30/05/09

Pilar Albarracín Exposition Photos Paris

(c) Pilar Albarracin, Sans titre, 2009
Tous droits réservés
Courtesy Galerie Valois, Paris, 2009
Pilar Albarracín se consacre depuis le début des années 90 à créer des performances et des installations parodiant les lieux communs de la culture ibère. Pour sa première exposition personnelle à la galerie Valois, l’artiste pose son regard ironique sur l’un des objets les plus archétypaux et répandus de nos sociétés : la carte postale et tout particulièrement sur l’atmosphère folklorique qui s’y perpétue. Pilar n’exagère pas lorsqu’elle souligne que le « souvenir d’Espagne » qui domine l’imaginaire des étrangers (güiri) se trouve dans les estampes « flamencas ». Si, d’un côté, elle revient à la politique iconico-touristique du franquisme - à cette fiction d’un territoire méridional et festif, coloré et sensuel - elle produit parallèlement une fissure sarcastique dans le discours d’intégration de l’Espagne au sein de l’Europe. Nous sommes, en effet, passés d’une époque de préjugés et de fantasmagories à une autre, mondialisée, dans laquelle on ressent presque partout le même ennui. Le folklore est une force qui permet aux groupes sociaux de se reconnaître par des signes et des styles qui codifient l’identité et perpétuent les significations nationales. Ainsi, une tradition telle le flamenco favorise l’expression des inquiétudes existentielles et politiques du peuple espagnol alors que naissent de nouveaux conflits entre identité locale et mondialisation. Dans la « carte postale flamenca » dont les standards sont fixés dans les années 60, tout, depuis les poses de danse imitant la cour amoureuse aux couleurs outrancières et aux sourires éclatants, concourait à créer un univers de rêve qui contrastait avec la répression politique. Ces figurations de fable étaient le sous-produit décisif d’une diplomatie totalitaire. En pastichant cette iconographie, faisant passer par le filtre d’un humour corrosif et incisif ces prototypes et stéréotypes, Pilar Albarracín confronte la mémoire historique de l’Espagne franquiste à l’abêtissement de notre société de consommation qui trouve sa consolation dans le divertissement effréné et la gadgetisation. La carte postale permet d’établir parfaitement la logique du déjà vu. Nous avons tous succombé à cette envie de faire ou d’acheter des cartes postales bien que nous sachions parfaitement qu’il ne s’agit là que de clichés ; il faut bien reconnaître que nous ne visons d’ailleurs pas autre chose. En s’appropriant les jeux de rôles de l’imagerie touristique, l’artiste crée une évocation du passé qui cherche à nous provoquer. Ses cartes postales, comme des fétiches, sont en rapport avec la castration, avec quelque chose qui manque et qu’il n’est pas facile de restituer. De ce paternalisme militaire, machiste et condescendant pour la culture populaire et folklorique, il semble bien qu’il ne restera pas grand-chose. En tout cas, c’est ce que nous aimerions croire. Galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, d’après le texte « Souvenirs sarcastiques » de Fernando Castro Flórez écrit à l’occasion de l’exposition de Pilar Albarracín au Palacio Episcopal de Málaga Pilar Albarracin Exposition du 29 mai au 19 juillet 2009 Vernissage le jeudi 28 mai 2009 Galerie Valois 36, rue de Seine 75006 Paris

Pilar Albarracin Exhibition in Paris

Since the early 1990s, Pilar Albarracín has been creating performances and installations that address the clichés of Spanish culture. For her first solo show at the Georges-Philippe & Nathalie Vallois french gallery she is casting her penetrating eye on one of the most widespread and archetypal objects found in modern societies: the postcard – and, in particular, the postcard as a vector of a folkloric vision of the world. Pilar is not exaggerating when she points out that in the imaginations of most foreigners (güiri) the most obvious “souvenir of Spain” is the “flamencas” print. While on the one hand such images hark back to the tourism-promoting policies of the Franco era, with its deliberating projection of a fictive, southern and festive, colourful and sensual country, they also produce a sarcastic fissure in the discourse regarding Spain’s integration in modern-day Europe. We have gone from a period of prejudices, fantasies and phantasmagorias to another, globalised age in which everyone everywhere suffers from the same boredom. Folklore is a force that enables social groups to recognise themselves in signs and styles which codify identity and perpetuate national narratives. The tradition of Flamenco, for example, is conducive to the expression of the Spanish people’s existential and political concerns, at a time when new conflicts are developing between local identities and globalisation. In the “flamenca postcard,” which attained its canonical form in the 1960s, everything, from the poses of the dancers, imitating amorous seduction, to the loud, lurid colours and the dazzling smiles, worked together to create a dream universe that stood in absolute contrast to political repression. These fable-like depictions were a sub-product of totalitarian diplomacy. By pastiching this iconography, and putting these prototypes and stereotypes through the filter of her corrosive humour, Pilar Albarracín sets memories of Spain under Franco alongside the dumbing down of our society of consumption which seeks consolation in frantic obsession with fun and gadgets. The postcard works perfectly in establishing a logic of déjà vu. We have all succumbed to the desire to make or buy postcards, knowing full well that they are mere clichés. And in fact we must admit that that was precisely what we were looking for. By appropriating the roles played in tourist imagery, the artist creates a recollection of the past that is designed to provoke. Her postcards, like fetishes, bear a relation to castration, with something that is lacking and that is not easy to restore. As for this militaristic, macho paternalism and its condescending attitude to popular culture and folklore, not much of it seems to be left. Or so we would like to believe. Georges-Philippe & Nathalie Vallois Gallery from “Souvenirs sarcastiques,” a text written by Fernando Castro Flórez for the exhibition by Pilar Albarracín at the Palacio Episcopal in Málaga Pilar Albarracin Exhibition from May 29 to July 19, 2009
Valois Gallery 36 Seine Street Paris - 75006 France

29/05/09

Concours Photos Marches de Paris

.
A l’occasion de la Fête des marchés (du 5 au 12 juin 2009), Paris.fr lance un concours photo sur le thème des marchés pendant tout le mois de juin 2009
.
Fruits, légumes, vêtements, fleurs, commerçants, étalages, ambiance, paniers, animations… Le but du concours est de laisser libre court au regard des Parisiens pour qu’ils photographient leur marché. A partir de la liste des marchés disponible sur Paris.fr les participants pourront prendre des photos et les déposer sur le site grâce à une application très innovante développée par Zoomorama, une jeune société parisienne hébergée dans une pépinière de la Ville de Paris et partenaire de l’opération. De nombreux lots sont à gagner pour les passionnés de photos : des stages photos dans le Var avec Terre d’image, des appareils photos Fuji, des laissez-passer annuels pour la Maison Européenne de la Photographie, des ouvrages de la librairie La Chambre Claire et de Paris Musées et d’autres cadeaux…
.
Autour de Lyne Cohen-Solal, adjointe au Maire en charge du commerce, un jury, composé de professionnels de la photo et de commerçants, se réunira début juillet pour désigner le palmarès des meilleures galeries de photos. Les lauréats recevront leur récompense à l’occasion de la remise des prix qui sera organisée quelques jours après à l’Hôtel de Ville. Les photos seront ensuite publiées sur Paris.fr pour illustrer chaque marché parisien.

26/05/09

Fujifilm XMF version 2.1

div align="justify">Fujifilm présente la version 2.1 de XMF, son flux de production cross-média, à Graphitec 2009
Lors du salon Graphitec-Convertec 2009, Fujifilm veut démontrer comment XMF 2.1 permet de mieux contrôler les processus d'impression avec sorties multiples grâce à l'introduction de l'automatisation intelligente et de la technologie de traitement des images, deux exclusivités de la société.
Fondé sur le moteur PDF Print Engine d'Adobe (version 2), XMF 2.1 doit permettre de mieux contrôler la qualité entre différents procédés d'impression, d'augmenter l'efficacité et la productivité et d'améliorer considérablement les communications avec les acheteurs d'imprimés et les donneurs d'ordre.
Les fonctionnalités JDF du flux Fujifilm XMF seront également exposées sur l'espace JDF CIP4 du salon Graphitec 2009. Ces fonctionnalités concerneront principalement l'échange d'informations avec le MIS Partner de la société Gamsys et la communication avec les solutions d'impression numérique de Xerox.
1) Epreuvage en ligne basé sur la collaboration et communication via le Web - Dans la version 2.1 de son flux XMF, Fujifilm a introduit un module de communication Web doté d'outils tels que XMF Remote. Ces outils améliorent les communications avec les donneurs d'ordre car ils autorisent la soumission globale d'une tâche, son approbation et son épreuvage en ligne.
2) Flux hybride dynamique et perfectionné - Dans la version 2.1 du flux XMF, Fujifilm a perfectionné la fonction d'automatisation intelligente intégrée dans le produit principal, ce qui permet de passer automatiquement d'un type de sortie à l'autre notamment grâce à son imposition embarquée et une gestion des couleurs plus performante. Avec le JDF, Fujifilm a élaboré un véritable flux de production hybride, où la gestion des couleurs et l'imposition de fichiers PDF peuvent être refaites automatiquement pour s'adapter facilement et sans délai aux différents périphériques de sortie. L'utilisateur bénéficie alors d'une souplesse et d'un contrôle sans précédent sur les opérations d'impression complexes.
3) Optimisation intelligente des images - Fujifilm ajoute un module d'optimisation des images dans son flux XMF, nommé XMF C-Fit, qui vient renforcer la valeur des services que les imprimeurs proposent à leurs clients. Les technologies Image Intelligence de Fujifilm mises en oeuvre dans le module XMF C-Fit automatisent le processus d'analyse et d'amélioration des images RVB issues de sources diverses. Pour créer une matrice numérique RVB, XMF C-Fit utilise plusieurs des algorithmes Fujifilm de traitement des images, notamment la reconnaissance des visages, l'amélioration des tons chair, l'identification de la source lumineuse, l'exposition et le réglage de la balance des blancs ou encore l'amélioration de la netteté. La technologie de reproduction du rendu du module XMF C-Fit met en correspondance la gamme de couleurs de la matrice numérique RVB et la gamme potentielle maximale associée au profil du périphérique cible. Elle permet également aux utilisateurs de convertir des fichiers RVB en équivalents CMJN sans modifier ni amoindrir l'aspect des images RVB, afin de garantir la meilleure conversion de couleurs possible entre l'original et l'image imprimée. XMF C-Fit est également très facile à utiliser, grâce à un flux par Hot Folders fonctionnant par glisser-déplacer. La présence de ce nouveau module dans le flux XMF donne aux imprimeurs la possibilité de proposer des services améliorés et plus sophistiqués à leurs clients.
Au coeur d'un grand nombre des améliorations apportées au flux XMF se trouve la technologie exclusive de traitement des images de Fujifilm, Image Intelligence, initialement intégrée dans les minilabs Fujifilm et désormais mise en oeuvre sur bien d'autres produits de la société.
http://www.fujifilmgraphic.com/

25/05/09

Le Web To Print - W2P - Definition

L'appellation anglo-saxonne Web To Print, comprend toutes les applications permettant de commander des prestations d'impression via l'Internet.
En français, les expressions "portails d'impression en ligne" ou "sites d'impression en ligne, voire "solutions d'impression à distance" sont souvent utilisées. Certains évoquent des "sites de vente d'impression en ligne".
Les portails peuvent être installés en interne dans une grande entreprise ou une administration et servir à alimenter ses ateliers d'impression numérique intégrés, ou développés par des prestataires (imprimeurs, imprimeurs numériques) à destination de leurs clients.
Dans ce cas, l'imprimeur installe, configure et administre un site web de vente en ligne à partir duquel il propose diverses prestations.
Auteur : Patrick Cahuet (1PRIME concept) qui animera sur le salon Graphitec-Convertec 2009 une conférence sur le Web To Print, le 10 juin 2009 à 15h30. Plus d'informations sur le salon sur : www.graphitec.com

Gobelins, L'Ecole de l'Image

Gobelins, l'école de l'image est, comme son nom l'indique, spécialisée dans les formations aux métiers de l'image. L'école forme des professionnels de l'ensemble de la chaine graphique, maîtrisant la relation clients et la gestion de projets. Gobelins accueille 700 élèves et apprentis en formation initiale. Gobelins a fait le choix de l'apprentissage dans une filière à fort renouvellement technologique : la communication et les industries graphiques, du Bac professionnel au Bac +3/4. Gobelins, l'école de l'image accueille également près de 1000 stagiaires en formation continue. Sa gamme de formation pour adultes recouvre en inter-entreprise 27 modules et 7 cursus dédiés à la communication graphique : multimédia, cinéma d'animation, photographie, graphisme, prépresse, impression ainsi que vidéo.

AF-S DX-Nikkor 10-24mm f/3.5-4.5G ED lens

Nikon announces the next addition to the expansive Nikkor lineup with the new AF-S DX-Nikkor 10-24mm f/3.5-4.5G ED lens. Compact and lightweight, the new 2.4x zoom DX-Nikkor lens offers a focal length of 10 to 24mm, creating a picture angle ranging from 109-degrees to 61-degrees (FX-format equivalent of 15-36mm) making it ideal for a variety of applications including restrictive interiors, architecture and sweeping landscapes. The AF-S DX-Nikkor 10-24mm f/3.5-4.5G ED lens offers an array of versatile Nikon technologies, including Nikon’s compact Silent Wave Motor (SWM) technology for quiet, fast and accurate autofocus performance. An advanced optical formula, featuring two extra-low dispersion (ED) glass and three aspherical lens elements renders stunning images while minimizing distortion, a common problem with ultra wide-angle lenses. A rounded diaphragm opening, combined with the seven-blade aperture, contributes to the 10-24mm lens’ ability to capture images with soft background effects, referred to by experienced photographers as the “bokeh.” Additionally, the new DX-Nikkor lens offers the user two focus modes; manual and automatic and features an M/A mode that allows the photographer to quickly switch between the two modes. Both use an internal focusing (IF) design that enhances AF speed and eliminates lens barrel rotation and changes to lens barrel length during focusing. Fully compatible with Nikon’s complete line of DX-format digital SLR cameras – including the D300, D90, D60, D40 and the D5000 – the AF-S DX-Nikkor 10-24mm f/3.5-4.5G ED lens enables photographers to broaden their view in new and interesting ways. FX-format shooters can also benefit from the AF-S DX-Nikkor 10-24mm f/3.5-4.5G ED, as Nikon’s FX-format cameras – the D3X, D3, and D700 – will automatically apply the DX-Crop Mode when shooting.
The AF-S DX-Nikkor 10-24mm f/3.5-4.5G ED will be available in US at Nikon authorized dealers beginning May 2009 at an estimated selling price of $899.95.
About Nikkor Brand
Image Source (c) Nikon Inc. - All rights reserved -
http://www.nikonusa.com/

Nikkor Brand - Nikon's Photographic Lenses name explaining

Nikkor is the brand name for Nikon’s photographic lenses, which was created by adding an "R" to "NIKKO”, an abbreviation of Nippon Kogaku K.K., the original company name of Nikon Corporation at the time of its founding. In 1933, Nikon marketed its first camera lens under the NIKKOR brand name, the "Aero-NIKKOR” for aerial photography applications. Since then, Nikkor has been used as a brand name for Nikon’s lenses that symbolizes durability, high image quality and optical excellence.

With a comprehensive assortment of FX and DX-format lenses and focal lengths, from the ultra-wide 10-24mm to the super-telephoto 600mm VR, Nikon photographers have come to rely upon the Nikkor core technologies.

Related Posts
AF-S DX-Nikkor 10-24mm f/3.5-4.5G ED lens

24/05/09

Nikon Reflex Numerique D5000

Le reflex numérique Nikon D5000 dispose de la fonction D-Movie pour l'enregistrement de clips vidéo HD. Cette fonction a été introduite avec le Nikon D90 qui était destiné aux professionnels. Il était prévisible que Nikon sorte un reflex grand public capable de prendre des vidéos.
L'écran flexible et mobile (moniteur ACL 2,7 pouces) dont est doté le Nikon D5000 vous permet de positionner facilement l'appareil photo en fonction de l'angle ou de la vue que vous recherchez. Vous pouvez ajuster l'écran et photographier votre sujet en choisissant la perspective que vous souhaitez. Rabattez ensuite l'écran pour le protéger ou placez-le dans sa position standard pour prendre vos photos en utilisant le viseur. Il faut en effet noter qu'un reflex ne se mani pas comme un petit compact. A l'usage, il s'avère plus délicat de prendre des photos en utilisant directement l'écran. Le risque d'obtenir des photos floues augmente en utilisant l'écran car le risque de bouger est bien plus important que si vous utilisez le viseur. Pour ceux et celles qui n'ont pas l'habitude d'utiliser le viseur, vous verrez que l'on s'y fait très vite. Et pour ceux et celles qui sont passés de l'argentique au compact numérique, vous retrouverez avec un reflex numérique le plaisir d'utiliser un viseur.
L'enregistrement de clips vidéo avec un reflex numérique offre davantage de possibilités qu'en utilisant un compact. Vous pouvez en effet changer d'objectif pour modifier la perspective et réaliser ainsi des séquences vidéos plus créatives. Le Nikon D5000 intègre la fonction D-Movie (avec audio) pour l'enregistrement de clips vidéo en haute définition, compatibles avec les tout derniers écrans de télévision, ainsi qu'une sortie HDMI pour brancher l'appareil en toute simplicité. Accessible à partir d'une simple touche, la fonction Live View permet de visualiser et de composer votre vidéo sur l'écran ACL.
Pour la photographie, l'appareil intègre quatre types d'autofocus (AF) par contraste : zone large, zone normale, détection de visages et nouveau suivi du sujet. En mode AF avec suivi du sujet, l'appareil recommence même à suivre le sujet lorsque celui-ci quitte le champ puis y revient. Le reflex D5000 dispose, au total, de 19 modes Scène pré-réglés. Vous n'avez ainsi pas besoin de connaître tous les secrets de la photographie numérique pour prendre de bonnes photos en fonction des conditions de prise de vue. Placez simplement le sélecteur de mode sur ‘SCENE’ et choisissez le mode le mieux adapté à l'ambiance. L'appareil fera le reste. L'appareil affiche même un exemple pour la scène sélectionnée, facilitant ainsi votre décision. Tout aussi simples à utiliser, les nombreuses fonctions de retouche intégrées à l'appareil photo permettent d'éditer vos images et d'y ajouter des effets visuels directement sur l'appareil, avant même de les transférer sur un ordinateur.
En plus de ces fonctionnalités, le Nikon D5000 est avant tout un appareil photo disposant de caractéristiques techniques permettant de prendre des photographies d'excellente qualité. Avec son capteur d'image CMOS haute sensibilité de 12,3 millions de pixels effectifs, le système innovant de traitement d'image ultra-rapide EXPEED de Nikon, son système AF 11 points rapide et précis et son déclencheur ultra-performant et durable, il convient également parfaitement aux photographes déjà chevronnés. La qualité d'image est aussi garantie par son mécanisme de nettoyage du capteur d'image, son système de contrôle du flux d'air, sa fonction D-Lighting actif et son optimisation d'image.
Les différentes options de visualisation du D5000 sont aussi agréables que pratiques. Vous pouvez afficher les photos par planches de 72 images maximum. Une vue Calendrier permet également d'organiser les images en fonction de leur date et heure. Les utilisateurs un peu expérimentés apprécieront la possibilité d'afficher un histogramme sur les zones agrandies de l'image pour le contrôle d'exposition.
Léger et compact le Nikon D5000 est agréable à manipuler. Dans les contextes silencieux, il dispose d'un nouveau mode discret. Le flash intégré à ouverture automatique détecte automatiquement les conditions où le flash est requis. Cette fonction pouvant bien sûr être annulée. Pour les utilisateurs les plus mobiles, sa compatibilité GPS avec le module GP-1 de Nikon s'avère pratique pour préciser l'emplacement de votre prise de vue. Le Nikon D5000 dispose d'une sortie HDMI.
Un des principaux intérêt d'un appareil reflex réside dans la possibilité d'utiliser différents objectifs avec un même boîtier. En la matière, vous ne risquez pas d'être déçus puisque le Nikon D5000 est compatible avec un large choix d'objectifs Nikkor AF-S et AF-I.
Début de commercialisation : Avril 2009 - Photos (c) 2009, Nikon Inc. - Tous droits réservés

20/05/09

Expo Installations Mathieu Pernot Lyon

 

Dans le cadre de l'exposition Archives de l'Infamie. Michel Foucault, Une collection imaginaire, la Bibliothèque de la Part-Dieu, à Lyon, organise une "Carte blanche à Mathieu Pernot"

En écho au texte de Michel Foucault, La vie des hommes infâmes, l’exposition présente un montage de trois travaux réalisés par Mathieu Pernot et réunis pour la première fois.

Le Dortoir est une installation constituée de 19 lits provenant d’un établissement pénitentiaire et de 25 matelas récupérés dans une caserne. L’assemblage des lits met en forme un dortoir inquiétant, démesuré et mutant à chaque nouvelle mise en espace. Reprenant des architectures du logement social, de panoptique ou de bâtiments administratifs, Le Dortoir évoque à la fois l’institution, la cité dortoir ou le squelette d’un immeuble.

La série Les Hurleurs montre des personnages en train de communiquer avec un proche incarcéré. Ils constituent une forme de choeur des déclassés, de théâtre silencieux de la douleur.

Les Photomatons ont été réalisés avec des enfants tsiganes. La rigueur du dispositif rappelle les photographies normatives et identitaires et interroge la nature du regard porté sur ces communautés. En installant ces deux corpus d’images de chaque côté du Dortoir, Mathieu Pernot établie un lien entre la figure institutionnelle des lits et la présence de ces personnages vivant à la marge.

Le montage de l’exposition met en espace un rapport de pouvoir et l’idée d’une possible résistance face à l’institution. Le corps des hurleurs ainsi que le visage des enfants font face au dortoir qui semble les attendre. Comme si les enfants s’inquiétaient d’un possible placement, et que le cri des hurleurs était étouffé par le silence des matelas.

 

MATHIEU PERNOT
Le Dortoir - installation - 2009
Les Hurleurs - 2001/2004
Les Photomatons - 1995 et 1997

Exposition du 14 mai au 28 août 2009
La Galerie / Bibliothèque Part-Dieu
69003 Lyon

Clé internet Nokia 3G CS-15 Modem Nomade


Clé internet 3G Nokia CS-15 

Grâce à la clé 3G Nokia CS-15, il est possible de se connecter rapidement à internet, il suffit de brancher ce modem à large bande au port USB et de connecter l’ordinateur portable au réseau 3G. Cette simple manipulation offre la possibilité de naviguer sur le web, consulter ses e-mails, envoyer des SMS (pour ordinateur Windows uniquement), travailler ou encore envoyer ses photos durant les déplacements.
L’optimisation de l’antenne RF de ce produit permet une excellente performance en mobilité tout en bénéficiant d’une faible valeur DAS et d’une faible consommation d’énergie. Cette clé Nokia 3G CS-15 est dotée d’une connexion rapide à internet 10.2 Mbit/s et d’une vitesse de téléchargement à 5.76 Mbit/s. Des possibilités de mises à jour du logiciel pourront augmenter la vitesse du réseau et assure fiabilité et perfection dans le classement des débits de données.
A lire également : Nokia Point and Find Version Beta
Photo (c) Nokia - Tous droits réservés - La clé Nokia CS-15, sera commercialisée à partir de Juillet 2009 au prix de 99 € - http://www.nokia.com/

Nokia Point and Find Version Beta

Nokia présente un concept innovant qui permet à un public mobile d'accéder à des informations et à des services pertinents sur Internet en pointant simplement l'appareil photo d'un mobile sur des objets réels. Une version bêta de Nokia Point & Find consacrée au cinéma est d'ores et déjà disponible au Royaume-Uni et aux États-Unis. D'autres services viendront s'ajouter par la suite et cet outil sera également proposé dans d'autres pays.
Nokia Point & Find recourt à des technologies avancées de reconnaissance et de traitement des images en temps réel pour connecter l'utilisateur à des services et des contenus numériques. Il lit également les codes à barres, intègre la technologie de positionnement GPS et prend en charge la recherche textuelle par catégorie. Lorsque le mobile est pointé vers un objet, Nokia Point & Find exploite plusieurs fonctions du mobile pour évaluer l'objet, notamment l'appareil photo, la connectivité Internet et le positionnement GPS. Ensuite, par le biais d'une recherche rapide dans une base de données d'éléments étiquetés virtuellement, le système identifie l'objet et renvoie un ensemble de liens vers du contenu et des services associés.
Photos (c) Nokia - Tous droits réservés - www.nokia.com

Art Asia Basel 2009 Launch

INTERNATIONAL ASIAN CONTEMPORARY ART FAIR

 

Asian Art Fair

Asian Art Fair

 

ART ASIA, an international Asian contemporary art fair is launching its second edition in the Rhine Art District in Basel, Switzerland. ART ASIA Basel will be open daily from June 8-14, 2009 from 12:00 pm – 8:00 pm with Vernissage on June 8, 2009 at 12:00 pm.

ART ASIA Miami 2008 announced "strong sales, outstanding attendance, and critical acclaim from both press and collectors". Following the inaugural fair, ART ASIA will continue its mission "to bring the best of Asian contemporary art from established and emerging artists to the forefront of the global art market".

ART ASIA Basel 09 has assembled an Advisory Group of individuals with experience and influences within Asia as well as affiliations within the art community. Leading members include Weiming Wang, Director of National Treasure Funds and Chinese Contemporary Artists Funds, organizations under the Ministry of Culture of People’s Republic of China and Victor Zhikai Gao, Director of China National Association of International Studies, International Councilor of Asia Society, President of Yale Law School Association of China, and Legal Counsel of China Association of Mayors.

ART ASIA will continue to present museum quality lectures and discussion panels led by renowned individuals in the art world. With the backing, cooperation, and endorsement from the Chinese government, ART ASIA Basel 09 expects to be "a dominating force within the Asian contemporary art world as well as a major contributor to the global art market".

 Art Asia - 355 West 36 Suite 3001 New York / NY / 10018

 

Related Post: Asia Art Miami 2008 announced strong sales

.

International Garden Photographer of the Year 2009

 

The winners of the second International Garden Photographer of the Year competition have been announced. Their exceptional entries, were chosen by a panel of thirteen judges from thousands of entries received from around the world.

International Garden Photographer of the Year, 2009

The overall winner of the £5,000 prize for the best single image is UK-based photographer, Jonathan BERMAN for In Tresco Abbey Gardens.  This dreamlike infrared photograph of Tresco Abbey Gardens on the Scilly Isles was selected from the Garden Views category. 

 

Best Portfolio – sponsored by Calumet

The Best Portfolio Prize is awarded to Sebastian KAPS, from Germany, for Georgengarten: a collection of six breathtaking images illustrating the landscape garden at Dessau, Germany, following a heavy snowfall.

 

Young Garden Photographer of the Year - sponsored by Epson

The Young Garden Photographer of the Year title goes to 15-year-old Kat WATERS for the best single image from an under 16 year old. Purple Haze is an explosive close up of an echinops flower bursting into bloom.

 

Category Winners

The winners of each category are:

Plant Portraits Photograph sponsored by Photobox  – Deborah Casso for Lone Lily Pad.

People in the Garden Photograph  sponsored by Annabel Williams – Paul Debois for 43 Gardeners’ Hands.

Garden Views  Photograph – Jonathan Berman for In Tresco Abbey Gardens.

Wildlife in the Garden Photograph sponsored by Daymen  – Colin Varndell for Damselflies on Pond.

Trees  Photograph – Dennis Frates for Lone Fall Tree.

The Edible Garden  Photograph – Bapi Chakraborty for Super Tomatoes.

World Botanic Gardens  Photograph – Matthew Bishop for The Futuristic Alpine House.

Special Awards

Spirit of the Japanese Garden   Photograph – sponsored by BISES Inc Dennis Frates for Japanese Gardens in Fall.

Best Garden Photographers’ Association Portfolio – Rachel Warne for Autumn Study.

 

The second International Garden Photographer of the Year exhibition will be on display at the Royal Botanic Gardens, Kew, from 23 May to the end of September 2009. www.kew.org  

The International Garden Photographer of the Year Collection 02 book, illustrating all the winners, finalists and commended images from the second competition will be available from 23 May 2009 in the Kew Gardens shop, in all major book stores and also online at http://www.igpoty.com

The third IGPOTY competition is now open. The closing date for submissions is 30 November 2009. Entries should be made online at www.igpoty.com

17/05/09

Les enfants du Bethesda par Céline Viala

(c) 2009 - Céline VIALA / Blurb Press - Tous droits réservés
Voilà un livre de photographies que l'on ne peut que recommander aux amoureux de reportages de photographes qui placent l'Homme au coeur de leurs préoccupations. On doit à Céline Viala ce très beau livre de photos en noir et blanc dédié aux enfants du Bethesda. Bethesda, c'est un centre situé au sud du Bénin. Depuis 1988, il accueille des enfants et des adultes souffrant de malformations osseuses. Céline Viala a choisi de nous présenter des photographies d'enfants de ce centre dans toute leur vitalité à travers une série de portraits. Il ne s'agit pas, pour elle, d'anonymes. Elle a pris soin de citer le prénom de ceux qu'elle a photographié. Ce sont des sourires d'enfants qui apparaissent en premier. Ce sont des sourires d'enfants avant tout, mais des enfants dont on sait qu'ils sont dans un centre spécialisé dans le handicape avec lequel ils doivent vivre. Certains regards laissent transparaître cet état. En tout cas, c'est ce que j'ai ressenti dans certaines photos. Il y a beaucoup d'humanité dans toutes celles qui sont rassemblées dans ce livre.
Vous pouvez en voir un aperçu sur le site de l'éditeur où vous pouvez commander cet ouvrage. Le lien est le suivant :
Céline Viala est photographe et illustratrice. Je profite de ce message pour vous renvoyer à son site http://viala.celine.free.fr/ où l'on peut notament avoir un aperçu de ses illustrations. Céline Viala habite en Savoie.

16/05/09

New Photo Flash and Backlight Driver ICs Announced by Analogic Tech

AnalogicTech’s New Photo Flash and Backlight Driver ICs Optimize Power Efficiency in Feature Phone Designs

AnalogicTech (Advanced Analogic Technologies, Inc.) announces a new set of flash and backlight White LED (WLED) drivers for the highly competitive feature phone market. Offering new efficiencies in power usage in highly compact packages, the AAT3176, flash driver and the AAT3351 WLED driver promise to help handset designers extend battery life and reduce product footprint.

“Over the last few years AnalogicTech has built up a comprehensive product line of lighting solutions for cell phone and mobile device designs by constantly pursuing innovative approaches to the problems designers face,” said Phil Dewsbury, product line director for AnalogicTech. “By improving power efficiency, reducing board footprint and simplifying LED control while preserving the flexibility and safety features in our existing products, these two new charge pump-based devices take those achievements to a new level.”

Reduced PCB requirements
Operating from a 2.7V to 5.5V input voltage, the AAT3176 flash driver IC supplies up to 500 mA output current. The dual mode charge pump maximizes power efficiency by supporting both 1X and 2X operation and can be programmed across 16 distinct steps via AnalogicTech’s patented S²Cwire™ (Simple Serial Control) interface. Coming in the industry’s smallest package for a 500 mA flash driver IC – 20% smaller than comparable devices – the AAT3176 allows designers to build highly compact camera lighting solutions.

To maximize design flexibility and minimize programming time, the AAT3176 uses separate external resistors to set maximum flash and movie-mode current. To protect the integrity of the device, the driver features a thermal management system that includes open- and short-circuit protection and automatic soft-start circuitry. A load disconnect feature extends battery life by disconnecting the load during shutdown and reducing quiescent current to less than 1.0 µA.

High Efficiency LED Driver
The AAT3351 is a high efficiency charge pump capable of driving up to 4 White LEDs at up to 30 mA each. The dual-mode fractional charge pump automatically switches between 1X and 1.5X modes based on input voltage, LED forward voltage and load current to maximize efficiency. A 1 MHz switching frequency helps minimize external component size.

To smooth transitions between brightness levels, the device uses AnalogicTech’s S²Cwire™ serial digital interface to enable, disable and set current to any of 32 levels. LED current output accuracy is ±10% and LED current matching is 3%. The AAT3351 also adds automatic soft-start circuitry and built-in short-circuit protection.

Source: Analogic Tech

15/05/09

Alberto Giacometti – Exposition à la Fondation Beyeler

ALBERTO GIACOMETTI 
Fondation Beyeler, Riehen / Basel, Suisse 
31 mai – 11 octobre 2009 

ALBERTO GIACOMETTI (1901-1966), sculpteur, peintre et dessinateur suisse de génie, s’est imposé à Paris comme un des plus influents protagonistes de l’art moderne. La grande exposition d’été qui lui est consacrée par la Fondation Beyeler est un des temps forts du calendrier culturel européen. Cette exposition présente 150 œuvres majeures représentatives de toutes les périodes de création de l’artiste, tout en intégrant des travaux d’autres membres de la famille Giacometti qui se sont adonnés à l’art. Elle comprend des sculptures, des peintres, des dessins et des objets design appartenant à la famille Giacometti, à des collections particulières et aux plus grands musées du monde. 

Son architecture n’est pas la seule raison qui fait de la Fondation Beyeler un lieu prédestiné à accueillir une exposition Giacometti. Il s’y ajoute en effet que cet artiste est représenté dans la collection d’Ernst et Hildy Beyeler par des pièces exemplaires de son oeuvre tardive visionnaire. L’une des plus connues est certainement l’ensemble destiné à la Chase Manhattan Plaza (1960), dont la célèbre sculpture L’homme qui marche II (1960) est devenue emblématique de la Fondation Beyeler, sinon d’Ernst Beyeler lui-même. Ce dernier connaissait bien Alberto Giacometti et sa famille et il s’est beaucoup investi en faveur de son œuvre. C’est du reste à sa persévérance et à son talent de négociateur que l’on doit le maintien en Suisse de l’intégralité de l’importante collection Giacometti de l’industriel de Pittsburgh G. David Thompson au début des années 1960, une collection qui a constitué le fondement de la Giacometti Stiftung de Zurich. Au total, près de 300 oeuvres de Giacometti sont passées entre les mains d’Ernst Beyeler au cours de son activité de galeriste. 

Cette exposition retrace le parcours d’Alberto Giacometti en faisant la part belle à ses relations avec les membres de sa famille, tout en cherchant à mettre en évidence sa conception de l’art. Elle invite à un voyage à travers l’univers artistique de Giacometti, dont l’entourage constituait autant d’astres fixes. Les échanges avec sa famille étaient en effet d’une importance existentielle pour Giacometti. Son système de référence accordait une place privilégiée à son père, le peintre Giovanni Giacometti (1868-1933), qui fut, avec ses amis Ferdinand Hodler, Giovanni Segantini et Cuno Amiet, l’un des représentants des débuts de l’art moderne suisse. Giovanni Giacometti encouragea le talent manifeste d’Alberto dès sa plus tendre enfance et dans son rôle de professeur, il influença l’œuvre de son fils au-delà de sa période de création juvénile. Un grand nombre des problèmes artistiques qui préoccupèrent le fils, par exemple les questions de la relation entre distance et dimensions, intéressaient déjà le père, avec, il est vrai, des résultats fort différents.

Le peintre Augusto Giacometti (1877-1947), cousin issu de germains de Giovanni, s’engagea dans une tout autre voie artistique. Sa création fait contrepoids à celle des artistes de la famille de Giovanni et on le connaît surtout aujourd’hui pour ses compositions chromatiques expérimentales, proto-abstraites.

Tous les membres de la famille servirent de modèles à Giovanni et à Alberto. Parallèlement à son père Giovanni, Alberto était particulièrement proche de son frère cadet, Diego (1902-1985). Celui-ci ne fut pas seulement son modèle préféré, mais aussi son principal collaborateur pendant de longues années. Après la mort d’Alberto, Diego s’est fait connaître par ses meubles de bronze et ses sculptures, qui trahissent une forte influence de son frère. Les modèles importants dans l’évolution artistique d’Alberto comprennent également sa mère Annetta, sa soeur Ottilia, le plus jeune de ses frères, Bruno (*1907), architecte de renom, son neveu Silvio ainsi qu’Annette, sa propre épouse. Dans cette exposition, nous les rencontrons d’abord dans les peintures de Giovanni, puis dans les toiles et les sculptures d’Alberto. 

La possibilité de jouer à proximité immédiate de l’atelier de leur père fut une expérience décisive pour les enfants Giacometti. Cette situation singulière a déterminé l’œuvre d’Alberto Giacometti en même temps que ses rapports avec ses frères et sœur. L’aspect ludique de l’art, tel qu’il était vécu à Stampa et qui se manifeste de façon absolument fascinante dans les objets cinétiques de l’époque surréaliste de la fin des années 1920 et du début des années 1930, marque le point de départ d’une conception devenue essentielle pour l’art d’Alberto Giacometti : l’idée de l’unité du temps et de l’espace. Le mouvement représenté — et cela vaut aussi pour le mouvement du spectateur lui-même — est également lié à l’instant où il se produit, ainsi qu’à l’espace qu’il parcourt. Dans ses recherches sur le thème de l’espace et du temps, les membres de sa famille furent pour Alberto Giacometti des éléments de référence irremplaçables. Alberto Giacometti se considérait comme le centre d’un système d’êtres, d’objets, d’œuvres, de lieux, de souvenirs et d’événements à venir. 

L’exposition explore cette interaction entre espace, temps et mouvement en mettant en valeur les oeuvres de Giacometti d’une façon inédite, dans les salles de Renzo Piano. En collaboration avec Hans-Jörg Ruch, architecte originaire de l’Engadine spécialiste de Giacometti, et l’éclairagiste Charles Keller, on a imaginé une présentation originale qui permet aux œuvres et plus particulièrement à la patine bien particulière des sculptures de bronze de déployer toute leur beauté. 

L’exposition s’ouvre par une très rare présentation complète des neuf versions des Femmes de Venise, qu’Alberto Giacometti a réalisées pour la Biennale de Venise en 1956. L’exposition retrace le cycle de vie d’Alberto et couvre les principales phases de sa création. Elle commence par Giovanni Giacometti et présente ses œuvres majeures représentant des motifs de l’Engadine et de l’environnement familier où naquit Alberto. La toile de grand format Die Lampe (1912) illustre de façon particulièrement vivante l’esprit de famille des Giacometti. Dans la salle consacrée aux débuts d’Alberto, on peut mentionner tout spécialement son Autoportrait de 1921, qui trahit déjà l’opiniâtreté du jeune artiste. 

Les oeuvres marquées par le jeu, l’espace et le sentiment, grâce auxquelles Alberto a fait fureur dans les années 1930 d’abord dans le cercle des surréalistes, sont notamment représentées dans cette exposition par la sculpture érotique Homme et la femme (1928/1929) ou par la célèbre Boule suspendue de 1930/1931 (version de 1965). La réalité des sentiments s’exprime de façon fascinante dans des œuvres comme La main prise (1932), qui ont fait sensation à l’époque. Les versions en bronze et en plâtre du Cube (1933/1934), qui représentait pour Alberto tout à la fois sa propre tête et son atelier, sont tout à fait spectaculaires. L’artiste a présenté la version en plâtre du Cube que l’on peut voir ici à la Schweizerische Landesausstellung de 1939. 

Des créations design d’Alberto Giacometti, rarement montrées, pour l’essentiel des travaux de commande destinés à Jean-Michel Frank, architecte d’intérieur de la high society, sont présentées dans une autre salle, aux côtés des meubles et des sculptures d’animaux de son frère Diego. Mentionnons encore parmi les objets design hors du commun le gigantesque luminaire d’Alberto (1932-1934). 

La salle contiguë ne contient qu’une sculpture, minuscule, Petit homme sur socle (1940/1941, bronze, 8,1 x 7 x 4,8 cm). Au cours de cette phase de sa création, Giacometti ressentait la nécessité de présenter la figure à la taille exacte déterminée par la distance entre l’objet et sa propre perception d’artiste. Ses figures deviennent ainsi très petites, mais engendrent un effet monumental. Cette installation rappelle un projet de  Giacometti qui avait eu envie d’aménager une très vaste cour intérieure de la Schweizerische Landesaustellung avec une seule de ces sculptures minuscules. Nous pouvons ainsi reconstituer de façon tangible l’évolution artistique d’Alberto Giacometti à partir de la fin des années 1930. 

Le dépassement de l’exiguïté des figures, qui conduit à son célèbre style tardif, apparaît avec une expressivité toute particulière dans une œuvre clé de cette période, la Femme au chariot montée sur roues (vers 1945) que l’on peut voir ici dans deux versions, l’une en plâtre, l’autre en bronze. En installant sa figure sur des roues, en la rendant donc mobile, il abroge la distance entre l’objet et lui, qu’il jugeait insurmontable. Désormais, les figures peuvent à nouveau s’agrandir, et le thème du mouvement dans l’espace prend une importance capitale, comme en témoignent de façon particulièrement impressionnante les sculptures de bronze, et notamment le premier Homme qui marche (1947) ainsi que L’homme qui chavire (1950). La même période de création préside à la naissance des célèbres sculptures consacrées à des parties isolées du corps, Le nez (1947, version de 1949) et La main (1947), qui se rattache certainement à l’expérience de la guerre de Giacometti. La sculpture animalière Le chien (1951) était, dans l’esprit de l’artiste, un autoportrait existentiel. 

La grande salle vouée à l’œuvre tardive de Giacometti s’ouvre sur le célèbre Chariot (1950), qui domine ici la présentation. Dans les portraits et les représentations de nu d’Annette qui entourent la salle, on peut toucher du doigt la manière dont Giacometti a abordé la figure féminine, grâce à certaines œuvres exemplaires, comme Grand nu (1962). Le contraire du mouvement est l’immobilité, qui redonne naissance au mouvement : les figures de femmes debout de Giacometti, ses corps condensés en quelques signes existentiels, aux surfaces et aux contours rugueux qui rendent toute appréhension exacte difficile, soulignent que l’immobilité n’est qu’un moment fugace. 

Ses célèbres compositions de places illustrent son idée de la définition de l’espace par des groupements de sculptures immobiles/mobiles : les petites figures de La place (1948) et le groupe de sculptures Groupe de trois hommes (1943-1949) font face à l’ensemble plus grand que nature réalisé pour la Chase Manhattan Plaza (1960). 

La dernière salle est consacrée aux remarquables bustes et portraits qu’Alberto a réalisés de son frère Diego. La salle est dominée par la grandiose « Grande tête de Diego » (1954), une sculpture qui, paradoxalement, se présente à la fois en deux et en trois dimensions, et dont la dynamique s’exprime pleinement quand on en fait le tour.  L’exposition se conclut sur la toute dernière sculpture créée par Alberto Giacometti, Elie Lotar III (assis) de 1965, exposé à côté d’une peinture du jardin de Stampa (Le jardin à Stampa, 1954), regard nostalgique sur le paradis de l’enfance et en même temps coup d’oeil visionnaire vers l’éternité.

Commissaire de l’exposition : Ulf Küster

Cette exposition est réalisée en collaboration avec l’Alberto-Giacometti Stiftung de Zurich et avec la Fondation Alberto et Annette Giacometti de Paris. En plus des prêts généreux des fondations de Zurich et de Paris, cette exposition rassemble un grand nombre d’oeuvres prêtées par des musées européens et américains, dont la Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul, le Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, le Louisiana Museum of Modern Art, Humlebæk, la Staatsgalerie de Stuttgart, la Kunsthalle de Hambourg, la Tate, Londres, les Collections Thyssen-Bornemisza, Madrid, le Kunsthaus de Zürich, le Kunstmuseum de Bâle, l’Emanuel Hoffmann-Stiftung, le Depositum in der Öffentlichen Kunstsammlung, Bâle, le Bündner Kunstmuseum, Coire, ainsi que le Museum of Modern Art, New York und la National Gallery of Art, Washington. Une fois encore, nous avons pu obtenir de nombreuses collections particulières qu’elles nous prêtent leurs trésors. Nous tenons ici à mettre tout particulièrement en relief la Collection Eberhard W. Kornfeld de Berne. 

Un catalogue est publié chez Hatje Cantz Verlag, Ostfildern à l’occasion de cette exposition. Ce catalogue constitue une contribution actuelle majeure à la recherche sur Giacometti. Avec une présentation de Felix Baumann et des textes d’Ulf Küster, Pierre-Emmanuel Martin-Vivier et Véronique Wiesinger, complétés par une chronologie de Michiko Kono. Ce volume compte 224 pages avec 160 illustrations en couleur. 

Egalement à la Fondation Beyerler : Franz West, 7 mai - 6 septembre 2009

World Press Photo Joop Swart Masterclass 2009

 

Twelve young photographers have been selected to come together with a group of masters for the 16th annual World Press Photo Joop Swart Masterclass to be held from 31 October to 6 November 2009 in Foam Fotografiemuseum, Amsterdam.

The 12 participants were selected among 179 candidates who had been nominated to submit their portfolios. During the masterclass meeting in November, the participant photographers will interact with six prominent experts, discussing technical, journalistic and ethical aspects of their work.

The following 12 photographers were selected to participate in the masterclass 2009:

•    Kathryn Cook, USA
•    Matt Eich, USA
•    Simona Ghizzoni, Italy
•    Sohrab Hura, India
•    Benedicte Kurzen, France
•    Don McNeill Healy, Ireland
•    Mads Nissen, Denmark
•    Kosuke Okahara, Japan
•    Ali Akbar Shirjian, Iran
•    Gihan Tubbeh, Peru
•    Dirk-Jan Visser, The Netherlands
•    Alvaro Ybarra Zavala, Spain

The participants were selected by an independent, international selection committee consisting of: Walter Astrada (Argentina) freelance photographer, Nan Goldin (USA) art and documentary photographer, Jan Grarup (Denmark) photographer Noor, Santiago Lyon (USA) director of photography The Associated Press, Jenny Smets (The Netherlands) photo editor Vrij Nederland, Anne Tucker (USA) curator of photography The Museum of Fine Arts, Houston.

In preparation for the meeting, the participants will execute a photo essay on one single theme, which for this year is: "Touch". The essays will be discussed during sessions with the masters and edited into a publication.

The Joop Swart Masterclass has been organized by World Press Photo every year since 1994. Its goal is to bring together some of the most experienced individuals in photojournalism with 12 young, promising photographers so that they can share and pass on their knowledge and experience. From the beginning of the program a total of 176 young photographers have participated in the program, many of them moving on to establish themselves as today's leading photojournalists.

The Joop Swart Masterclass is supported by Delta Lloyd Group, Stichting Democratie en Media and Canon, who provides all participants with a grant. World Press Photo is sponsored worldwide by Canon and TNT.

14/05/09

Canon au Salon Graphitec 2009

Pour sa première participation au Salon Francophone des Industries Graphiques, du 9 au 12 juin prochains à la porte de Versailles de Paris, Canon France veut marquer un grand coup, avec un espace de plus de 210 m². Canon France y présentera l’ensemble de son offre dédiée aux professionnels du secteur de l'industrie graphique : des logiciels aux presses numériques, en passant par le grand format et les services associés pour optimiser sa production. Tout au long des 4 jours d’exposition, Canon France animera également un programme de conférences axées sur les toutes nouvelles innovations. et leurs bénéfices qualitatifs et quantitatifs. Canon proposera aux professionnels de l’impression de les accompagner dans la découverte des nouvelles tendances du marché de l’imprimé et des solutions innovantes (matériels, logiciels et services) disponibles. Graphitec sera aussi l’occasion de partager l’expertise des consultants Canon et d’assister aux démonstrations qui permettront d’évaluer en temps réel les solutions proposées.
Le stand Canon sera organisé en 5 espaces :
1 : Conférences
2 : Solutions / Logiciels
3 : Presses numériques et imprimantes grand format
4 : Responsabilité Sociale d’Entreprise
5 : Salles de réunion.
Canon France réunit dans son stand l’ensemble des offres globales solutions et services adaptées à l’industrie graphique : • Les Solutions / Logiciels : un espace dédié, composé de plusieurs pôles, guidera chaque visiteur dans sa découverte des solutions d’impression Canon : DSF Fiery Central, pour le web marchand, Helix, pour le Web to print, Planet Press et Ados pour la gestion de factures, MPI Tech pour la production éditique, PrintShop Mail pour la communication promotionnelle, Xrite pour la gestion colorimétrique, le connecteur Apogee pour l’interconnexion Offset/numérique. • Les presses numériques : 3 modèles en démonstration : l’imagePRESS C1+ pour l’épreuvage laser et le rendu vernis, l’imagePRESS C7000VP pour la production couleur et l’imagePRESS1110 pour la production noir&blanc. • L'impression grand format : 3 modèles seront exposés : l’iPF820 avec scanner et plieuse pour le tirage de plan, l’iPF6100 pour l’épreuvage et l’iPF9000S pour l’impression de posters et de kakémonos. • Et les services d’accompagnement et de développement commerciaux, proposés dans le programme Canon EBBP (Essential Business Builder Program).
Chaque jour, un programme de conférences sera proposé sur le stand : le matin à 10h30 et 11h30 et l’après-midi, toutes les heures entre 14h et 17h. Six thématiques seront traitées :
• L’épreuvage certifié
• La finition du document à l’ère numérique
• Les nouveaux axes de l’impression transactionnelle
• La communication promotionnelle au service de la stratégie de fidélisation
• Le Web to print / Workflow ou comment réunir et optimiser la relation client et la gestion des flux de production
• imagePRESS : les nouvelles références de la production couleur et NB.
Stand Canon n° B031 - Parc Expo de la porte de Versailles - Pavillon 4
A lire également dans ce blog

12/05/09

Print' s Top 10 Technologies

. .
PRINT 09 Must See 'Ems Committee identifies computer-Centric Production as "Critical Core Technology" for today's Printing Industry
.
Among a commercial printer’s ‘critical core technologies,’ topping the list was information technology (IT), along with the effective use of Management Information Systems (MIS) and print buyer interfacing via the use of Web-to-Print software, in a three-way tie identified by the Selection Committee for the PRINT 09 Must See 'Ems technology/product recognition program.
.
According to the Committee, today’s print production operation is a computer-centric manufacturing process, built around interfacing with the print buyer, that handles content material, controls manufacturing and distribution operations, and also provides information used as the basis for managing a print business.
.
In today’s evolving print business, the computer is frequently the entry point, starting with print buyers placing inquiries, receiving quotations from the printer and placing orders over the Internet. Web-to-print utilization is, with the exception of well established MIS-based estimating, the number one application for printers’ computer use.
.
Whether a printer-created approach, or via CIP4’s Job Definition Format (JDF), computers and MIS are the key components of integrated automation. Production floor feedback to MIS offers a wide range of information that, if acted upon, can improve operations. However, often lacking, the Committee notes, are the analytical software skills and computer savvy to turn available data into actionable improvements by utilizing the data in follow-on applications such as statistical process control. Other functions that benefit from IT competency are, for example, addressing/mailing and digital asset management operations.
.
After IT competency, Web-to-Print and MIS, all in a three-way tie for first place, digital printing was cited as the next key technology for commercial printers to embrace. Printers whose mainstay output is sheetfed or web offset are finding that the lack of digital printing capability, even if only for addressing and brief messaging, puts them at a competitive disadvantage. According to the Selection Committee, in the longer term—three to five years—digital printing will have infiltrated the majority of printing operations and, as one member commented, “You won’t want to be without it.”
.
Several Committee members noted that if, or when, the ink jet equipment demonstrated at drupa comes to market, increasingly longer run work will start to gravitate to both sheet and web ink jet digital printing. Several Committee members commented that the key to moneymaking with digital print is mastering variable data printing and mining the markets where personalization and one-to-one marketing pays off which leads back to the top technology selections.
.
While no single technology secures a commercial printer’s place on the road to profit (it takes a grouping of technologies working together to best serve specific markets) the Committee noted one exception—the fifth technology pick, workflow—since efficient applications workflow is critical for any printer.
.
Color management, and the ability to provide cross or multiple media products, tied for sixth place on the list of critical survival technologies. As black-only work is on the decline, few commercial printers can exist without color capability—and the key to quality color lies in color management, agreed Selection Committee members.
.
In 2009, because advertising and information markets have become fragmented, multi-media capability provides printers with a diversification opportunity. In the short to medium term, the Committee predicted cross-media will transition from being an “opportunity” to a required customer service.
.
The “best in show” examples of the products and services chosen by the Committee, will be identified by the Must See 'Ems product and technology recognition program, which spotlights PRINT 09’s most unique, innovative and compelling products and services for printers to see at the global exhibition and conference. Must See 'Ems recipients will be announced at the conclusion of the Executive Outlook Conference to be held in McCormick Place the day before the show opens on Thursday, September 10th.
.
PRINT’S TOP 10 TECHNOLOGIES
.
Ranked
.
1 Information Technology*
1 Web-to-Print*
1 MIS*
4 Digital Printing
5 Workflow
6 Color Management**
6 Cross-Media Production**
8 Automated Equipment
9 Customer Resource Management (CRM)
10 Preflighting
.
* Tied for 1st place as a critical technology
.
** Tied for 6th place
.
Graphic Arts Show Company (GASC) is the producer of GRAPH EXPO and the global PRINT 09 show, the largest and most comprehensive prepress, printing converting, package printing, binding and finishing, mailing and fulfillment, and offset and digital equipment trade show and conference in 2009. GASC is owned by the National Association for Printing Leadership (NAPL), NPES The Association for Suppliers of Printing, Publishing and Converting Technologies (NPES), and the Printing Industries of America. GASC is located at 1899 Preston White Drive, Reston, VA 20191 USA..

Salon Expo Photo de Saintes 2009

Du 29 mai au 1 juin 2009, la ville de Saintes, en Charente-Maritime, organise son premier Salon Photo. On ne peut que se réjouir de cette initiative et espérons que les visiteurs seront nombreux.
De nombreuses marques, et non des moindres, seront représentées à ce salon : Canon, Panasonic, Nikon, Pentax, Olympus, Sony, Tamron, Sigma, Swarovski Optik, MMF Pro, Bogen Imaging, Image & Nature, JCN, Phot & US, Pro Digit, Ahel Distribution, Digit Access et Images Photo Saintes. Chaque marque présentera notamment ses nouveaux produits.
Dans le cadre de ce salon des expositions photos sont organisées avec les photographes Franck Perrogon, Didier Carré, François Baudin, Fabrice Schack, Jacques Villégier, Vincent Bossard et Michel Garnier.
Parc des Expositions - Hall Pierre Mendés-France - 17100 Saintes
Horaires : de 10h à 20h
Entrée 2 € - gratuite pour les moins de 16 ans. Pour plus d'informations : salonphotodesaintes.fr

10/05/09

Ahmet Ertug, Photographies de Bibliotheques, Exposition à la BnF

Rubrique Exposition Photo > France > Paris > BnF

Bibliothèque du Monastère de Wiblingen, Allemagne © Ahmet Ertug

Bibliothèque du Trinity College de Dublin, Irlande © Ahmet Ertug

The Picton Reading Room, Liverpool Public Library, Angleterre © Ahmet Ertug

Le photographe turc Ahmet Ertug a sillonné l’Europe à la découverte des plus belles bibliothèques du monde occidental. Les architectures les plus élégantes ont été érigées du XVIe au XIXe siècle pour recueillir et transmettre la mémoire du monde. Plus de trente photographies proposent un voyage dans l’univers de ces lieux singuliers. Pour Bruno Racine, président de la BnF, « les très grands formats, le talent de coloriste et la technique particulière dont use Ahmet Ertug rendent justice à la splendeur de ces palais des savoirs ». Diplômé en 1974 de la prestigieuse Architectural Association School de Londres, Ahmet Ertug se convertit à la photographie alors qu’il est encore étudiant, en documentant la vie urbaine anglaise. Il travaille ensuite comme architecte en Angleterre, en Iran et en Turquie. Entre 1974 et 1976, il se consacre à un vaste travail d’enquête photographique en Iran. En 1980, lauréat du très prestigieux Japan Foundation Fellowship, il parcourt le Japon, accumulant un matériel photographique considérable sur les jardins zen, les fêtes rituelles et les temples anciens. A son retour à Istanbul, il décide de se consacrer entièrement à l’art de la photographie. Nommé pour participer au plan de conservation de la ville historique, il photographie le patrimoine séculaire d’Istanbul. Ses images des monuments ottomans et byzantins, réalisées à la chambre, marquent les esprits par leur caractère spectaculaire. Ces photos, comme d’autres qu’il réalise par la suite, sont exposées à de nombreuses reprises, sous l’égide de l’Unesco, à Madrid et Toronto, mais également à New York et Paris. Les photographies des bibliothèques d’Europe, dernier opus d’Ahmet Ertug, s’inscrivent dans ce travail de coloriste et d’architecte. Elles possèdent les qualités et la force d’un maître de l’espace et de la lumière. A travers la sensibilité de celui qui fréquente les espaces du sacré, elles invitent le spectateur à la méditation. Ahmet Ertug nous fait découvrir, de la Prusse à l’extrémité de l’Espagne, de l’Angleterre jusqu’aux profondeurs de l’empire austro-hongrois, les stupéfiantes architectures que les peuples ont imaginées, au cours des quatre derniers siècles, pour accueillir la lecture. Des bibliothèques baroques de monastères autrichiens aux grandes bibliothèques laïques du XIXe siècle, l’exposition explore la manière dont les hommes ont pratiqué cette discipline particulière, la lecture des lettrés, exercice pratiqué dans le silence des grands volumes. Temples du savoir Photographies de bibliothèques d’Ahmet Ertug Exposition du 12 mai au 12 juillet 2009 Commissariat : Ahmet Ertug Coordination : Valérie Prébot, BnF, service des expositions BnF, Site François-Mitterrand - Quai François Mauriac, 75013 Paris - Allée Julien Cain - Du mardi au samedi, 9h - 20h, dimanche, 13h - 19h, lundi 14h - 20h - Fermé lundi matin et jours fériés - Entrée libre

Cette exposition prend place dans le cadre de la Saison de la Turquie en France.

PQI H550 Portable Hard Disk Drive

Power Quotient International releases 2.5” Portable Hard Drive - H550. Distinguishing itself from other portable hard drives on the market is it USB Turbo Boost function. Offering up to 53% more transfer speed, it boosts write speeds up to 40MB/Sec and read speeds up to 38MB/Sec. The boosted transfer speed comes in handy when transferring large capacity files. Once initial setup has been performed, PQI’s H550 offers Backup function with the press of a single button. In addition, users can download Ur-Smart Mobile Office Software from the PQI website to effectively manage personal data.
PQI H550 is available in 250GB/320GB/500GB capacities. It is a netbook’s / laptop’s the best choice for portable data and multimedia storage. PQI’s H550 features perfectly rounded edges in simple black or white piano lacquer finish. It is coupled with its own carrying pouch.
Product specification:
  • Hard drive specification: 2.5” 5400RPM 8MB buffer
  • Portable drive transfer interface: USB 2.0
  • Compatible operating system: Windows 98SE / ME / 2000 / XP / Vista / MAC10.X
  • Dimension (LxWxH): 127.5x 81x 16.4mm
About Power Quotient International
Other Posts about PQI's Products PQI mPack P400 Portable Multimedia Player PQI mPack P600 Portable Multimedia Player PQI mPack P800 Portable Multimedia Player PQI mTrix Portable Multimedia Player

2009 Taipei Computex Exhibition

  • Dates: June 2 (Tuesday) - June 6, 2009 (Saturday)
  • Hours: 6/2 - 6/5 = 9:30 - 18:00 ; 6/6 = 9:30 - 16:00
  • Location: Taipei World Center (TWTC) Nangang Exhibition Hall - Nangang District, Taipei City 11568, Taïwan
  • Main entrance: Jingmao 2nd Rd.
  • Computex official website: http://www.computextaipei.com.tw/

Zsolt Bodoni, Nicodim Gallery, Los Angeles - Yesterday’s Heroes, Tomorrow’s Fools - Exhibition

Zsolt Bodoni
Yesterday’s Heroes, Tomorrow’s Fools
Nicodim Gallery, Los Angeles
May 2 – June 6, 2009

Nicodim Gallery presents an exhibition of new paintings by Hungarian artist, Zsolt Bodoni (born 1977) and his first US solo show.

Zsolt Bodoni’s darkly brooding paintings are tangibly atmospheric. First elevated and then punished by the vigorous sweeps of brushwork he uses to wash his landscapes and shadowy interiors, the works readily evoke the violent struggles of Hungary’s chequered past. For Zsolt Bodoni, the tangled politics of his region’s history are especially poignant. As an ethnic Hungarian growing up in Romania during the last years of Ceausescu’s dictatorship, (Zsolt Bodoni was born in Transylvania, a province that belonged to Hungary during the time of the Austro Hungarian Empire, but was then given over to Romania by the French in 1920), Zsolt Bodoni was part of a unique generation that knew communism in childhood and experienced its disintegration and the transition into democracy in early adulthood; but he was also part of a minority group that suffered - if not persecution - then discrimination at the hands of the fiercely nationalistic Ceausescu.

If he had been born a century earlier, life would have been very different for the young artist - a fact he was constantly reminded of during his growing up, surrounded as he was by the imperialistic Austro Hungarian architecture that dominates Transylvania. Yet more so even than the architecture that surrounded him, it was the monument that left its mark and has continued to both trouble and inspired him. For the past year, Zsolt Bodoni has become increasingly preoccupied by the idea of the monument in his painting. His new body of dramatic works address the commanding physicality of a type of sculpture intended to inspire or affirm the prowess of a victorious nation or movement; but they also deal with the ideological implications that accompany the decision to erect, remove or replace a particular figure or symbol in a key public place.

Looking back as an adult on the changes that swept through Hungary and Transylvania, the artist was struck by the fact that each ‘empire’ brought with it its own heroes: The Hungarians celebrated their founding Magyars with statues of their warrior leaders and the ‘turul’ – a mythical, falcon-like bird said to have lead them to the land that became Hungary. Much later, leading Imperial figures such as Andrassy, the patriotic general, and Horthy, (regent of the Kingdom of Hungary in the interwar years), were immortalised in stone and bronze – only they too were to prove as mortal as the rest of us, for when the communists came, the bronze was melted down and re-cast to commemorate the idols of the new state.

Yet again these new ‘heroes’ were deposed and decried as impostors. In the case of the gargantuan statue of Stalin, erected in Budapest in 1951, the deposition occurred only five years after its grand unveiling; and in the most dramatic fashion. On October 23, 1956, the year of the unsuccessful Hungarian uprising, around two hundred thousand Hungarians gathered in Budapest to demonstrate in sympathy for the Poles. The Hungarian Revolutionaries broadcast sixteen demands over the radio, one of them being the demolition of Stalin’s statue. Over one hundred thousand protestors set about the statue’s destruction and ‘Stalin’ was ripped from the pedestal leaving only his boots behind.

While Zsolt Bodoni’s works are inspired by a strongly narrative element grounded in the context of his own personal experience and history, much of his painting is devoid of figuration and extraneous detail. Large areas are left undefined, empty of fuss and unnecessary congestion. Zsolt Bodoni isn’t frightened to leave these dark holes for us to peer into and struggle through. His sweeping brushstrokes pick us up again if we lose ourselves for too long, but the shadows that remain a constant fixture of his paintings, are never very far behind us.

MIHAI NICODIM GALLERY
944 Chung King Road, Los Angeles, CA 90012

08/05/09

Olympus Filtre Sténopé

Olympus propose des filtres artistiques créant des effets spéciaux directement dans l'appareil. Il s'agit donc en fait de "modes filtres". Vous l'aurez compris, il ne s'agit pas de filtres que l'on peut ajouter (comme sur les appareils argentiques). Ces filtres sont, pour l'instant, disponibles sur les reflex Olympus E-30 et E-620. Les autres reflex de la marques devraient en être dotés (à moins que les retours des utilisateurs soient négatifs). La qualité de l'effet du filtre est sans doute meilleur que s'il était ajouté via un logiciel de retouche photo. Quoi qu'il en soit, une telle fonction peut séduire ce qui n'ont pas l'envie ou le temps d'effectuer de trop longues retouches en post-production.
Olympus explique que le filtre Sténopé réduit la luminosité périphérique comme si l’image était observée à travers le trou d’une aiguille. A cela s’ajoute une tonalité unique qui donne un aspect mystérieux ou l’impression d’être perdu dans une autre dimension ou un autre espace.
Le site d'Olympus propose un portfolio avec des photos utilisant chacun des 6 filtres disponibles : http://www.olympus.com/
Ensemble des Filtres proposés :

Olympus Filtre Film Granuleux

Olympus propose des filtres artistiques créant des effets spéciaux directement dans l'appareil. Il s'agit donc en fait de "modes filtres". Vous l'aurez compris, il ne s'agit pas de filtres que l'on peut ajouter (comme sur les appareils argentiques). Ces filtres sont, pour l'instant, disponibles sur les reflex Olympus E-30 et E-620. Les autres reflex de la marques devraient en être dotés (à moins que les retours des utilisateurs soient négatifs). La qualité de l'effet du filtre est sans doute meilleur que s'il était ajouté via un logiciel de retouche photo. Quoi qu'il en soit, une telle fonction peut séduire ce qui n'ont pas l'envie ou le temps d'effectuer de trop longues retouches en post-production.
Olympus note que filtre Film granuleux recrée l’impression de réalité évoquée par les photographies monochromes à contraste élevé et au grain très épais. Par sa forte présence et l’atmosphère dramatique, le sujet ressort de manière impressionnante.
Le site d'Olympus propose un portfolio avec des photos utilisant chacun des 6 filtres disponibles : http://www.olympus.com/
Ensemble des Filtres proposés :
  • Filtre Pop Art
  • Filtre Soft Focus
  • Filtre Ton neutre & Lumineux
  • Filtre Tonalité lumineuse
  • Filtre Film granuleux
  • Filtre Sténopé