® Audigy®) • 1 Go d'espace disque pour installer le logiciel • 1 port USB 2.0 (haut débit) • Graveur DVD pour la création de DVD
Configuration matérielle • Entrées vidéo : Vidéo composite (RCA), S-Video (mini-DIN) • Interfaces audio: Audio stéréo (RCA x2) • Connexion au PC : Port USB 2.0 (haut débit)
Caractéristiques du logiciel • Capture depuis toute source vidéo avec sortie vidéo composite (RCA) ou S-Video
Format d’exportation • DVD ou DVD-image

© 2003-2007 Pinnacle Systems, Inc. and its licensors and/or suppliers. All rights reserved. Pinnacle Systems, Pinnacle Studio, Pinnacle PCTV and the Pinnacle Pinwheel logo are registered trademarks and/or trademarks of Pinnacle Systems, Inc. and its affiliates in the United States and other countries. DivX and associated logos are trademarks of DivX, Inc. and are used under license. Portions of this product may utilize Microsoft Windows Media Technologies. ©1992-2002 Microsoft Corporation. All rights reserved. Windows Vista is either a registered trademark or trademark of Microsoft Corporation in the United States and/or other countries. QDesign MPEG-1 layer 2 Fast Encoder/Decoder ©1996-2002 by QDesign Corporation. All mentioned trademarks are the property of their respective owners.

25/02/09

SanDisk Multi-Card reader – New version for North America

SanDisk has shipped the latest edition of its popular ImageMate Multi-Card reader, with increased efficiency and faster data transfer rates. The new reader is available for purchase at this time in North America.

Faster, smaller and sleeker than it predecessor, and featuring upgraded software application, the new Multi-Card readers quickly transfer data between a wide range of memory card formats and a host computer. This reader is capable of up to 30MB/s read and 27 MB/s write data transfer rates when using a SanDisk Extreme III 30MB/s Edition SDHC card. Sporting a glossy black and metallic silver design, the reader’s tripod base is detachable, creating instant portability.

In addition to the traditional drag-and-drop method, the new SanDisk ImageMate reader streamline the process of transferring digital content by including a transfer button that automatically launches a user-defined application or web site. A single press of the reader’s button will open a designated application such as Photoshop or a Flickr account, and from there the user can transfer or edit photos. SanDisk’s updated ImageMate software bundle enables photographers to utilize the advanced features of both readers, simplifying the most common tasks that they want to perform—transferring photos to a PC, archiving and sharing them.

Featuring more format options than a single card reader, the ImageMate Multi-Card reader easily transfers files to and from multiple memory card formats, including xD, Memory Stick, SD, SDHC, and MMC. Suggested retail price is $19.99.

Other post : SanDisk ImageMate All-in-One memory card reader

www.sandisk.com/corporate

SanDisk All-in-One memory card reader – New version for North America

SanDisk has shipped the latest edition of its popular SanDisk ImageMate memory card reader, with increased efficiency and faster data transfer rates. The new ImageMate All-In-One has shipped to retailers in North America and is available for purchase at this time.
Faster, smaller and sleeker than it predecessor, and featuring upgraded software applications, the new reader quickly transfer data between a wide range of memory card formats and a host computer. The All-In-One memory card reader can reach speeds of up to 34 megabytes per second (performance may vary depending upon host device) when using a SanDisk Extreme IV 45MB/s CompactFlash card. Sporting a glossy black and metallic silver design, the reader’s tripod base is detachable, creating instant portability.
In addition to the traditional drag-and-drop method, the new SanDisk ImageMate reader streamline the process of transferring digital content by including a transfer button that automatically launches a user-defined application or web site. A single press of the reader’s button will open a designated application such as Photoshop or a Flickr account, and from there the user can transfer or edit photos. SanDisk’s updated ImageMate software bundle enables photographers to utilize the advanced features of both readers, simplifying the most common tasks that they want to perform—transferring photos to a PC, archiving and sharing them.
The ImageMate All-In-One reader supports virtually every industry-standard memory card format currently available, and multiple cards can be inserted simultaneously for card-to-card data transfers. Each card slot features a blue LED light, which indicates data transfer activity. Supported formats include SD, SDHC, miniSDHC, microSDHC, MMC, Memory Stick, Memory Stick Pro Duo, xD and CompactFlash, among others. Suggested retail price is $29.99.
www.sandisk.com/corporate

Magazine ZOOM numéro 1 Janvier 1970

Rubrique : Sommaires Anciens Magazines > Photographie > Zoom
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Couverture du premier numéro de Zoom - Le Magazine de l'Image, de janvier 1970
(c) 1970 - James Baes/Zoom/Publicness/Michel Caen - Tous droits réservés
ZOOM est édité par la société Publicness qui est également l'éditeur de comics américains traduits en français tel que Vampirella, Creepy - Premier Magazine illustré d'épouvante, Eerie - Le Magazine de l'étrange. Notons à ce propos que Zoom est conçu comme le magazine de l'image et cela inclus la BD qui est présente dans le magazine, aux côtés de la photo, du cinéma mais aussi du son. Publicness dispose également d'un catalogue de films dont "Les plus grands classiques du cinéma fantastique" tels que Frankenstein, Dracula, La Momie... qu'elle commercialise auprès des particuliers via le Club Creepy, en 8 mm, Super 8 ou 16 sonore ou muet.
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Le comité de Direction est composé de Jacques Ascher, Joël Laroche et Michel Caen. Ce dernier étant le rédacteur en chef et véritable "cheville ouvrière" du nouveau magazine photo. Le secrétaire de rédaction est Robert Y. Piedge.
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Au sommaire du n° 1 de Zoom :
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> Charme : James Baes a photographié Sophia Loren, Annie Duperey, Luciana Gilli, Anna Gaël, Marika Green, Tina Aumont, Valérie Lagrange, Anita Pallenberg, Véronique Vendell, Barbara Steele, Haydée Politoff, etc.
> Philip Letellier : reportages à Alger, Cuba, Prague
> Raymond Bertrand : "Le sadisme est lié à l'amour de la femme..."
> Fellini's Satyricon
> Gourmelin
> L'electronic video recording (EVR)
> Les tests Zoom : 6 x 6 reflex, Moviflex GS8
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Jean-Philippe Reverdot - Télévision - Photographies

Télévision de Jean-Philippe Reverdot est un livre d'artiste tiré à 200 exemplaires signés et numérotés. Ce livre s'ouvre sur une unique page qui se déplie comme une carte ou un plan, indiquant en 24 images d'un temps télévisuel quelques-unes des positions cardinales de notre vieille société du spectacle. Au programme : jeu, argent, sexe et bonheur pour tous.
Jean-Philippe Reverdot, artiste exigeant et intransigeant, pratique la photo en écrivain : chacune de ses images est destinée à publication, vouée à se déployer en regard d'une page blanche, d'un texte, ou d'une autre image.
  • Textes : sans texte
  • Photos : Jean-Philippe Reverdot
  • Editeur : Marval http://www.marval.com/
  • Thème : Photographie
  • Format : 166 x 166 mm
  • Nombre de pages : 1 page
  • Reliure : 166 x 166 mm (format fermé), 1 feuille 978 x 655 mm collée, sous une couverture cartonnée
  • 200 exemplaires numérotés et signés par l'auteur
  • Illustrations : 24 photographies en Noir et Blanc

Maurice Renoma - Mythologies - Photographies

Maurice Renoma, Mythologies, Marval


Avec Mythologies, Maurice Renoma renoue par la photographie numérique avec la tradition du photomontage surréaliste et fait subir des mutations génétiques à ses modèles : portraits ou nus à tête d'animaux ou de légumes, pour peupler un univers hybride plein d'étrangeté. Pascal Lainé met en mots ce singulier univers photographique.
Précurseur de la mode “yé-yé” au début des années soixante, Maurice Renoma devient très rapidement un des créateurs préférés du show-business et d'une jeunesse avide d'innovations et de liberté. Quarante ans plus tard, Maurice Renoma est présent aux quatre coins du globe et impose sa marque. Depuis plusieurs années, il se passionne pour la photographie et a déjà publié chez Marval Renoma… Maurice : modographe.
  • Textes : Pascal Lainé
  • Photos : Maurice Renoma
  • Editeur : Marval
  • Thème : Photographie
  • Format : 295 x 290 mm
  • Nombre de pages : 120 pages
  • Reliure : relié
  • Illustrations : 70 photographies (bichromie + couleurs + vernis)
Couverture (c) Maurice Renoma / Marval - Tous droits réservés - www.marval.fr

Jean-Pierre Haigneré - De l'Espace La Terre vue de la station Mir

Jean-Pierre Haigneré, sélectionné comme spationaute par le CNES dès 1985, prend part aux études préliminaires de l'avion spatial Hermès et suit un entraînement à la Cité des étoiles, près de Moscou, pour la mission franco-russe Perséus. En 1999, il passe 188 jours à bord de la station Mir et sort plusieurs fois dans l'espace. En dehors de sa mission scientifique, il a pu, avec un appareil 24x36 classique, prendre les images présentées dans ce livre, toutes empreintes d'une très grande sensibilité artistique.
Jean-Pierre Haigneré est né en 1948. Pilote de chasse puis pilote d'essai (sur 105 types d'avions différents), il est général de l'Armée de l'air française.
  • Textes : Jean-Pierre Haigneré
  • Photos : Jean-Pierre Haigneré
  • Editeur : Marval
  • Thème : Photographie
  • Format : 300 x 300 mm
  • Nombre de pages : 180 pages
  • Reliure : relié + jaquette
  • Illustrations : 120 photographies

Couverture (c) Jean-Pierre Haigneré / Marval - Tous droits réservés - http://www.marval.com/

24/02/09

Corel Painter 11 disponible en anglais

Dans un communiqué de presse publié aujourd'hui sur le site américain du concepteur de logiciel pour photographes et designers, Corel annonce la disponibilité de la nouvelle version de Corel Painter, Corel Painter 11. Pour l'instant, voir le message en anglais pour plus d'informations. Un message sera bientôt publié en français ;)
Illustration (c) 2009 - Corel - Tous droits réservés

Corel Painter 11 Digital Painting and Illustration Software

Since its inception, Corel Painter has set a standard for painting and illustration software. With Painter 11, artists can now expand their digital toolset with an advanced painting and natural media tools. New pressure-sensitive brushes allow hand and brush to fluidly work as one, producing brushstrokes that are unrivaled in texture and precision. Enhanced drawing tools and customizable media allow users to create distinct art every time. In developing the newest version of Corel Painter, the Corel team focused on four key areas:
  • Enhancing the Creative Process - Painter 11 offers artists the ability to enhance their creativity through the freedom to create and customize brushes and media variants to their precise specifications. With unique new tools including new artistic media, new hard media brushes, and new selection tools, Painter 11’s unique toolset enables users to create art that would not be possible working with traditional media.
  • Going Beyond the Digital Darkroom - With Painter 11, artists can expand their digital toolset with painting media designed to extend the capabilities of digital photography programs such as Corel Paint Shop Pro Photo and Adobe Photoshop. New color management improves color recognition when importing files from other applications and individual color profiles per document create greater color accuracy for each file.
  • Learning from Unlimited Experimentation - For those looking to embark on an artistic education, Painter 11 offers the ability to experiment with color theory and composition much faster than in a traditional environment, and without the toxins and mess. With the option to undo brushstrokes and other effects, this digital art studio provides the ability to experiment in an unlimited capacity, giving students, teachers, and other new users the confidence to explore a wide variety of artistic techniques.
  • Increasing Performance and Productivity - Artists using Painter 11 can enjoy creating in an inviting environment that is optimized for their workflow. Enhanced brushes perform up to thirty percent faster than in previous versions, making this the fastest, most responsive version of Painter yet.

For more information about Corel Painter 11 and to see a detailed list of new and enhanced features, and to view exceptional art created using Corel Painter, visit http://www.corel.com/painter To learn more about how Corel Painter is used worldwide, visit the product’s community site at http://www.painterfactory.com/.

Pricing and Availability - The English version of Corel Painter 11 is available tomorrow (2009, Feb. 25) as an electronic download through http://www.corel.com/ and is priced at $399 US for the full version and $199 US for the upgrade. The boxed product featuring new, environmentally-aware packaging is also available immediately for preorder and is priced at $429 US for the full version and $229 US for the upgrade.

Illustration © 2009 Corel Corporation. All rights reserved. Corel, Corel DESIGNER, CorelDRAW, Paint Shop Pro, Painter, Photo Express, WinDVD, iGrafx, InterVideo, Ulead, WordPerfect, WinDVD, WinZip and the Corel logo are trademarks or registered trademarks of Corel Corporation and/or its subsidiaries. All other product names and any registered and unregistered trademarks mentioned are used for identification purposes only and remain the exclusive property of their respective owners.

Concours de Design CorelDraw

Le concepteur de logiciels Corel organise jusqu'au 31 mai 2009 un concours international à destination des designers. Que vous soyez adepte de CorelDRAW ou seulement à la recherche d'un nouveau mode d'expression artistique, ce concours constitue une superbe vitrine. De plus, ce concours est fortement doté en prix. Le Grand prix est estimé à une valeur de 22.000 $ américains : il s'agit d'une imprimante/traceur de découpe Roland VersaCAMM VP-540 54". Outre ce grand prix qui récompense le gagnant toutes catégories confondues, chacunes de ces catégories sont dotées de trois prix. Vous pouvez télécharger la liste des prix sur le site de Corel.

Pour participer, vous devez réaliser votre travail avec CorelDRAW et/ou Corel PHOTO-PAINT. Vous pouvez tout à fait participer au concours si vous ne disposez pas de ces logiciels. Il vous suffit de télécharger sur le site de Corel la version d'essai gratuite de la Suite graphique CorelDRAW X4 qui inclus Corel Draw et Corel Photo-Paint. Vous devez réaliser un design dans l'une des cinq catégories suivantes :

  • Publicité et marketing - Affiches, papillons, brochures, logos, lettrages et autres créations à des fins publicitaires ou de marketing (genre PLV).
  • Articles promotionnels, trophées ou personnalisations - Designs conçus à des fins diverses : gravures, trophées, sublimation thermique et créations apparentées.
  • Publicité roulante (Vehicle Wrap) - Il s'agit de designs destinés à être reproduits sur des voitures, camions, bateaux et autres véhicules.
  • Dessin textile/mode - Conceptions vestimentaires, broderies et impressions textiles
  • Illustration générale/Beaux-Arts - Créations artistiques, uniques.
  • Projet/travail scolaire ou universitaire - Pour participer dans cette catégorie, vous devez pouvoir justifier de votre statut d'étudiant ou d'élève et y sont admissibles toutes les créations entrant dans les quatre catégories précédentes.
Chaque participant ne peut entrer qu'un seul design dans la catégorie Projet/travail scolaire ou universitaire ou cinq designs au total. Vous ne pouvez pas soumettre un même design dans plus d'une catégorie. Tout participant qui soumet un design dans la catégorie Projet/travail scolaire ou universitaire ne peut en proposer dans d'autres catégories. Les designs doivent être soumis en formats .CDR (CorelDRAW) ou .CPT (Corel PHOTO-PAINT). Les gagnants seront sélectionnés dans les six semaines suivant la date de clôture du concours.
Date limite des soumissions : 31 mai 2009
Pour consulter le réglement officiel du concours, voir le détail des Prix par catégories... et participer au concours, allez sur le site de Corel : http://www.corel.com/

VU MAG Numero 1

Couverture du n° 1 / © Désirée Dolron - Courtesy Michael Hoppen Contemporary, London
Le numéro 1 de VU Mag est sortie en librairie le 19 juin 2008. Comme un clin d’oeil à l’histoire conjuguée de la presse et de la photographie, 60 ans après l’hebdomadaire illustré VU, VU MAG poursuit l’histoire de l’engagement photographique de VU’. Pour son 1er numéro, VU MAG a, comme une évidence, choisi pour thème : filiations et photographie. Au moment où chacun peut réaliser une image et la transmettre immédiatement, au moment où nous sommes emportés dans un flux incessant d'images tour à tour ludiques, informatives, testimoniales, commerciales... l'acuité et la pertinence de regards singuliers qui cherchent à analyser, questionner et comprendre le monde sont plus que jamais essentielles. Parce qu'ils ne s'en tiennent pas à l’imagerie, parce qu'ils nous proposent de regarder davantage et de mieux voir.
S'il est essentiel de rendre compte des faits, des chaos, des douleurs, des drames de la planète, il est tout aussi essentiel d'interroger et de visualiser les émotions, complexes, qui animent des individus confrontés à un monde de plus en plus difficile à cerner et à vivre. Par la rigueur de leur approche, parce qu'ils sont mus par une profonde nécessité, les photographes collaborateurs de VU', l’Agence comme la Galerie, s'inscrivent, en en renouvelant la démarche visuelle, dans une longue tradition de la photographie ; celle de l'approche documentaire qui a fondé une des valeurs dont nous avons plus que jamais besoin, l'humanisme. Comme un clin d’oeil à l’histoire conjuguée de la presse et de la photographie, 60 ans après l’hebdomadaire illustré VU, VU MAG poursuit l’histoire de l’engagement photographique de VU’. Pour son 1er numéro, VU MAG a, comme une évidence, choisi pour thème : filiations et photographie.
Sommaire
  • VU’ par Paolo Roversi - Porté par son instinct, Paolo Reversi choisit des images des photographes de VU’ pour évoquer une réalité... imaginaire.
  • La part du texte - Prisonnier volontaire du texte, Jean-Luc Chapin appelle l’image “sérieuse” celle qui saura restituer cette part du texte qui guide le cadrage, l’instant du déclenchement, la conduite du paysage...
  • Abissologie - L’oeuvre de Pedro Paiva et Joao Maria Gusmao mêle questions éthiques et philosophiques au travers de photographies, d’objets et de films courts.
  • La longue route - Farouchement indépendants, les descendants de l’Ecole de la liberté de Christer Strömholm perpétuent depuis plus d’un demi-siècle cet amour d’une humanité en dérive.
  • Esthétique et politique - La photographie comme outil pour une regard objectif sur le monde. Une voie ouverte par l’hebdomadaire VU dans les années 20. “Voyez, c’est ainsi” - Dans la continuité des grands photo-journalistes, Cédric Gerbehaye revendique le choix de prendre le temps, de s’immerger dans le monde.
  • Rodin, Bodmer, Steichen - Alors que Rodin n’apprécie pas particulièrement la photographie, une alchimie se produit entre sculpture, dessin et photographie.
  • Janus, le double visage de la photographie - Depuis le Pictorialisme et jusqu’à la fin du 19e siècle, le photographe n’a cessé de tourner autour de la couleur et du portrait : “être ou ne pas être, peintre ou photographe”.
  • Alain Bizos et Actuel - En se démarquant des conventions et des formalismes du photojournalisme, Alain Bizos et Actuel ont inventé, ensemble, un nouveau traitement de l’image et de l’information.
Textes de Eric Audinet (écrivain/éditeur), Christian Caujolle (Conseiller Artistique), Naxto Checa (directeur de ZDB, commissaire d’expositions), Catherine Coleman (Conservatrice Photographie, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia/Madrid), Gösta Flemming (écrivain/éditeur), Hélène Pinet (Musée Rodin), Paolo Roversi (photographe), Cédric de Veigy (enseignant-chercheur).
Photographies de Per Barclay, Johann Bergström, Alain Bizos, Charles Bodmer, Bruno Boudjelal, Juan Manuel Castro Prieto, Jean-Luc Chapin, Denis Darzacq, Désirée Dolron, JH Engström, Bernard Faucon, Cédric Gerbehaye, Pierre Gonnord, Jean-Baptiste Huynh, Arja Hyytiäinen, Laurence Leblanc, Pedro Paiva et Joao Maria Gusmao, Anders Petersen, Rosangela Renno, Jeffrey Silverthorne, Edward Steichen, Christer Strömholm, Lars Tunbjörk , Guy Tillim.
22x28 cm - 176 pages - Français/Anglais - Photographies couleur et noir & blanc - Jaquette américaine -Edition : Filigranes Editions, collection Aman Iman - 25 € - 5000 exemplaires. Chaque exemplaire contient 1 tirage photo 13 x 18 offert.

Mediavu Mediapart Vu Editions

Mediapart a onze mois. Onze mois d’un pari de raison : prouver, à l’heure du tout publicitaire et de la course à l’audience, qu’il y avait bien place pour un journal numérique de référence, indépendant, dont la liberté repose sur la fidélité d’un public de lecteurs fédérés par l’acte d’achat. Ce pari est gagné: pas un jour depuis le 16 mars sans nouveaux abonnés, tandis que l’audience du site ne cesse de progresser. Après ce lancement réussi, reste à installer ce succès dans la durée avec, notamment, des innovations, dont à depuis le 19 septembre 2008, à 13 heures, Mediavu’, un partenariat inédit et original avec l’Agence de photographes VU’.
" Par ce partenariat avec l’une des rares agences de photographes indépendantes, fondée au sein du quotidien Libération par Christian Caujolle et propriété depuis 1996 d’Abvent, groupe indépendant de logiciels d’architecture fondé par Xavier Soule, Mediapart entend s’opposer aux logiques financières à courte vue qui abîment les contenus et les dévalorisent. Le photojournalisme en est l’une des premières victimes, le travail de ces enquêteurs qui sont aussi des créateurs, découvreurs du réel et auteurs d’un imaginaire, étant souvent malmené et dévalué par la presse en crise et les sites publicitaires. Mediavu’ permettra à tous les abonnés à Mediapart de constituer sa propre collection de photos, en achetant et commandant en ligne des tirages de collection numérotés et signés, édités en série limitée, de format 30x40, sur papier de grande qualité " Edwy Plenel
Partageant les mêmes valeurs et les mêmes exigences de qualité et d’éthique, particulièrement concernés par l’information et impliqués, Médiapart et VU’ Editions (département édition de l’Agence VU’) se rencontrent autour d’une même volonté de recherche de nouveaux mode de diffusion et de nouveaux modèles de financement d’un photo-journalisme d’auteur. Dans le flot de signes illisibles des images en multitude que nous déversent télévisions et sites internet, Mediavu’ a pour double ambition de permettre au photojournalisme d’auteur de reconquérir sa place de médiateur de savoir, de compréhension mais aussi, au-delà de sa lecture discrète et furtive à l’écran, de gagner celle de médiateur de mémoire. Comment ? Par son prolongement en tirages de collection accessibles au plus grand nombre.
Chaque semaine, le vendredi à 13H sur http://www.mediapart.fr/, les abonnés de Mediapart ont accès à partir de la rubrique « Le Club » à un nouveau portfolio de 12 à 20 photos d’un auteur de l’Agence VU’ présenté sous forme de livre que l’on feuillette ; tous ces photos disponibles à la vente sont légendées et contextualisées. A chaque photo son tirage de collection numéroté : toutes les photos qui composent les portfolios font l’objet de tirages de collection en série limitée à 15 exemplaires et numérotés : tirage lambda sur papier baryté, format 30x40 ou approchant en fonction du format de la photographie. Chaque tirage est accompagné de son certificat d’authenticité signé par l’auteur.
La mécanique de vente : nous avons opté pour une formule transparente, inédite dans l’univers de la photographie, parfaitement adaptée à internet et à la réactivité que suppose sa pratique : chaque premier tirage de chaque portfolio est vendu au prix de 350 euros ; dès qu’il est vendu, le tirage (N°2) suivant voit sa valeur croître de 10 % (385 euros), le tirage (N°3) suivant coûte 385 euos + 10 %, et ainsi de suite. Les tirages de chaque reportage sont disponibles à la vente jusqu’à épuisement du portfolio concerné et toujours accessible dans la rubrique « Voir les Archives ».

Le Photographe Munem Wasif à l'honneur

(c) Munem Wasif / Agence VU' - Tous droits réservés
Munem Wasif / Agence VU’ à l’honneur pour la troisième fois pour ses oeuvres de 2008
Dans le cadre du Prix Pictet, premier Prix de Photographie au monde consacré au développement durable (créé par Pictet & Cie en association avec le Financial Times) et présidé par Kofi Annan, Prix Nobel de la Paix et ancien secrétaire général des Nations Unies, qui vient d’être décerné à Benoït Aquin, photographe canadien, Pictet & Cie* a choisi de soutenir le projet "Chittagong Hill Tracts" (réseau des collines) déployé au Bangladesh par Wateraid**: outre un important soutien financier à l'ambitieux et innovant projet d'approvisionnement en eau potable de millions d'habitants du Bangladesh, Pictet & Cie a décidé d'attribuer une bourse de CHF 40 000 ( 27 000 euros) au photographe Munem Wasif, membre de l'Agence VU', l’un des photographes finalistes du Prix Pictet 2008, pour qu'il témoigne en images de l'évolution de ce projet vital.
«Nous connaissons les faits. Nous connaissons les chiffres – la température augmente, ainsi que les inégalités face à la distribution de l’eau. Nous le savons et pourtant nous y sommes insensibles. L’objectif de ce prix est de combattre cette insensibilité et les travaux de Munem semblent être les plus à même de lutter contre cette insensibilité et de communiquer l’importance cruciale que des projets de développement durable comme celui-ci ont pour la vie de millions de gens à travers le monde» Leo Johnson, membre du jury du Prix Pictet.
A propos de Munem Wassif : Membre de l’Agence VU' depuis avril 2008. Munem Wasif est né à Dhaka au Bangladesh en 1983. Diplômé de Pathshala (Institut de Photographie d’Asie du Sud / Dhaka) il commencesa carrière photographique en tant que reporter pour le Daily Star, une publication importante anglophone au Bangladesh. Son travail a été publié dans de nombreux magazines dont Le Monde 2, exposé dans le monde entier, notamment au Festival d’Angkhor au Cambodge, à la Biennale internationale de photographie du monde islamique en Iran, à FotoFreo, Festival australien à Perth, au Musée métropolitain de photographie de Tokyo ou encore à la Galerie Getty en Angleterre. Récemment, il a été sélectionné par le magazine américain Photo District News comme l'un des trente photographes émergents. Ses Prix : 2008 : Prix F25 de la Fabrica et Prix du Jeune Reporter de la Ville de Perpignan, Festival Visa pour l’Image 2008 - Prix 2007 : World Press Photo et Mention « Honorable » du programme « All Roads Photography » du National Geographic. * Pictet & Cie : l'une des plus grandes banques privées de Suisse ** WaterAid est la seule grande organisation caritative Britannique dont l'objectif est d'approvisionner en eau potable et en systèmes d'assainissement les populations les plus défavorisées à travers le monde tout en menant une politique de promotion de l'hygiène. http://www.wateraid.org/

Olivier Mirguet Supervision LA Photographies, Château d’Eau, Toulouse

Supervision LA © Olivier Mirguet/ Agence VU’
Supervision LA © Olivier Mirguet/ Agence VU’
Supervision LA © Olivier Mirguet/ Agence VU’

Dans ce travail réalisé en 2008, Olivier Mirguet capte les tensions de la ville la nuit, dans une thématique de la fiction américaine où tout peut basculer d’un moment à un autre. Surpris par l’obscurité qui s’empare des quartiers périphériques d’une ville qui, dès que l’on quitte le centre, devient sauvage, Olivier Mirguet débute en 2006 une série où l’apparition photographique est toute entière associée aux faisceaux des hélicoptères qui fond littéralement émerger des espaces de la nuit. S’il poursuit ici sa réflexion sur la surveillance entamée en 2005 avec sa série sur la Maison de la Radio (17h16), « Supervision L.A » nous parle aussi du rêve éveillé d’une ville dédiée aux mythes de l’apparence.
« Los Angeles est une ville trompeuse, énigmatique et ambiguë. Baignée dans une tranquillité de surface, une utopie ensoleillée. Mais quand la nuit tombe, l’éclat de la ville disparaît. L.A devient un territoire inquiétant, peu éclairé et survolé par les hélicoptères » Olivier Mirguet
A propos d'Olivier Mirguet : D’un voyage en Corée-du-Nord, il a rapporté des images en couleurs qui s’articulent efficacement pour livrer le portrait d’un pays inaccessible, où tout est dissimulé. Il a réussi, malgré le sévère encadrement du circuit, à restituer, entre visions d’architecture et images saisies au vol, l’ambiance lourde de cette dictature. C’est sur le mode de l’enquête qu’il inventorie, toujours en couleurs et dans des images qu’il est souvent obligé de réaliser clandestinement, les lieux de détention, presque toujours non officiels, dans le Maroc de Hassan II. Il a dressé, en s’attachant à des détails tour à tour inquiétants ou désopilants, un portrait critique et fouillé de son espace de travail, la Maison de la Radio à Paris. Une pratique très contemporaine de l’approche documentaire, servie par le moyen format et une connaissance solide des développements de la couleur au cours des trente dernières années. Olivier Mirguet est en résidence à Khiasma jusqu’en juin 2009.
Supervision L.A. est exposée jusqu'au 22 mars 2009 à la Galerie Municipale du Château d’Eau de Toulouse - Galerie 2 - 1 place Laganne, 31300 Toulouse - Tous les jours de 13 h à 19 h sauf le lundi - www.galeriechateaudeau.org

Denis Darzacq - Le Corps Sculpture

La chute n°9 © Denis Darzacq / Agence VU’
Hyper n°3 © Denis Darzacq / Agence VU’
Ensembles n°20 © Denis Darzacq / Agence VU’
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en 1986, Denis Darzacq débute sa carrière en suivant la scène rock française et devient photographe de plateau sur de nombreux longs métrages. A partir de 1989, il collabore régulièrement au quotidien Libération et à la presse nationale. Lauréat du prix Altadis en 2000, exposé aux Rencontres d’Arles en 2005, il obtient une consécration internationale avec le World Press Photo 2007 (1er prix Stories). Aujourd’hui exposées en France et à l’étranger, ses photographies sont entrées dans de nombreuses collections : Musée national d’art moderne (centre Georges-Pompidou), Fonds national d’art contemporain, Musée Nicéphore Nièpce, Cité Nationale de l’histoire de l'Immigration, Galerie du Château d’eau (Toulouse), Caldic Collection, FRAC de Haute Normandie, Fondation Altadis. Agnès b, Marin Karmitz, etc.
Jusqu'au 22 mars 2009, La Galerie Municipale du Château d’Eau de Toulouse présente des photographies de Denis Darzacq avec une exposition intitulée “Le corps sculpture”, composée de ses séries “Nu”, “Ensembles” et “Hyper”.
“Seuls les personnages structurent l’image. je me concentre sur leurs mouvements, leurs gestes et leurs vêtements. J’observe la distance entre eux, j’étudie celle entre l’intime et le public. une interrogation sur la façon de concilier notre vie sociale, régie de plus en plus par des codes uniformisés, stéréotypés, et notre désir d’être guidés par notre libre arbitre” Denis Darzacq
“Observant avec constance l’évolution des corps dans l’espace urbain, Denis Darzacq s’attarde aux frontières entre vie sociale et intimité. Il pose la question de la liberté individuelle, de l’énergie et de la force mouvante du désir dans un environnement dominé par l’uniformité, les modes de vie stéréotypés et l’encadrement des comportements collectifs. Indissociable d’un contexte qui est celui des années 2000, de la mixité ethnique, d’une jeunesse en quête de place et de la nécessaire ré-invention de l’urbanisme moderne, cette oeuvre à la fois documentaire et plastique s’enracine dans une réalité vivante”. Virginie Chardin
Château d' Eau - 1, place Laganne - 31300 Toulouse - Tous les jours de 13 h à 19 h sauf le lundi - www.galeriechateaudeau.org - Tél : 05 61 77 09 40

Denis Darzacq et Olivier Mirguet exposent au Chateau d'Eau a Toulouse

Jusqu'au 22 mars 2009, la Galerie Municipale du Chateau d’Eau de Toulouse consacre la totalité de ses surfaces d’exposition à deux photographes de l’Agence VU’ : Denis Darzacq dans la Grande Galerie avec une exposition intitulée “Le corps sculpture”, composée de ses séries “Nu”, “Ensembles” et “Hyper” et Olivier Mirguet et sa série “Supervision LA” dans la Galerie 2.

Château d' Eau, 1 place Laganne, 31300 Toulouse - Tous les jours de 13 h à 19 h sauf le lundi - http://www.galeriechateaudeau.org/ - Tél : 05 61 77 09 40

23/02/09

Michael Borremans, Taking Turns

David Zwirner presents an exhibition of new films and paintings by Belgian artist Michaël Borremans. This is the first time the artist’s films will be shown in the United States, and is also the world premier of Taking Turns. Taking Turns is the artist’s third solo show at David Zwirner. Previous shows at the gallery include Horse Hunting (2006) and Trickland (2003), which was the artist’s first solo exhibition in the United States. For the current show at David Zwirner, Borremans has created five new paintings and is presenting three films: The Feeding, The Storm, and Taking Turns. For this exhibition, the gallery has been divided into two relatively equal spaces. Upon entering the first space, a 35mm film projector shows a loop of The Storm as a large-scale projection, reaching close to 15 feet in height and 23 feet in width on the gallery wall. In the film, three black men, wearing identical cream-colored uniforms (a mix of work clothes and stage costumes), are sitting slumped in chairs in the corner of a white, empty room. The harsh light of a naked bulb alters the shot by modifying the intensity of the shadows moving imperceptibly on the surface of the wall. (1) The second gallery space introduces an intimate presentation of two other 35mm films, The Feeding and Taking Turns, both which have been transferred to DVDs and viewed within wall-mounted wooden frames. The films are shown alongside the exhibition’s five oil on canvas paintings: The Apron, Earthlight Room, The Load, The Load (II), The Load (III). In The Feeding, the three figures from The Storm reappear, standing around enormous reams of white cardboard that give the impression of levitating above a table covered with a spotless cloth in the middle of a room. (2) In Taking Turns, a woman holds the torso of a life-sized mannequin, and slowly moves and spins the torso on top of a horizontal surface. There is an ambiguity between what is real and what is artificial, as their two faces and figures overlap and rotate in the film’s frames. Once again, the theme of the double, or the doppelganger, is a device encountered throughout Borremans’ oeuvre. (3) Formally and thematically, Borremans’ films are closely related to his two-dimensional work. They are shifting ‘tableaux vivants’ with poetic titles, in which the artist very gradually, with subtle camera work, creates an oppressive atmosphere. He uses a fixed camera position or deliberately zooms in on certain details of the scenery, body parts, faces, or clothing. With slight light-dark fluctuations, flowing edited shots or the repetition of certain actions, Borremans builds up a gripping but subdued suspense. (4) Beginning in April 2009, the work from the exhibition at David Zwirner, along with additional drawings, will be presented at kestnergesellschaft in Hannover, Germany. Borremans first presented a film projection as an integral part of a room-filled installation at the Berlin Biennale in 2006. In 2007, his cinematic work was then shown at de Appel Arts Centre in Amsterdam, in his first solo exhibition in The Netherlands. In 2008, the show traveled to Centro de Artes Visuais in Coimbra, Portugal. In 2008, he also had shows at Gallery Koyanagi in Tokyo, Japan and Zeno X Gallery in Antwerp, Belgium. Other solo exhibitions include La Maison Rouge in Paris (2006), Kunsthalle Bremerhaven in Bremerhaven, Germany (2004), and Museum für Gegenwartskunst in Basel, Switzerland (2004). In 2005, he had a one-person exhibition of paintings and drawings at S.M.A.K. in Ghent, Belgium. The paintings exhibition then traveled to Parasol Unit in London, England, the Royal Hibernian Academy in Dublin, Ireland; the drawing exhibition traveled to the Cleveland Museum of Art in Cleveland, Ohio in the United States. In November 2008, Borremans received the Overbeck-Preis für Bildende Kunst der Gemeinnützigen in Lübeck, Germany. This prize was accompanied by a solo exhibition at the museum, Overbeck-Gesellschaft. Michaël Borremans (born 1963, Geraardsbergen, Belgium) lives and works in Ghent, Belgium. He received his M.F.A. from Hogeschool voor Wetenschap en Kunst, Campus St. Lucas, Ghent. His work is held in the collections of major museums, including, Art Institute of Chicago, Chicago, Illinois; Hammer Museum, Los Angeles County Museum of Art, Museum of Contemporary Art, all in Los Angeles, California; High Museum of Art in Atlanta, Georgia; Museum of Fine Arts, Boston, Massachusetts; The Museum of Modern Art, New York; National Gallery of Canada, Ottawa, Canada; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco, California; Stedelijk Museum voor Actuele Kunst (S.M.A.K.), Ghent, Belgium; Walker Art Center, Minneapolis, Minnesota. Notes (1) Philippe-Alain Michaud, “Devil’s Dolls: On the Film-Paintings of Michaël Borremans,” Michaël Borremans: Weight (Ostfildern, Germany: Hatje Cantz Verlag, 2008), p. 58. (2) Ibid. p. 67. (3) Delfim Sardo, “The Enchanted Wanderer,” Michaël Borremans: Weight (Ostfildern, Germany: Hatje Cantz Verlag, 2008), p. 35. (4) de Appel Arts Centre, exhibition notes on website MICHAËL BORREMANS Taking Turns February 24 – March 25, 2009 David Zwirner Gallery 525 West 19th Street New York, NY 10011 Tel 212 727 2070 Fax 212 727 2072 http://www.davidzwirner.com/

Alberto Breccia Galerie Martel Paris

Une centaine d’oeuvres originales d’Alberto Breccia (1919-1993) exposées à Paris

 

© Alberto Breccia – Galerie Martel

  © Alberto Breccia – Galerie Martel

 

Méconnu du public français mais encensé par les artistes, l’Argentin Alberto Breccia (1919-1993) a été jusqu’à son dernier souffle un expérimentateur forcené des styles et des techniques graphiques. De la même génération que Hugo Pratt, avec qui il créa dans les années soixante une école d’art à Buenos Aires, ce virtuose sombre de l’illustration et de la bande dessinée a influencé une kyrielle de dessinateurs, depuis José Munoz dont il fut le professeur jusqu’à Lorenzo Mattotti, Frank Miller ou Dave McKean.

 

© Alberto Breccia – Galerie Martel© Alberto Breccia – Galerie Martel 

  © Alberto Breccia – Galerie Martel

 

L’exposition présentée par la galerie Martel est la première qui lui soit consacrée à Paris. Elle compte une centaine de planches originales, d’huiles, de collages, de dessins et de croquis dont la plupart n’a jamais été exposée auparavant, issus des temps forts de sa production : le fantastique (adaptations de Poe, Bram Stoker, Lovecraft), les tourments des dictatures sud-américaines (Perramus), les illustrations de L’histoire universelle de l’infamie de Jorge-Luis Borges, les planches de Rapport sur les aveugles d’après l’oeuvre d’Ernesto Sabato...

L’exposition d’Alberto Breccia est réalisée en collaboration avec les éditions Rackham.

 

La galerie Martel a été créée en novembre 2008. Avec Alberto Breccia, elle pose un jalon sur la voie qu’elle s’est tracée : mettre en évidence des oeuvres et des graphistes d’exception, célèbres ou confidentiels, qui seront ou sont déjà des classiques. Dans cette veine, suivront cette année Milton Glaser, Art Spiegelman et Tomi Ungerer.

 

ALBERTO BRECCIA

Galerie Martel
17, rue Martel
75010 Paris

14h30-19h du mardi au samedi

6 mars - 11 avril 2009

Vernissage jeudi 5 mars à partir de 18h

maj 12-09

Nationale Postcode Loterij steunt project Twenty Ten

Category > Photography sponsorship 

 

Free Voice en World Press Photo zijn verheugd met de bijdrage uit de ‘Extra Trekking' van de Nationale Postcode Loterij voor hun project Twenty Ten. In dit project krijgen Afrikaanse journalisten een training om verhalen en reportages te produceren over alles wat met voetbal in Afrika te maken heeft. Hun producten worden gratis verspreid in Afrika en zijn ook beschikbaar voor de media wereldwijd.

Aanleiding voor Twenty Ten is het Wereldkampioenschap Voetbal in 2010 in Zuid-Afrika, officieel de ‘2010 FIFA World Cup'. Het is voor de eerste keer in de geschiedenis dat de WK voetbal op het Afrikaanse continent worden georganiseerd.

Het project Twenty Ten maakt het mogelijk dat Afrikaanse journalisten hun stem laten horen als de aandacht van heel de wereld zich op Afrika richt tijdens de (voorbereidingen van) het Wereldkampioenschap voetbal. Twenty Ten wil Afrika de kans geven om een ander gezicht te laten zien aan de wereld: dat van een continent dat bruist van talenten, ambitie en mogelijkheden.

Twenty Ten selecteert 152 professionele journalisten uit alle landen van Afrika: schrijvende journalisten, persfotografen, radiomakers, multimediaproducenten en (jeugd-)tv-makers. Tijdens de Afrikaanse voorrondes van de ‘2010 FIFA World Cup' worden zij getraind. Ook daarna krijgen ze de kans om verhalen te produceren en te distribueren over alles wat met de World Cup samenhangt. Een selectie deelnemers (het ‘Dreamteam') gaat uiteindelijk in drie teams naar Zuid-Afrika om over het eindtoernooi te berichten.

Free Voice en World Press Photo zijn internationaal opererende organisaties ten behoeve van de verbetering van de journalistiek. Zij werken bij dit project samen met de volgende partijen:

•    Africa Media Online; verantwoordelijk voor de distributie, verkoop en afzet van alle verslaglegging door de deelnemers in Afrika en daarbuiten.
•    Lokaalmondiaal; creëert online multimediale producten, beheert de website www.roadto2010.net, produceert een documentaire en stelt een boek samen over Afrikaans voetbal.
•    Tropenmuseum; organiseert in de zomer van 2010 een evenement en tentoonstelling over Afrikaans voetbal.
•    KIT Publishers; de uitgever van het boek over Afrikaans voetbal.

Free Voice is opgericht door Nederlandse media-organisaties (NVJ, NDP, Nederlands Genootschap van Hoofdredacteuren). Free Voice steunt onafhankelijke media in ontwikkelingslanden en zet zich in voor persvrijheid. Daarbij richt ze zich vooral op schrijvende media, radio en televisie. Structurele financiers zijn het Ministerie van Buitenlandse Zaken en de Nationale Postcode Loterij.

World Press Photo is gespecialiseerd in het versterken van de fotojournalistiek en heeft jarenlange ervaring met het opzetten en begeleiden van educatieve journalistieke projecten. World Press Photo ontvangt steun van de Nationale Postcode Loterij en wordt wereldwijd gesponsord door Canon en TNT.

Agrandisseur Meopta Axomat 5 Occasion

Je suis "tombé" sur cette annonce. Pour ceux que cela pourrait intéresser, je la place ici. Il est possible d'y adapter une tête couleur de la marque. Le soufflet permet de corriger les perspectives plus facilement. Je laisse ce message car il est souvent difficile de trouver des agrandisseurs d'occasion. Or j'ai l'impression (mais peut être que je me trompe) qu'on observe aujourd'hui un nombre plus important de photographes amateurs mais passionnés qui ont envie de se mettre ou se remettre (cela dépend de leur âge) à l'argentique et au plaisir du développement en laboratoire. Ce qui ne veut pas dire pour autant qu'ils souhaitent délaisser par ailleur le numérique. Toutefois, le produit proposé peut changé - pas le modèle, mais la qualité de l'agrandisseur proposé et son prix. Je rajoute cette précision car cela fait plusieurs mois que j'ai rédigé ce message ;)

Modifié le 09-10-2009

20/02/09

Emily Roz, Kill the Beast – Art Exhibition – Front Room Gallery

 

In her most recent series of drawings and gouache paintings, the artist EMILY ROZ unleashes the fury and frustration of these uncertain times through images of wild animals, blatantly revealing their primordial aggression. These disturbingly captivating images reveal the basest of animalistic impulses. The large scale, highly detailed, and labor intensive colored pencil drawings as well as the smaller scale gouache paintings included in the exhibition Kill the Beast at the Front Room Gallery in Brooklyn, continue on a thread of violence from Roz's earlier photographic work. Her past work at times has mocked our indifference to violent images in the media, Emily Roz now turns to the internal psyche, and how it is reflected within society in terms of natural selection and survival of the fittest.

Taking cues from classic texts like William Golding's Lord of the Flies and Richard Hughes' A High Wind in Jamaica, Emily Roz questions the nature of man, mirrored through these animal stand-ins. As Wernor Herzog states in Grizzly Man, "...the common denominator of the universe is not harmony but chaos, hostility and murder."

This exhibition examines the animalistic instincts which are present in our society today, with such intensity and focus, Emily Roz reveals the unpleasant underbelly of nature, which at times like these, is rearing its ugly head. 

 

EMILY ROZ
Kill the Beast

Front Room Gallery, NYC
February 27 - March 29, 2009

 

Previous exhibition at the Front Room Gallery: SUNG JIN CHOI, The Creator

19/02/09

Frederic Lecomte Photographe Biographie

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Frédéric Lecomte est né en 1966 à Amiens. Il vit et travaille à Bagneux.
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Expositions personnelles (sélection)
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2009 Départage, Artothèque de Caen
2005 Désaccords, Galerie Claudine Papillon, Paris
2003 Compil, Galerie Papillon-Fiat, Paris
2003 Le repeuplement des angles, Galerie José Martinez, Lyon
2003 Taille unique, Maison des arts de Bagneux
2003 Les béquilles, Modern Art Café, Lyon
2002 ARCO (one man show), Galerie Papillon-Fiat, Madrid
2002 Sous les jupes des anges (2), Ambassade de France, Rome
2002 Le 21 Novembre 2002 vers 19h, Nouvelle Galerie, Grenoble
2002 Maman, j’ai pas tué, Château de Saint-Privat, Le Puy en Velay
2001 Mains blanches et pattes de velours, Galerie José Martinez, Lyon
2001 Artiste parce que bête, Centre d’Arts Plastiques, Saint-Fons
2001 Splascc, Espace Paul Ricard, Paris
2000 Crash Disc, CAC de Basse-Normandie, Hérouville Saint-Clair
2000 AOC, Galerie Papillon - Fiat, Paris
2000 Ray-on X, Centre d’art André Malraux, Colmar
1998 La Rumeur, Carré Sainte Anne/ Association Le Mas, Montpellier
1998 Revue Corrigée, Etablissement Elie de Brignac, Deauville
1998 On n’arrête pas le progrès... Nouvelle Galerie Grenoble
1997 2 pas en avant, 1 pas en arrière, Videochroniques 3, Friche la Belle de Mai, Marseille
1997 TVportation, Galerie l’Oeil de Poisson, Méduse, Québec
1997 2, 3 Arrangements de Petite Vertu, Galerie Claudine Papillon, Paris
1995 Sous les jupes des anges, CAC Basse-Normandie, Hérouville Saint-Clair
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Expositions collectives (sélection)
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2007 It’s Not Funny, Galerie Pascal Van Hoecke, Paris
2007 Sexe et Convenances, Galerie Van Hoecke, Paris
2005 2000/2005, Galerie José Martinez, Lyon
2005 Painting with me, Galerie Lara Vinci, Paris
2005 Micro cinéma indépendant, San Francisco, Etats-Unis
2005 Mots d’ordre, mots de passe, Espace Paul Ricard, Paris
2005 Sexe et conivence, Galerie Pascal Vautberhe, Cachan (Paris sud)
2005 Electronic of media Festival, Rio de Janeiro
2004 Les mêmes et même quelques autres,Galerie Claudine Papillon, Paris.
2004 Jusqu’où irez-vous ?, Parcours Saint-Germain-des-Prés, Paris
2004 Double Jeu, Galerie yergeseu, Montréal
2003 Vidéosynchrones, Rueil-Malmaison
2003 Les mêmes et même quelques autres, Galerie Claudine Papillon, Paris
2002 Portrait d’artistes libres, Galerie Infinito, Turin, Italie
2002 Parcours Saint Germain, Saint-Germain des Prés, Paris
2002 A vous de jouer, Artothèque de Caen, Caen
2002 Exposition témoin, 3ème Rencontres contemporaines de Saint-Privat d’Allier
2002 Voilà la France, Centre d’Arts Contemporains de Caraglio, Italie
2001 Workshop, Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy, Cergy-Pontoise
2001 17 Artistes pour Chamarande, Centre d’Art Contemporain, domaine de Chamarande
2001 Contamination continue, Zalea TV, Canal Sat, Canal 113
2000 Jour de fête, Centre Georges Pompidou, Paris
2000 Oeuvres de tous poils, Galerie Papillon - Fiat, Paris
2000 Plan B, Dordmund, Allemagne
2000 Machins-Machines, Donjon de Vez, Vez
2000 Vidérose Tour, La Tour Rose, Lyon
2000 Narcisse Blessé, Passage de Retz, Paris
1999 Total Recall, TV Gallery, Moscou, Russie
1999 Local Access, ParisShow Room, L’échangeur, Bagnolet
1999 SEHM, Espace J-P Gaultier, Porte de Versailles, Paris
1999 Low Tech, Théâtre de Châtillon, Montrouge ; Station Mir, Hérouville Saint-Clair
1999 Sélest’art, Biennale de Sélestat
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Frederic Lecomte Departage Artotheque Caen

(c) Frédéric Lecomte, Tous droits réservés.
« Chez Frédéric Lecomte, on regarde et jamais l’on ne s’ennuie, et tant mieux si le spectacle dérape ou nous éloigne de ces figures austères que goûte d’ordinaire la raison pure »
Paul Ardenne
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Frédéric Lecomte est né 1966 à Amiens. Il vit et travaille à Bagneux. Il est représenté par la galerie Claudine Papillon à Paris. L’Artothèque de Caen présente une exposition de Frédéric Lecomte intitulée Départage. Photographies, papiers découpés, vidéos, installations : Frédéric Lecomte a recours à une multiplicité de médiums pour élaborer une oeuvre hybride et protéiforme, où le sérieux le dispute au potache. Il élabore des machines improductives qui affichent fièrement leur statut de bricolages poétiques, joue avec le verre et ses effets de lumière, d’ombre et de transparence. Dans ses installations, il compose avec les matériaux et les assemble pour nous présenter sa propre vision d’un monde qui oscille entre enfance, fantasme et réalité crue. Boulimique, jamais rassasié, Lecomte puise dans le flot continu des images : le cinéma, la télévision, internet, sont autant de sources inépuisables dans lesquelles l’artiste pioche au gré de ses envies, de ses désirs, pour y capturer l’incapturable, pour nous offrir l’invisible. Une somme d’images disparates qu’il réactive par la suite quand il les découpe et les évide pour en exposer le vrai et l’illusion dans un même mouvement de don et de retrait.
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L’artiste s’approprie des morceaux de réalité brute (reportages télé, photographies de presse, documentaires...) comme des images extraites de fictions diverses, les détourne et les manipule pour en conserver la substantifique moëlle, leur âme propre : «Ces images détourées, squelettes de l’image devenue sans ressemblance, posent le problème, non de savoir ce qu’elles veulent montrer, mais ce qu’elles ne montrent plus» (F. Lecomte). La gravité sous jacente de son travail réside en effet dans la relation paradoxale entre images et mémoire, dans la capacité qu’ont celles-ci à « redonner du son à la voix, des noms aux visages, à « repauteler» la chair » (F. Lecomte). Concevant l’exposition comme une partition qui associe images, sons et projections, Lecomte orchestre l’ensemble du dispositif comme un tout, les oeuvres s’articulant et interagissant entre elles par collusions et ricochets pour produire in fine une harmonieuse cacophonie, «un dessein d’espace, quand la machine se dispense de faire, un dessin qui reste à faire». (F. Lecomte)
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Frédéric Lecomte, Départage est une exposition produite par l’Artothèque de Caen - du 6 mars au 18 avril 2009 à l’Artothèque de Caen - Ouverture du mardi au samedi de 14 h à 18 h 30. Fermeture les lundis, dimanches et jours fériés. Entrée libre.
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Artothèque de Caen - Hôtel d’Escoville - Place Saint-Pierre - 14000 Caen - Tel : 02 31 85 69 73 - http://www.artotheque-caen.net - L’Artothèque de Caen est financée par la Ville de Caen, avec la participation du Conseil général du Calvados et du Ministère de la Culture et de la Communication, Drac de Basse-Normandie.
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Nikkor AF-S DX 35mm f/1.8G - Caracteristiques

  • Format DX Focale 35 mm
  • Ouverture maximale/minimale : f/1.8-22
  • Construction : 8 lentilles en 6 groupes (dont une lentille asphérique hybride)
  • Angle de champ : 44°
  • Distance minimale de mise au point : 30 cm
  • Rapport de reproduction maximal : 0,16x
  • Nombre de lamelles du diaphragme : 7 (arrondies)
  • Mise au point : Autofocus avec moteur SWM intégré et mise au point manuelle
  • Diamètre de fixation pour filtre : 52 mm
  • Diamètre x longueur : Approx. φ70 x 52.5 mm
  • Poids : Environ 210 g
  • Lancement : Février 2009
Photo (c) Nikon - Tous droits réservés - http://www.nikon.com/

50 ans de Reflex Canon 1959-2009

En mai 1959, Canon sortait le CanonFlex, son premier appareil photo reflex. C'était pour la marque le début d'une histoire qui se poursuit, avec le succès que l'on connait. Aujourd’hui, les reflex Canon sont considérés comme des références pour la photographie amateur et professionnelle et, à ce jour, plus de 50 millions de reflex Canon ont été vendus dans le monde entier.
Qui pense reflex Canon aujourd'hui pense EOS. EOS pour « Electro Optical System » (système électro-optique). Mais EOS, c'est aussi le nom de la déesse grecque de l'Aurore... (C'est tout de même plus poétique). La gamme EOS est née en 1987 avec l’EOS 650 et le système d’objectifs EF (Electro Focus) grâce auquel le boîtier et l’objectif communiquent via des contacts électriques et non plus mécaniques, comme c’était le cas auparavant. La gamme EOS et les objectifs EF sont devenus extrêmement populaires, et plus de 40 millions d’objectifs EF ont été vendus dans le monde entier. Et lorsqu'on sait que 10 millions de ces objectifs ont été produits au cours des seules 3 dernières années, on prend mieux la mesure de la permanence du succès rencontré par le système EOS. En outre, au-delà de la capture d'images, le système EOS est désormais présent à tous les niveaux de la chaîne de l'imagerie, des logiciels professionnels de traitement des photos numériques aux projecteurs de Canon, en passant par la gamme d'imprimantes photo.
Parmi les fabriquants d'appareils photos qui ont marqués l'histoire de la photographie, on connait les difficultés rencontrés par certains qui ne sont pas parvenus à gérer la transition numérique. Inutile de citer des marques ici, la plupart d'entre vous doivent les avoir à l'esprit. Certaines ont dû cesser purement et simplement la production d'appareils photographiques. . D'autres tentent, et parviennent, en partie, parfois, à ratrapper leur retard. Mais le changement a été profond, rapide et durable. Car c'est à un changement de métier auquel on a assiter en passant de la physique et la mécanique de précision à l'informatique et l'électronique de pointe. On le voit bien avec la concurrence qui a été de plus en plus forte des marques d'électronique n'ayant pas de passé en matière de photographie. Jusqu'à ce que ses marques s'emparent de segments entiers du marché de l'industrie photographique.
Or le passage du tout argentique à la prédominence du numérique a finalement donné un second souffle à Canon. Ses choix stratégiques, ses efforts en Recherche-Développement, sa capacité d'innovation ont permis aux reflex Canon de demeurer une référence. Septembre 2003 marque le début d'un tournant pour le succès commercial des reflex Canon. L’EOS 300D a en effet été le premier reflex numérique d’un prix accessible au grand public (moins de 1000 €). Il a produit un bel effet de surprise sur le marché amateur alors que par ailleurs de très nombreux photographes professionnels, notamment de sport et d’information, avaient déjà opté pour les boîtiers EOS de Série 1 et pour les objectifs EF.
Mais on peut considérer que son successeur, l'EOS 350D, n'est pas seulement la simple poursuite de la stratégie adoptée avec l'EOS 300D mais traduit pleinement la nouvelle voie choisie par Canon. Au moins trois phénomènes sont sont combinés. Certes, le prix de vente est resté un aspect de la ligne commerciale. Mais Canon a également fait le choix fondamental -- déjà engagé avec le 300D, mais bien plus nettement avec le 350D -- du transfert de technologies important des appareils professionnels aux appareils accéssibles, par leur prix, à un plus grand public. Bref, les amateurs, et, dans un premier temps, sans doute, les plus avertis d'entre eux, ont pu goûter au plaisir des innovations majeures qui avaient fait passer une majorité de professionnels de l'argentique (et du scanner) au numérique.
Outre le prix et ce transfert de technologie -- mais les trois éléments sont en interaction -- l'évolution des consommateurs d'appareils photo a constitué le troisième phénomène ayant permis la réussite de la stratégie de Canon pour la vente de reflex. L'acheteur de l'EOS 350D avait eu le temps de se former auparavant au numérique en remplacement ou en complément de l'argentique. Pour la plupart d'entre eux, c'est avec un appareil compact qu'ils ont fait leur formation. Une fois cet apprentissage réalisé, une fois aussi une certaine forme de tabou ou de honte, teintée d'un sentiment de trahison s'est dissipée (trahison vis-à-vis de toute une partie de l'histoire de la photographie -- une partie seulement car cette histoire n'est pas réductible au matériel). Si bien que parmi les amateurs avertis, et surtout ceux qui étaient non seulement à l'aise mais aussi curieux de nouvelles technologies, d'informatique, d'internet -- c'est à dire principalement les moins âgés d'entre eux -- nombreux avaient de plus en plus les yeux tournés vers le matériel dont pouvaient disposer les professionnels (sans aborder le phénomène d'imitation qui a pu jouer un rôle de facilitateur). L'EOS 350D a ainsi largement marqué le passage des photographes non professionnels, des amateurs "experts" surtout, du compact au reflex numérique. Et de l'objectif imposé au choix de l'optique ou des optiques utilisées.
Vous l'aurez compris en suivant un raisonnement du même type (je ne développe pas), avec le 400D puis le 1000D et 450D, les photographes amateurs se sont tournés en plus grand nombre encore vers les reflex numériques. Ce message étant consacré à l'anniversaire des reflex Canon, je me limite à ceux-ci. Il faudrait regarder la sociologie des nouveaux acquéreurs d'un modèle à un autre, mais si une telle étude est disponible (les fabriquants l'ont, c'est certain), on peu penser qu'elle montrerait des évolutions en terme d'intérêt pour la photographie (temps passé, etc..), d'âges également et sans doute, aussi, de catégories socio-professionnelles. Au final, on voit bien que le succès de l'EOS (pour se limiter à Canon) repose, logiquement, à la fois sur l'offre et sur la demande -- l'extension de cette dernière.
En guise d'ouverture, on peu noter que la technologie de l'EOS 5D Mark II, capable d’enregistrer des vidéos Full HD, une fois transférée dans du matériel plus abordable en terme de prix, ne manquera pas d'étendre encore plus le cercle des consommateurs de reflex numériques. On peu même considérer sans trop de problème que ce transfert aura un effet plus marqué chez le "grand public" que chez les professionnels.
Si il y a un lecteur qui a poursuivit jusqu'ici, désolé pour les fautes mais je n'ai pas le temps de me relire... il se fait tard... :)
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Ameziane Tabet - Porte Folio

Vous voulez voir de vraiment très belles photographies en Noir et Blanc, des photos prises sur le vif, dans la rue ? Si oui, je vous recommande d'alller jeter un coup d'oeil aux photos d'Améziane Tabet sur son site Porte Folio. Photographies Noir et Blanc. Collection 1988-2006. Sur ces neuf années de photographie, 80 clichés ont été sélectionnés. Et je les trouve superbes !

17/02/09

SanDisk iNAND EFD in LG Arena handset

LG Electronics’ latest fully loaded LG Arena (LG-KM900) multimedia handset will include SanDisk’s iNAND 8 gigabyte (GB) Embedded Flash Drive (EFD). The iNAND storage device will be utilized by the handset as both a boot and data storage device, eliminating the need for a separate boot device.
Announced at the 2009 Mobile World Congress exhibition in Barcelona, the LG Arena multimedia handset is the company’s flagship model for the first half of 2009, featuring greatly enhanced audio and video technologies as well as LG’s new 3D S-Class user interface. SanDisk’s iNAND EFDs are designed specifically for advanced multimedia handsets such as the LG Arena, providing a fast and reliable storage solution in a small and power efficient package.
In addition to high capacity MLC NAND flash based storage, iNAND is fully capable of storing system boot code. Using iNAND as a system boot device means there is no need for the additional boot code storage device used in traditional designs. This conserves precious board space, reduces handset design complexity, lowers handset power consumption and saves the cost of an otherwise needed separate boot device. SanDisk’s flash based EFDs have been catering to personal storage and boot needs based on NAND MLC flash since 2003.
SanDisk iNAND EFDs come in a wide range of storage capacities, utilizing eSD and eMMC standard interfaces and packages for quick integration into handset designs. With managed physical partitions, customizable attributes and power failure immunity, SanDisk iNAND features a highly reliable code storage and boot device in addition to being a mass storage solution. iNAND offers design flexibility to OEMs through its ability to scale up from 1GB to 32GB and more, in both discrete and multi chip package configurations.
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