28/02/10

Insa et Université de Rouen Conférences Impressionnisme

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L’enseignement supérieur à l’heure de l’impressionnisme

Conférences

INSA de Rouen

Université de Rouen

Mars – Avril – Mai 2010


Science et Impressionnisme

L’INSA de Rouen et l’Université de Rouen, établissements d’enseignement supérieur publics de la Haute-Normandie, se devaient d’être des relais de Normandie Impressionniste

Pour préparer les publics à la redécouverte de ce mouvement pictural majeur, et apporter un éclairage pédagogique, l’INSA et l’Université organisent chacune un cycle de conférences afin d’annoncer cet événement d’ampleur.

L’INSA de Rouen présente « Science et impressionnisme », un cycle de conférences qui prend en compte l’histoire de l’art et l’histoire des sciences. Un regard sur le passé mais aussi sur l’actualité de la création qui rapproche l’art et la science.

L’Université de Rouen propose quant à elle un programme pédagogique de conférences de qualité, animé par des spécialistes de l’histoire de l’art et de la peinture.

PROGRAMME

L'école de Marseille avant l'impressionnisme, 1850-1874.
Par Jean-Roger Soubiran
, Professeur d'histoire de l'art, Université de Poitiers

Pour considérable que soit son génie, Cézanne ne résume pas tout le paysage provençal. Avant lui, Loubon a fait de l'école de Marseille - où prennent part notamment Grésy, Engalière, Aiguier, Guigou, Monticelli - un des grands foyers du paysage français sous le Second Empire, salué par la presse parisienne comme un centre créatif et expérimental. Intégrant des phénomènes aussi importants que la planéité, l'influence de la photographie, le japonisme, ce naturalisme provençal se manifeste par le goût d'une peinture en plein air, claire et lumineuse - pratiquée dans de petits formats - souvent spontanée, libérée des conventions du cadrage et du souci de bien composer. 4 mars 2010 - 18h30 à la Maison de l’Université

Les cathédrales de Monet, une expérience totale
Par Marianne Alphant
, Commissaire d'exposition, Centre Georges Pompidou 

Février-avril 1892, février-avril 1893 : que cherche si longtemps Monet face à la cathédrale de Rouen ? Comment comprendre cet acharnement, cet envoûtement, cette obsession qui enferme le peintre dans un face-à-face inouï avec la pierre et la lumière ? Retour sur une aventure passionnée, jalonnée d'obstacles matériels et météorologiques, de drames intimes, de découragements, de transports secrets, à travers laquelle se réinvente l'expérience de peindre. 9 mars 2010 - 18h30 à la Maison de l’Université

Le peintre de la vie moderne

La Normandie politique et industrielle par Yannick Marec, professeur  d’histoire contemporain, Université de Rouen

Art et Science de la touche par Frédéric Cousinié, maître de conférences en histoire de l’art, Université de Rouen.

Baudelaire disait de l’Impressionniste qu’il était  le peintre de la vie moderne. Les deux interventions, de 30 mn chacune, visent à présenter cette époque de tous les possibles  en Normandie : contexte social, paysage industriel et état des lieux artistiques nous feront mieux percevoir ce qu’était la Normandie.  11 mars 2010 - 16h à l’INSA de Rouen

La Normandie, berceau de l'impressionnisme
Par Jacques-Sylvain Klein
, vice-président du conseil scientifique de Normandie impressionniste, Commissaire Général du festival Normandie Impressionniste

Jacques-Sylvain Klein apporte un éclairage complètement nouveau sur l'impressionnisme en remontant aux sources normandes de cette révolution artistique. L'impressionnisme a émergé lentement des rivages lumineux, des vallées verdoyantes et des ciels subtils de la Normandie. C'est sur les côtes de la Manche et le long de la Seine que, dès les années 1820, les romantiques anglais et français explorent l'art du paysage.  18 mars 2010 - 18h30 à la Maison de l’Université

Les impressionnistes et la science de la couleur
Par Georges Roque
, directeur de recherches en histoire de l’art, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, EHESS, Paris

On a souvent dit que les peintres impressionnistes étaient restés indifférents à ce que la science de leur temps pouvait leur apporter  parce que, se fiant à leur œil, ils se seraient contentés de peindre ce qu'ils voyaient. Cette conférence a pour objet principal de mettre en question ce lieu commun. L'accent sera mis sur l'organisation de la perception visuelle des impressionnistes en relation avec la conception  de la couleur qu'avaient les scientifiques de l'époque. 6 avril 2010 - 15h à l’INSA de Rouen

Gustave Caillebotte ou l’aventure du regard
Par Alain Jaubert, producteur et réalisateur pour ARTE de la série « Palettes »

Alain Jaubert propose la projection de l’un de ses  films : « Gustave Caillebotte ou les aventures du regard », 58 mn, 1994. Suivra une intervention-débat sur les rapports riches et complexes entre cinéma, peinture et impressionnisme. 27 avril 2010 - 18h30 à la Maison de l’Université

De l’impressionnisme aux nouvelles technologies
Par Pierre Bonton, professeur en traitement de l’image, Université Blaise Pascal, Clermont Ferrand.

Tout comme le chimiste a permis aux peintres impressionnistes de jouer avec les couleurs, l’informaticien permet aux artistes contemporains  de créer en utilisant les mêmes illusions. Après être revenu sur le nécessaire triptyque illumination (spectre de la lumière) / objet (réfraction, diffusion, réflexion, en fonction des natures) / capteur (l’œil et son interprétation), Pierre Bonton exposera de manière simple et conviviale les dynamiques de la recherche actuelle dans le champ du pixel, élément de base pour une création contemporaine foisonnante. 20 mai 2010 - 15h à l’INSA de Rouen

INSA de Rouen
Technopôle du Madrillet
Saint-Etienne-du-Rouvray

Site internet : www.univ-rouen.fr

Maison de l’Université
Place Emile blondel
Mont-Saint-Aignan

Site internet : www.insa-rouen.fr

Entrée libre et gratuite.
Inscription de groupe indispensable, individuelle recommandée.

27/02/10

Exposition Expansion 40 ans UQAM

 

EXPANSION

galerie de l’uqam

Une exposition pour célébrer les 40 ans et la vitalité de l’UQAM

Jusqu’au 27 mars 2010

 

L’UQAM fête ses 40 ans et cela mérite bien une exposition. Depuis hier,  26 février, l’exposition Expansion, dont Louise Déry et Audrey Genois assurent le commissariat, est l’occasion de célébrer les 40 ans de l’UQAM, avec 70 œuvres inédites d’autant de diplômés et d’enseignants de l’Ecole des arts visuels et médiatiques (EAVM). Cette exposition est à voir jusqu’au 27 mars 2010.

L’exposition doit permettre de prendre la mesure de l'incroyable activité qui règne à l'UQAM dans le domaine des arts visuels, avec des projets de : David Altmejd, Sophie Bélair-Clément, Patrick Bérubé, Jean-Pierre Gauthier, Cynthia Girard, Romeo Gongora, Pascal Grandmaison, Isabelle Hayeur, François Lacasse, Manuela Lalic, Stéphane La Rue, Mathieu Latulippe, Raymond Lavoie, Emmanuelle Léonard, Yann Pocreau, Robert Saucier, Francine Savard et Claire Savoie. S’ajoutent à cela une compilation vidéo comprenant des œuvres de : Jean-Pierre Aubé, Céline B. La Terreur, Olivia Boudreau, Michel Boulanger, Michel de Broin, Jacynthe Carrier, Mario Côté, Julie Favreau, Stéphane Gilot, Frédéric Lavoie, Nelly-Ève Rajotte et Myriam Yates; l’inauguration d’une intervention photographique de Gwenaël Bélanger dans les fenêtres de la Galerie de l’UQAM longeant la rue Berri; un volet réunissant les œuvres de plus d’une trentaine de professeurs et chargés de cours de l’UQAM dont Alexandre Castonguay, André Clément, Thomas Corriveau, Patrick Coutu, Lucio de Heusch, Manon De Pauw, Jean Dubois, Denis Farley, Michel Goulet, Nathalie Grimard, Jocelyn Jean, Nicole Jolicœur, Marcio Lana-Lopez, Paul Landon, Lisette Lemieux, Yves Louis-Seize, Michel Martineau, Claude Mongrain, Alain Paiement, Josée Pellerin, Laurent Pilon, Anne Ramsden, Éric Raymond, Sylvie Readman, Monique Régimbald-Zeiber, Jocelyn Robert, Lucie Robert, Michael A. Robinson, Denis Rousseau, Dominique Sarrazin, David Tomas, Gisèle Trudel et Angèle Verret; ainsi qu’une soirée de performances le 27 février lors de la Nuit Blanche, avec les artistes Belinda Campbell, Sophie Castonguay, Raphaëlle de Groot, Les deux Gullivers (Besnik & Flutura Haxhillari) et Thierry Marceau. Tout un programme!

Le vernissage a eu lieu en présence du recteur de l’UQAM, monsieur Claude Corbo, des commissaires et de tous les artistes.

L’exposition
Le projet Expansion constitue une initiative majeure pour souligner les 40 ans de contribution de l’UQAM à la vie artistique et universitaire du Québec. Grâce à ce projet fédérateur sur l’idée de l’expansion de la matière, de l’art dans la vie, de l’université dans la cité et de l’UQAM dans la société québécoise depuis quatre décennies, la Galerie de l’UQAM entend mettre en valeur les arts visuels et médiatiques, l’histoire de l’art et la muséologie enseignés à l’UQAM. Expansion comprend des œuvres de nombreux artistes diplômés de l’UQAM, de même que de professeurs et de chargés de cours qui ont contribué et contribuent encore à la vie artistique de l’institution.

L’exposition ne mise pas sur une orientation esthétique, stylistique ou thématique particulière, mais vise plutôt l’expression de la très grande diversité des pratiques artistiques du moment. C’est davantage un point de vue formel qui la structure, à partir duquel la table, la boîte, l’écran, la fenêtre et la scène servent de surface d’inscription des œuvres. Qu’elles soient picturales, photographiques, sculpturales, vidéographiques ou performatives, ou qu’elles aient été créées par des artistes émergents ou confirmés, les propositions artistiques rassemblées ici révèlent des nuances fort variées de ce regard essentiel que portent les artistes sur le monde et la société.

Nuit blanche
La Galerie de l’UQAM présente une soirée exceptionnelle de performances dans l’Agora du pavillon Judith-Jasmin (1400, rue Berri). L’événement réunira les artistes Belinda Campbell, Sophie Castonguay, Raphaëlle de Groot, Les deux Gullivers (Flutura & Besnik Haxhillari) et Thierry Marceau. Les salles d’exposition seront ouvertes gratuitement au public de 20h à 3h et les performances se dérouleront de 22h à 1h. Une activité incontournable du Festival MONTRÉAL EN LUMIÈRE!

Don dédié
La directrice de la Galerie de l’UQAM, Louise Déry, a profité du vernissage pour lancer la création d’un fonds dédié à la Galerie de l’UQAM, géré par la Fondation de l’UQAM. Ce moment de célébration des 40 ans de l’Université et la réunion exceptionnelle d’un nombre important de diplômés et d’enseignants en art de l’UQAM pour l’événement Expansion constituent une occasion unique. Elle permet d’attirer l’attention des donateurs sur les performances reconnues de la Galerie ainsi que sur son plan de développement des prochaines années en matière d’acquisition d’œuvres de la relève artistique.

Appuis
UQAM : Faculté des arts, Bureau du vice-recteur à la Recherche et à la création, Bureau des diplômés, École des arts visuels et médiatiques, Service des communications et Fondation de l’UQAM. Conseil des Arts du Canada, Festival MONTRÉAL EN LUMIÈRE et Nuit blanche à Montréal. Professeurs et chargés de cours de l’ÉAVM qui, par la réalisation d’une œuvre/boîte destinée à la vente, contribuent au financement du projet Expansion.

 

Adresse et heures d'ouverture
UQAM, Pavillon Judith Jasmin, salle J-R120
1400, rue Berri (angle Sainte-Catherine Est)
Montréal (Québec)
Métro Berri UQAM
Du mardi au samedi, de midi à 18 h
Entrée libre

26/02/10

Expo Corporate Everything Fri Art Fribourg

 

CORPORATE EVERYTHING

Francis Baudevin, Liam Gillick,

Swetlana Heger, Jean-Charles Massera,

Julien Prévieux, Hugo Pernet, Carey Young

 

Fri Art - Centre d'art contemporain de Fribourg

Kunsthalle Freiburg             Jusqu’au 9 mai 2010

 

Liam GILLICK, Everything Good Goes, 2008 

  © Liam GILLICK, Everything Good Goes, 2008 (arrêt sur image).
  Courtesy Air de Paris. Courtesy Centre d’art contemporain de Fribourg

 

Le centre d’art contemporain de Fribourg présente jusqu'au 9 mai 2010, Corporate Everything, qui engage une réflexion quant à la large imprégnation de notre société par des idéaux, des motifs  et des processus directement issus du monde de l’entreprise. L’exposition inclut de nombreuses productions réalisées pour l’occasion et réunit Francis Baudevin (*1964), Liam Gillick (*1964), Swetlana Heger (*1968),  Jean-Charles Massera (*1965), Hugo Pernet (*1983), Julien Prévieux (*1974) et Carey Young (*1970). 

Force est de constater que la normalisation fait rage, à une époque où le mode économique s’est imposé en mode dominant. L’entreprise est une entité essentielle et ses langages, ses modèles de communication, ses procédés, sa vision de l’individu et son idéal de créativité ont largement imprégné les esprits. La terminologie du travail n’en finit pas d’envahir le quotidien du citoyen ordinaire, débordant largement du cadre initial qui l’a vue proliférer.  Les langages de l’entreprise et leurs produits dérivés, qu’ils soient visuels, textuels ou comportementaux, deviennent ainsi une sorte de bagage commun, d’oppression partagée et se constituent en véritable culture populaire.
Corporate Everything propose d’investiguer comment la production artistique et la figure de l’artiste s’emparent et distancient la question, entre recyclage, oubli et mimétisme. 

L’oeuvre de Francis Baudevin engage un regard sur les allers et venues de l’abstraction entre les champs de la peinture et du graphisme publicitaire, soulignant que, si la peinture est certes régulièrement récupérée par le monde de la consommation, elle peut aussi se réapproprier ses biens. Les œuvres présentées prennent pour appui le logo de la firme japonaise TDK, spécialisée dans les supports d’enregistrements. 

Everything Good Goes (photo ci-dessus), de Liam Gillick, est un long travelling sur un bureau et un ordinateur sur l'écran duquel apparaît une maquette 3D de l'usine Salumi du film Tout va bien de Godard  et un monologue délivré par un répondeur. Liam Gillick transpose le dispositif du film de Godard, qui superposait production du film et analyse des conditions de production d'une usine. L'analyse porte maintenant sur les conditions actuelles du travail et met ainsi en perspective les illusions passées et perverties de modèles de production - tout en modélisant l'usine première.

Swetlana Heger a fréquemment associé à son travail des partenaires privés qu’elle n’hésite pas à valoriser ostensiblement. Elle met ainsi en évidence l’intégration de la production artistique dans le système économique, jusqu’à établir son propre nom en marque déposée. Le financement de l’art par des grandes marques peut être considéré comme problématique d’autant plus que la production artistique risque de s’en trouver modifiée, voire dénaturée pour mieux s’adapter aux objectifs mercantiles. C’est là le sujet des deux nouvelles pièces de  Swetlana Heger présentées à cette occasion.

Principalement écrivain, Jean-Charles Massera a développé dans ses productions un portrait de la vie sérialisée des gens dans leur travail : aliénation quotidienne, emprise des statistiques et réflexions à coup de slogans publicitaires sont quelques-unes des réalités analysées avec justesse.  Le travail sur la langue emprunte volontiers aux modèles de la communication contemporaine, des forums de discussion sur internet aux discours politiques amateurs. Pour l’exposition, Jean Charles Masséra a réalisé  un diaporama directement inspiré de morceaux choisis de la littérature managériale anglophone. Les idéaux d’efficacité et les méthodes de succès entrent en collision avec des réalités visuelles : les figures ternes ou déchues qui peuplent le monde sont aussi issues d’une certaine idée de la réussite.

Hugo Pernet est un jeune artiste dont la peinture est la pratique principale, peinture qui fait le constat que l’héritage de la peinture moderniste, « sérieuse », a basculé dans une imagerie commune. 

Julien Prévieux s’est fait connaître particulièrement pour ses lettres de non-motivation, par lesquelles il répondait à des annonces d’emploi en signifiant son refus de se porter candidat. Ces courriers marquent non seulement une forme de résistance mais surtout un appel à la prise de conscience individuelle des systèmes véhiculés par ces annonces et leurs diffuseurs. Plus largement, Julien Prévieux développe une réflexion sur les technologies de pointe, sur le monde du travail et des systèmes d’information et de connaissance. Le supposé progrès est pointé par l’absurde, fréquemment doublé de son revers inévitable, l’obsolescence.

L’œuvre de Carey Young s’inscrit dans l’héritage conceptuel et de la critique institutionnelle; elle consiste notamment en une appropriation des langages et codes du monde de l’entreprise ou du monde juridique. Se mettant en scène elle-même, elle met à contribution une variété d’experts d’autres domaines (consultants, psychologues…). Si ces travaux mettent en perspective le monde de l’entreprise, ils trouvent aussi leur prolongement dans le monde de l’art et ses mécanismes. 

Commissaire d'exposition : Corinne Charpentier, directrice de Fri Art.

 

Avec le soutien de : Loterie Romande, Agglomération de Fribourg, Canton de Fribourg, Pourcent culturel Migros et Culturesfrance.  Fri Art remercie les artistes et les galeries Air de Paris et Jousse Entreprise, Paris, Triple V, Dijon, Paula Cooper, New York, et le Musée d'Art Moderne de St-Étienne. 

 

CORPORATE EVERYTHING
Francis Baudevin, Liam Gillick, Swetlana Heger, Jean-Charles Massera, Julien Prévieux, Hugo Pernet, Carey Young

14 février - 9 mai 2010

FRI ART
Centre d'Art Contemporain -
Kunsthalle Freiburg
Petites-Rames 22
CH-1701 Fribourg

25/02/10

Korean Art Show New York 2010

Art Fair > New York > NYC > Korean Art Show

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Korean Art Show
New York
March 3-7, 2010








Galleries Association of Korea and KIAF –Korea International Art Fair– announces the inaugural Korean Art Show in New York. This landmark exhibition will coincide with New York City's major art fairs for 2010: The Armory Show, SCOPE, PULSE, Red Dot, and VOLTA. Korean Art Show will feature a selection of the top-tier galleries from Korea and position Korea's outstanding artists in the global art market. This exhibition will be a milestone in introducing Korean art to an international audience and in giving recognition to the exciting and compelling contemporary art currently being produced in Korea. "Our mission is to show the world the talent and unique vision of Korean artists while connecting them to international collectors from across the globe" said the organizers. Korean Art Show hosts over 24 galleries exhibiting their top artists and publicizes KIAF2010 in order to introduce and promote its potential and awareness of the Korean art market.

KIAF, a project organized by Galleries Association of Korea since 2002, has earned a global reputation as one of the most promising and exciting art fairs throughout its eight consecutively successful years. KIAF provides the opportunity to explore the works of both emerging young Korean artists, and those more well-established.

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© In-Sook KIM, 48 Bond Street, 2009
110 x 160cm - C-Print, Diasec
Courtesy In-Sook KIM / KIAF 2010


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 © Bien-U BAE, SNM 1A-028H, 2000 (ed. 2/5)
135 x 260cm - C-Print mounted on Plexiglas
Courtesy Bien-U BAE / KIAF 2010

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© Seung-Wook SIM, Black Gravity, 2009
400 x 151 x 47cm - Hot Melt Glue, Steel Frame
Courtesy Seung-Wook SIM / KIAF 2010

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© Yong-Seok OH, Classic No. 1978, 1:00 min, 2009
Looping - Single Channel Video
Courtesy Yong-Seok OH / KIAF 2010


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 © Young-Wook HAN, Face, 2010
97 x 162.1cm
Oil on Aluminum 
Courtesy Young-Wook HAN / KIAF 2010


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© Kwang-Young CHUN, Aggregation08-JL018BLUE, 2008
195 x 161cm
Mixed Media with Korean Mulberry Paper
Courtesy Kwang-Young CHUN / KIAF 2010


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© Byung-Kyu DO, Twelve Babies, 2009
193.9 x 112.1cm - Mixed Media
Courtesy Byung-Kyu DO / KIAF 2010


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© So-Young CHOI, Untitled, 2008
138.5 x 108cm - Denim
Courtesy So-Young CHOI / KIAF 2010


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© Dong-Yoo KIM, Audrey Hepburn vs Gregory Peck, 2010
227 x 181cm - Oil on Canvas
Courtesy Dong-Yoo KIM / KIAF 2010


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© Ji-Wo WANG, Buddha_z 7
40(H) x 230(W) x 20(D)cm - Urethane, Metallic Material, machinery, Electronic device (CPU Board, Motor)
Courtesy Ji-Wo WANG / KIAF 2010


Participating Galleries
ARTFORUM NEWGATE
GALLERY ARTSIDE
GALLERY BAIKSONG
GALERIE BHAK
CAIS GALLERY
CHOSUN GALLERY
CHUNG JARK GALLERY
THE COLUMNS GALLERY
GANA ART GALLERY
GALLERY HYUNDAI
IGONG GALLERY
JOHYUN GALLERY
JULIANA GALLERY
GALLERY JUNG
KEUMSAN GALLERY
LEEHWAIK GALLERY
GALLERY MEE
PYO GALLERY
RHO GALLERY
GALLERY SEJUL
GALLERY SIMON
GALLERY SOHEON & SOHEON CONTEMPORARY
GALLERY SUN & GALLERY SUN CONTEMPORARY
GALLERY YEH


KOREAN ART SHOW NEW YORK 2010
La.venue
The Terminal Stores 1F
608 west 28th street
Between 11th & 12th ave.
New York, NY 10001
General Admission Fair Hours
Wed, March 3-Sun, March 7, 11am-7pm
Thu, March 4, 11am-8pm
General Ticket - $10

Aix-en-Provence Ville d’art et d’histoire aux Editions Déclics

Livre > Ville de France en photos > Aix-en-Provence

Aix-en-Provence. Photographies de Vincent Formica, Beaux livres Déclics

Aix-en-Provence, Portrait illustré d’une ville d’art et d’histoire

Nouveau venu dans la collection Tranches de ville des Editions Déclics – Beaux Arts Déclics, qui présente les grandes villes de France en faisant une large place aux photographies avec une centaine de photos par livre.

Un livre, une ville : AIX EN PROVENCE

Ouverte sur le monde, Aix-en-Provence est une cité aux dimensions humaines où cohabitent en parfaite harmonie un patrimoine préservé et une ville moderne. Ici, tout est couleurs et sensations : lumière du ciel, pierre dorée des façades, vert transparent des fontaines, ombre des platanes, surprises des nuits de festivals... Toute l’année et plus encore l’été Aix-en-Provence attire de nombreux visiteurs français et étrangers séduits par le charme de la ville mais aussi par sa ricge programmation artistique. Les expositions estivales du musée Granet sont de renommée internationale.

Photographe : VINCENT FORMICA

Vincent Formica. 39 ans, ancien professeur d’EPS ayant abandonné il y a 7 ans l'Education nationale pour vivre de sa passion la photographie. Photographe de lumière naturelle il travaille pour des collectivités locales, des éditeurs de cartes postales et de beaux livres. Il est l’auteur, chez Déclics, de Marseille, Provence, Avignon... Dans cet ouvrage il restitue tout le charme d’Aix-en-Provence avec une acuité toute particulière. Son regard de photographe parvient même à surprendre les habitants d'Aix en leur présentant sous un jour particulier des lieux qu'ils parcourent tous les jours. Nul doute que ses photographies qui illustrent ce livre séduiront aussi ceux et celles qui n'ont pas la chance d'habiter cette belle ville d'Aix-en-Provence.

 

Aix-en-Provence. Portrait illustré d'une ville d'art et d'histoire, Editions Déclics, 2010.

Double page du livre avec photo pleine et demi page de Vincent Formica et texte d’Olivia Ferrandino & David Gressot © et courtesy Edition Déclic (Groupe Petit Futé) et les auteurs.

 

Auteurs : OLIVIA FERRANDINO & DAVID GRESSOT

Diplômée de l’ESJ Paris, Olivia Ferrandino a travaillé en temps que journaliste rédactrice reporter au sein de différentes rédactions telles que : NRJ, Fun Radio et France Bleu Provence. Elle est également coauteur du Guide Le Petit Futé 2009 : Aix-en-Provence et Pays Salonnais. Actuellement, elle anime aussi une chronique sur Soleil FM.

Agé de 27 ans, David Gressot est assistant éditorial dans une maison d’édition du Sud de la France, ainsi que le secrétaire de rédaction de la revue de poésie Autre SUD. Après avoir travaillé dans plusieurs maisons d’édition (Fayard, Le Serpent à Plumes, Actes Sud ou encore Au Diable Vauvert), ainsi qu’au Bureau international de l’édition française à New York – sa spécialité restant la littérature étrangère –, il a collaboré à l’écriture et à la correction de plusieurs guides touristiques, que ce soit au sein du guide du Routard (les parcs naturels américains, le Maroc, la Provence) ou au Petit Futé (Aix-en-Provence). Il est également le créateur et le directeur littéraire de la revue littéraire semestrielle Et donc, à la fin...

Aix en Provence, portrait illustré d'une ville d'Art & d'Histoire
Editions Déclics - Groupe Petit Futé. Format 18 x 25 cm - 80 pages
Prix de vente public : 14,90 € - Parution Février 2010

22/02/10

Photos Ballade dans Paris

 

D’autres photos prises cet après-midi (les autres dans le “message” précédent…  au cours d’une ballade dans Paris. Comme c’est le nouvel an chinois il y a des guirlandes chinoises dans Paris (lanternes en papier ? je ne me rappelle plus du terme exacte). Etant donné le temps maussade, c’est agréable ces décorations. 

Une photographie d’une petite maison “urban art”, c’est agréable aussi.

Et puis d’autres pour m’amuser : je suis ce qu’on appelait avant un déclencheur convulsif ou compulsif et qui correspond aujourd’hui à un photo geek ;)

 

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photo_nouvel_an_chinois_paris_2010

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Photo Art urbain Paris… une petite maison en papier…

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Photo de traces de peinture sur une porte poncée

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S’adresser au fond de la cour…svp

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Photos de gants derrières une vitrine de magasin (sic)

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Photo d’un pied de piétonne traversant la rue avec une poussette… :

la roue de la poussette est en haut à droite et le pied en bas à droite ;)

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Photo de chaussure de piéton (typiquement) parisien

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Photo d’une partie de jambe parisienne

(simple description de la photo –

je recherche un titre plus conceptuel, mais j’ai un peu de mal à trouver)

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Le pied au bout de cette partie de jambe parisienne

photo_ballade_paris_05

Photo d’un autre pied mais celui-ci n’est pas typiquement parisien.

Je place tout de même cette photo ici parce qu’elle est floue…

 

Les photographies ci-dessous sont toutes © 2010 Gautier Willaume, courtesy of the artist, en exclusivité planétaire pour le blog Wanafoto

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21/02/10

Galerie de Photos Abstraites

 

En exclusivité mondiale pour Wanafoto the blog, voici quelques essais de photographies abstraites sans retouche (mais recadrées pour obtenir des photos carrées ;) Je les ai prises cet après-midi avec mon Canon EOS 450D, ce qui donne un format de 2848x2848 pixels pour les originaux, une fois le recadrage réalisé. Si vous voulez laisser un commentaire n’hésitez pas, même si vous n’aimez pas (mais merci de ne pas être méchant dans la formulation).

 

Photographie abstraite 01Photographie abstraite 01 © Gautier Willaume

  Photographie abstraite 02Photographie abstraite 02 © Gautier Willaume

 Photographie abstraite 03Photographie abstraite 03 ©  Gautier Willaume

 Photographie abstraite 04 Photographie abstraite 04 ©  Gautier Willaume

 

Photographie abstraite 05 Photographie abstraite 05 ©  Gautier Willaume

 

Photographie abstraite 06 Photographie abstraite 06 ©  Gautier Willaume

 

Photographie abstraite 07Photographie abstraite 07 ©  Gautier Willaume

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13/02/10

Expo Photo - Prisons - Musée Carnavalet

 

Musée Carnavalet

 

L’IMPOSSIBLE PHOTOGRAPHIE

Prisons parisiennes (1851-2010)

Exposition jusqu’au 4 juillet 2010

 

L'Impossible Photographie. Prisons parisiennes

 

Photographie de Jacqueline Salmon prise à la prison de la Santé à Paris

Photographie de Jacqueline SALMON
Coursives avec silhouettes de quatre surveillants
© Musée Carnavalet / Jacqueline Salmon – Courtesy Musée Carnavalet

 

Le musée Carnavalet présente une remarquable exposition de photographies prisent dans les prisons de Paris, de 1851 à nos jours. Catherine Tambrun et Christel Courtois (Département des collections photographiques du musée Carnavalet), les deux commissaires de cette exposition, ont inventorié 3800 images pour aboutir à une sélection de 350 photos. Celles-ci proviennent de différentes institutions (musées, bibliothèques, archives, agences de presse..) mais aussi de collectionneurs privés.

C’est donc un ensemble important de photographies réalisées dans un univers carcéral parisien peu ouvert aux photographes qui est présenté pour la première fois par le musée Carnavalet. Des textes littéraires sont également proposés au public mais aussi des films d’archives.

Le musée Carnavalet ne s’est pas contenté du travail, déjà très important, de sélection de documents et d’oeuvres existants. A son initiative, en 2008 et 2009, Jacqueline Salmon (photo ci-dessus que l’on retrouve sur l’affiche de l’exposition), Michel Séméniako et Mathieu Pernot ont pu effectuer des reportages photographiques à la prison de la Santé. On a ainsi accès à des photographies récentes qui viennent compléter la collection photographique déjà existante en y apportant le point de vue de photographes reconnus pour leur capacité à aborder au mieux ce sujet humainement délicat.

A apprécier également dans le cadre de cette exposition événement une pièce sonore d’Olivia Rosenthal, un texte de Jane Sautière ainsi qu’une installation audiovisuelle de grande qualité que l’on doit à Anne Toussaint et Kamel Regaya.

En espérant que ce message vous donne envie d’aller voir cette exposition si bien réussie. Du grand ART puisqu’il invite à la réflexion.

 

Musée Carnavalet
23, rue de Sévigné
75003 Paris

Ouvert du mardi au dimanche, 10h-18h
Fermé les lundis et jours fériés

www.carnavalet.paris.fr

12/02/10

Expo Photo John Davies, Galerie Vu' Paris

John Davies 
Galerie VU’, Paris
Jusqu’au 27 mars 2010

La Galerie VU’ à Paris expose des photographies de John Davies jusqu’au 27 mars 2010. Les oeuvres présentées font parties de deux séries réalisées par ce photographe : L’Anse de Paulilles et Fuji City.

L’oeuvre de John Davies offre une synthèse des tendances souvent opposées de l’histoire du paysage en photographie. Le regard qu’il porte sur la nature ou la ville, souvent sur des espaces marqués par  la désindustrialisation, est alternativement, parfois simultanément, analytique et contemplatif.

 

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© John DAVIES
Photo de la série L’Anse de Paulilles
Courtesy Galerie VU’, Paris 

L’artiste privilégie une grande  netteté mais ne réduit jamais la photographie à un constat topographique distancié. Il accorde un grand soin aux qualités esthétiques de l’image et parvient toujours à révéler le lyrisme du site qu’il observe.

L’Anse de Paulilles et Fuji City, deux séries formellement très différentes, sont unies par une même exploration obsessionnelle d’un lieu. La première fut réalisée entre 1999 et 2009 à l’invitation du Conservatoire du littoral. John Davies rend compte de l’évolution rapide de ce paysage des Pyrénées-Orientales. Il alterne vues amples et gros plans qui nous entraînent dans les ruines de l’usine de production de nitroglycérine Nobel PRB qui constitue le motif central de cette série.

 

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© John DAVIES
Photographie de la série Fuji City
Courtesy Galerie VU’, Paris 

Réalisée en 2008 au Japon, en couleur et au format carré, la série Fuji City ne rompt qu’en apparence avec les précédentes. Les premiers plans sont consacrés au transitoire de la ville et des activités humaines. Au loin, la silhouette du Mont Fuji occupe systématiquement le centre de la photographie. L’artiste, comme aimanté par cette montagne devenue un monument culturel qui se dérobe au regard, semble reconnaître l’impossibilité d’en produire de nouvelles images.

JOHN DAVIES est né en 1949. Il vit à Liverpool.

Expositions personnelles récentes - Sélection
2009
The British Landscape - CUBE Gallery, Manchester
House - Michael Hoppen Gallery, Londres
2008
Urban Landscapes - Galeria Fotografi, Poznan
2007
The British Landscape - Galerie VU’, Paris
2006
The British Landscape - Photo Espana, Madrid

Expositions collectives récentes - Sélection

2008
Images d’un renouvellement urbain - Le Point du Jour, Cherbourg-Octeville
European  Eyes on Japan - CUC, Novas, Liverpool
Cities on the Edge - CUC, Novas, Liverpool
Deutsche Börse Photography Prize - The Photographers’ Gallery, Londres
2007
How We Are. Photographing Britain - Tate Britain, Londres
2006
Making History - Tate Liverpool, Liverpool

Bibliographie - Sélection

Te British Landscape, Chris Boot, 2006
Seine Valley, Le Point du Jour/Pôle Image Haute-Normandie, 2002
L’Anse de Paulilles. Pyrénées-Orientales, Filigranes, 2001
Temps et Paysage, Tarabuste, 2000
Cross Currents, FFotogallery/Cornerhouse, 1992

En même temps à la Galerie VU’ : Photographies de Mathieu Pernot et de Gabriele Basilico.

GALERIE VU'
2, rue Jules Cousin - 75004 Paris
Lundi - samedi, 14h-19h, sur rdv
www.galerievu.com

29 janvier - 27 mars 2010

Expo Photo - Mathieu Pernot - Galerie VU’ - Paris

 

Mathieu Pernot

Contrechamp, 2006-2007

 

Galerie VU’ – Paris

 

La Galerie VU’ à Paris expose des photographies de Mathieu Pernot jusqu’au 27 mars 2010.

Le travail de Mathieu Pernot s’inscrit dans la tradition d’un art politique nourri d’histoire et de sociologie. Il procède par séries qui sont des points de vue analytiques sur les grandes questions politiques et sociales de l’identité et de la mémoire, de l’aliénation et du progrès. Ses photographies nous invitent à une réflexion sur le changement social.

Les oeuvres réalisées à Cherbourg et à Béthune développent le grand cycle que l’artiste a consacré à l’architecture et à la ville en insistant, cette fois, sur la vision.

 Photographie de Mathieu Pernot - Exposition Galerie VU' 2010 Paris

  © Mathieu PERNOT. Courtesy Galerie VU’

 

Les Fenêtres, Cherbourg, 2006 (commande du CNAP) sont une métaphore de la fin des grands ensembles  dont  l’utopie des  années 1960 s’est retournée  en espaces de  violences sociales et mentales. Néanmoins, comme le souligne Michel Poivert, l’artiste privilégie le contrechamp : “Mathieu Pernot s’est installé dans le bâtiment avant sa destruction pour en offrir moins une dernière image que les dernières images que ces machines à habiter – qui étaient aussi des machines à voir – étaient à même de produire” (in Images d’un renouvellement urbain, Le Point du Jour, 2008).

 

Photographie de Mathieu Pernot - Exposition Galerie VU' 2010 Paris

© Mathieu PERNOT. Courtesy Galerie VU’

 

Si les vues de Cherbourg renouent avec le modèle pictural classique de la fenêtre, les oeuvres réalisées avec le soutien d’Artois Comm. à Béthune en 2007 jettent le trouble. Prises dans un immeuble HLM au cours de sa destruction, les photographies de papiers peints des appartements abandonnés jouent subtilement de l’illusion du trompe-l’œil, tandis que les points de vue basculés des trouées des anciennes colonnes d’évacuation font perdre tout repère au spectateur.

 

MATHIEU PERNOT est né en 1970. Il vit à Paris.

Expositions personnelles récentes et à venir - Sélection

2010
Tsiganes - Musée-Bibliothèque Pierre-André Benoît, Alès, mars, avril, mai 2010
(Out of) control - Biennale internationale de la photographie et des arts visuels, Liège, 27 février - 25 avril 2010
Les espaces de célébration - Biennale photographie et architecture, La Cambre, Bruxelles, 11 mars - 10 mai 2010
2009
Cité Nationale de l’Histoire de l’Immigration, Paris
Le Dortoir - La Galerie, Bibliothèque de la Part-Dieu, Lyon
2008
Centre Méditerranéen de la Photographie, Bastia
2007
Lab-labanque, Béthune
Ecole des Beaux-Arts, Cherbourg
Musée Nicéphore Niépce, Chalon-sur-Saône

Bibliographie - Sélection

Le grand ensemble, Le Point du Jour, 2007
L’état des lieux, 779/Société Française de Photographie, 2004
Hautes surveillances, Actes Sud, 2004
Un camp pour les bohémiens, Actes Sud, 2001
Tsiganes, Actes Sud, 1999

Expositions collectives récentes et à venir - Sélection

2010
L’impossible photographie. Prisons parisiennes (1851-2010) - Musée Carnavalet, Paris (10 février  - 4 juillet)
2009
Deux temps, trois mouvements - GwinZegal/FRAC Bretagne, Espace Hermine, Plouha
2008
Images d’un renouvellement urbain - Le Point du Jour, Cherbourg-Octeville
Utopia - Museu Berardo, Lisbonne
7 ans de réfexion - Musée Nicéphore Niépce, Chalon-sur-Saône
2007
Ingineering - Fondation Calouste Gulbenkian, Porto
Ingineering - Musée des beaux-arts, Bruxelles
Photographies. Acquisitions récentes - Centre Georges Pompidou, Paris
Les peintres de la vie moderne - Centre Georges Pompidou, Paris

 

En même temps à la Galerie VU’ : Photographies de John Davies et de Gabriele Basilico.

 

MATHIEU PERNOT, CONTRECHAMP, 2006-2007
29 janvier - 27 mars 2010

GALERIE VU'
2, rue Jules Cousin - 75004 Paris
Lundi - samedi, 14h-19h, sur rdv
www.galerievu.com

Expo Photo: Gabriele Basilico, Galerie VU’

 

La Galerie VU’ à Paris présente jusqu’au 27 mars 2010 une exposition de photographies de la série Roma du photographe italien Gabriele Basilico.

 

Photographie de Gabriele Basilico, série Roma 2007 - Exposition Galerie VU' Paris 2010

© Gabriele Basilico. De la série Roma, 2007, exposée à la Galerie VU’
Courtesy Galerie VU’, Paris, 2010.

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Avant de se tourner vers la photographie, Gabriele Basilico a suivi des études d'architecture. La photographie lui permet de continuer à s'intéresser à celle-ci en tant qu'observateur engagé. Dans les années 1970, en plein débat sur le thème de l'habitat et de la ville, il participe au renouvellement de la photographie d'architecture en l'inscrivant dans cette thématique. Plus largement, il inscrit son travail de photographe dans l'actualité et les transformations économiques et sociales marquées notamment par la désindustrialisation et ses conséquences. Adoptant une démarche de photographe documentaire, ses photographies de paysages urbains, portuaires et industriels témoignent du changement social en montrant les espaces vidés de ceux qui les peuplaient, habitants ou travailleurs. Cette optique documentaire ne laisse pas de côté l'art, loin de là. L'oeil du photographe et son traitement de l'architecture sont subtiles et démontre une parfaite maîtrise de son art. Il joue ainsi des lumières fortes et des ombres profondes qui, en noir et blanc, soulignent la volumétrie et les caractéristiques graphiques des bâtiments.

L'exposition à la galerie VU' présente la série Roma que Gabriele Basilico a réalisée en couleur en 2007. Les photographies exposées ont retenu, à juste titre, l'attention car elles offrent un point de vue photographique original sur Rome. C'est à travers son fleuve que le photographe a abordé cette ville. Gabriele Basilico traverse l’espace urbain du nord au sud en descendant le Tibre qui est, avec ses rives et ses ponts, l’épine dorsale et le vrai sujet de ce projet photographique. C’est une forme de retour aux origines du fait urbain car, comme on le sait, de très nombreuses de villes, sont filles des fleuves.

Cette traversée rend compte de l’étendue urbaine. En photographe de la ville, Gabriele Basilico témoigne de la répartition des différentes zones et fonctions urbaines. Il nous plonge aussi dans la sédimentation des différentes couches historiques de la ville. Cette Rome atemporelle livrée par Basilico prend alors un tour romantique, servi par une lumière blanche et douce, les couleurs de l’automne et la présence d’une nature qui semble encore sauvage. Là où Gabriele Basilico brille, c'est dans son aptitude a saisir, à travers son objectif, des paysages naturels, tels qu'ils sont (pourrait-on dire pour simplifier – et, sous cet angle, bien loin des conventions imposées, par exemple, à la photographie d'illustration, et à contre courant de la photographie à la senteur de retouche, qui sont guidés par la recherche du point de vue idéal et/ou idéalisé sur leur sujet) et de parvenir à une composition idéale, esthétique, pleine de finesse, de charme, et ce, sans artifice. C'est tout un art de parvenir à un tel résultat. Un art dans lequel Gabriele Basilico excelle.

 

GABRIELE BASILICO est né en 1944. Il vit à Milan.

Expositions personnelles récentes - Sélection

2009 Le théâtre Carignano de Turin
Maison Européenne de la Photographie, Paris

2008 Moscou vertical
Cité de l’architecture et du patrimoine, Paris

2008 Silicon Valley
Museum of Modern Art, San Francisco

2008 Intercity
Astroc Foundation, Madrid

2007 Montecarlo
Nouveau Musée National, Monaco

2007 Oltre il paesaggio
Fondazione Ragghianti, Lucques

2006 Gabriele Basilico, Photographies. 1980-2005
Maison Européenne de la Photographie, Paris

Expositions collectives récentes - Selection

2008 Images d’un renouvellement urbain 
Le Point du Jour, Cherbourg-Octeville

2007 Ereditare il paesaggio
Museo dell’Ara Pacis, Rome

Bibliographie - Selection

Roma 2007, Baldini Castoldi Dalai, 2008

Carnet de travail. 1969-2006, Actes Sud, 2006

Scattered City, Le Point du Jour, 2005

 

L’exposition des photographies de Gabriele Basilico à la Galerie VU’ a lieu en même temps que celles de John Davies (Grande-Bretagne, né en 1949) et Mathieu Pernot (France, né en 1970) qui offrent chacun un point de vue original sur la photographie de paysage et d’architecture.

 

GABRIELE BASILICO, ROMA 2007
29 janvier - 27 mars 2010

GALERIE VU'
2, rue Jules Cousin - 75004 Paris
Lundi - samedi, 14h-19h, sur rdv
www.galerievu.com

10/02/10

Bleu Acier Gallery, Tampa, Florida, presents L’Arabesque, a group show

Exhibition: L'Arabesque
Neil Bender, Elisabeth Condon, Hervé DiRosa,
Dominique Labauvie, Fréderique Lucien, Pierre Mabille,
Philippe Richard, Peter Soriano, Michelle Weinberg,
Robyn Voshardt & Sven Humphrey
Bleu Acier Gallery, Tampa FL
February 12 - March 27, 2010

Bleu Acier presents LʼArabesque, a group show in homage to this exceptional moment coinciding with the opening of the new Tampa Museum of Art and the museum's first major exhibition dedicated to the prints and drawings of French artist Henri Matisse, whose use of the arabesque was monumental within the history of art. Matisse was one of the last Modern artists to become a master of graphic writing, and remains so influential that contemporary artists still think of him within the context of their process.

L'Arabesque is a high expression of elegance, and cannot exist without visual grace and refinement. Elegance is transversal in its nature and in the nature of culture and can describe fashion, architecture, visual art, performance, music and movement.

Commonly known as one of the most difficult positions in ballet, the term "arabesque" also refers to floral and geometric patterns found in art and architecture. For example, such highly balanced, repetitive patterns are an essential formal element of Arab mosques, since Islam prohibited the direct representation of the figure. Arabesque therefore becomes the visual replacement of the human being, instead expressed through environmental imagery.

The artists chosen for this show all share a vision of elegance, primarily experienced through their formal work with line and color. This "linear elegance" - the propulsion of the line in space - can also be seen as the propulsion of an idea in space. The line carries the thinking and can transform it visually into form, color and narrative.

Pierre Mabille, Philippe Richard and Fréderique Lucien are mid-career French artists who work within a complex reductive abstraction of their environment heavily dependent on color.

PIERRE MABILLE has reduced his formal world to one universal shape that he pushes to infinite possibilities reconstructing the compositions through scale and color.

FREDERIQUE LUCIEN abstracts organic forms working largely within the tension and balance of positive and negative space. She injects emotion with color or the absence thereof.

PHILIPPE RICHARDʼs work is based on point, line and color. The structure of his space is what informs his work, often questioning the support and its surface.

Humor and narrative are what drives HERVE DIROSA's work. His spontaneous style is similar to that of tribal storytellers.

PETER SORIANO is a sculptor. His conceptual work is structured on memory, time and space and how the factors of time reposition this memory and how this can be translated into image. The watercolors have this cross-reference within them; part portrait of an object or being we are sure we have seen, part fantasy of something we are not sure we have ever seen.

DOMINIQUE LABAUVIE's sculpture is about the elegance of drawing. His sculpture, often referred to as drawing in space, carries this spatial refinement as part of its territory. This refinement is transversal in the drawings.

ELISABETH CONDONʼs recent paintings offer us gesture as landscape and with it the mixture of Chinese multiple perspectives and Western traditions of space into a vision of a cultural wanderer. Investing her time between east and west informs her narrative rich in color and image. 

MICHELLE WEINBERGʼs work invests a narrative space more in the here and now. Working between her urban narrative and its immediate environment, she constructs a contemporary folklore using a wealth of form and color.

NEIL BENDER is also a storyteller but he uses an historical approach and knowledge of process to narrate contemporary culture in the making. His vivid collages depict tales of gender and existence.

ROBYN VOSHARDT & SVEN HUMPHREY  are collaborative artists whose recent work is within video and the photographic image. Earlier in their career they worked on marking time through image and their repetitive vocabulary and systems research in drawing is often rediscovered in their moving images.

This is the first presentation by Bleu Acier of the work of artists Michelle Weinberg of Miami and Philippe Richard of Paris, France.

BLEU ACIER INC.
109 West Colombus Drive
Tampa, Florida 33602

www.bleuacier.com

Tournages de films - Paris 2009

 

En 2009 Paris a accueilli 830 tournages, soit un nombre sensiblement équivalent à 2008 (année record avec 840 tournages) totalisant 3 318 jours de tournage et plus de 4 500 décors naturels. Dans un contexte économique difficile, l’année est marquée par un bon maintien de l’activité des tournages dans son ensemble malgré un fléchissement des tournages de films longs métrages.

La Ville de Paris, son maire, Bertrand Delanoë et Christophe Girard, adjoint au maire en charge de la Culture souhaitent continuer à favoriser les tournages et la production cinématographique et audiovisuelle dans la capitale. Un temps délaissés, ces activités sont sources d’emplois et de retombées économiques pour Paris. Ils participent en outre à la valorisation de l’image de Paris en France et à l’étranger. La mairie souhaite toutefois que ces tournages ne troublent pas la tranquillité de vie des parisiens. De ce point de vue, il apparaît que les deux objectifs sont pleinement compatibles. Un parisien habitant dans un quartier du douzième où plusieurs tournages ont lieu chaque année souligne à ce propos que ceux-ci créés davantage une animation agréable qu’une nuisance.

Pour renforcer son action en 2010, la Ville de Paris souhaite augmenter, en concertation avec le CNC, le montant de l’aide financière par projet pour le soutien qu’elle apporte à la production de courts métrages et développer la diffusion de ces courts métrages en France comme à l’étranger.
Paris Film au sein de la Mission Cinéma continue de développer une communication accrue à destination des professionnels. Le site Internet parisfilm.fr renseigne et aide les productions françaises et étrangères à préparer leurs tournages ou prises de vues dans la capitale avec un site régulièrement enrichi.

L’activité des tournages par secteurs en 2009

90 longs métrages, 124 fictions TV, 139 films publicitaires, 126 photos publicitaires, 136 courts métrages, 66 documentaires et 148 films d’école.

•  Films longs métrages

90 ont été filmés représentant 925 jours de tournage en 2009, pour 110 films et 1085 jours de tournage en 2008. La diminution est surtout observée au cours du 2nd semestre. Elle peut s’expliquer en partie par la diminution de 10 % de la production sur le plan national, du fléchissement des investissements et de la diminution du nombre de semaines de tournage. Il est à noter qu’1 film sur 2 est tourné à Paris et que le nombre de jours de tournage par projet reste stable par rapport à l’an dernier, soit 10 jours en moyenne.

Cette année encore la production s’affiche à travers des films à petit et grand budget, des premiers films, des films d’auteur ou des films destinés à un large public. Alexandre Arcady/Alexandre Films Comme les 5 doigts de la main, Claude Berri/Hirsch production Trésor, Luc Besson/Europacorp Les aventures extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec, Nicolas Boukhrief/Les films du Worso Gardien de l’ordre,  Roselyne Bosch/Légende Films La Rafle, Guillaume Canet/Les productions du Trésor Les petits mouchoirs, Marc Dugain/F comme film Une exécution ordinaire (1er film), Romain Goupil/Les films du Losange Je m’appelle tous Milena, Otar Iosseliani/Pierre Grise Production Chantrapas, Anne le Ny/Move Movie Les invités de mon père, Yasmina Reza/SBS Films Introducing Fernand (1er film), Joann Sfar/One world Film Gainsbourg, Vie héroïque (1er film), Christopher Thompson/LGM Cinéma Bus Palladium (1er film), témoignent de la diversité des cinéastes et des producteurs qui ont choisi de faire confiance à Paris pour tourner leur long métrage en 2009.

•  Films étrangers

Paris continue à attirer les productions internationales malgré la récession économique mondiale, et avant que le crédit d’impôt international (incitation fiscale de 20% sur les dépenses de production réalisées en France adoptée en 2009) ne produise pleinement ses effets. Ce sera pleinement le cas cette année 2010.

14 longs métrages se sont installés en moyenne 5 jours dans la capitale, l’activité est comparable à 2007. Il est à noter la diversité des pays d’origine qui témoigne de l’attrait de Paris, notamment la venue des réalisateurs japonais Hideki Takeuchi et Taisuke Kawamura pour Nodame Cantabile (28 jours) qui bénéficiera du crédit d’impôt international (source CNC), et du réalisateur Sri Lankais Genifor Jayakoby pour Bracelets de fer (18 jours). Quant aux tournages américains, 2 cinéastes sont venus réaliser des prises de vues à Paris : Clint Eastwood pour Hereafter (Cécile de France)  et Christopher Nolan pour Inception (Leonardo DiCaprio/ Marion Cotillard), totalisant 16 jours de tournage.

•  Fictions, séries TV

124 fictions TV ont été tournées à Paris dont 81 séries télévisées et 43 téléfilms, représentant 1054 jours de tournage, soit 8 jours en moyenne par projet. L’activité est comparable aux deux dernières années, malgré un contexte économique difficile notamment à la suite de la baisse des budgets fiction des chaînes de télévision et de la contraction du marché publicitaire. Parmi elles, les séries populaires comme RIS Police Scientifique  (TF1), Boulevard du Palais (GMT/France 2), et des séries innovantes comme Pigalle (Lincoln TV/Canal+), Braquo (Capa Drama/Canal+), La Reine des Connes de Guillaume Nicloux (Agora Films/France 2-Arte). Pour les fictions on peut signaler V comme Vian de Philippe Le Guay (Mercredi Films/France 2), Les Faux Monnayeurs de Benoît Jacquot (Sodaperaga/France 2).

•  Films courts métrages

136 tournés soit 345 jours de tournage en 2009 (143 courts et 338 jours en 2008). La Ville de Paris souhaitant participer au maintien de cette activité a étendu en 2009 son fonds de soutien à la production de tous les courts métrages (lancé en 2006, le fonds concernait initialement les 1ers films courts). 14 productions ont été aidées à hauteur de 15000 euros. Le comité de sélection présidé par Bruno Podalydès est composé de 6 membres : Laurent Cantet (Entre les murs, Palme d’or à Cannes 2008), Hippolyte Girardot, Roxane Arnold (Pyramide distribution), Christophe Girard, adjoint à la culture et Michel Gomez, délégué de la Mission cinéma.

Source : Mairie de Paris

Alias Man Ray The Art of Reinvention at The Jewish Museum, NYC

 

Alias Man Ray:

The Art of Reinvention

The Jewish Museum, NYC

Through March 14, 2010

 

The first major multimedia Man Ray exhibition in New York since 1974, Alias Man Ray: The Art of Reinvention, provides a rare opportunity to reassess the artist’s impact and gain new insights. Man Ray was one of the most influential and important artists in Dada and Surrealist circles. Yet his work and career remain mysterious to many people. Over 200 works in all media, on view at The Jewish Museum through Sunday, March 14, 2010, provide a new interpretive context in which to understand Man Ray’s art.

Visitors to Alias Man Ray are privy to the artist’s endless experimentation in photographs, paintings, sculptures and objects, drawings, films and a selection of his writings. A trailblazing figure in 20th-century art, Man Ray (1890-1976) revealed multiple artistic identities over the course of his career – Dadaist, Parisian Surrealist, international portrait and fashion photographer – and produced many important and enduring works as a photographer, painter, filmmaker, writer, sculptor, and object maker. Relatively few people know that he was born Emmanuel Radnitzky to Russian Jewish immigrants.

The exhibition explores the deliberate cultural ambiguity of Man Ray who became the first American artist to be accepted by the avant-garde in Paris. It also examines the dynamic connection between Man Ray’s assimilation, the evolution of his art, and his willful construction of a distinctive artistic persona.

Man Ray had an incredible affinity for the cutting edge art of his time. He found a kindred spirit in Marcel Duchamp, and eventually became a legend himself. His artistic achievements include creating the first kinetic sculpture years before Duchamp coined the term “mobile” in reference to Alexander Calder’s work. Man Ray also blurred traditional boundaries between painting and photographs, and broke new ground in photography with rayographs and solarization.

As the first Man Ray retrospective at a New York City museum in a generation, the exhibition contains many iconic works like the photographs Le Violon d’Ingres (1924) and Noire et Blanche (1926); the paintings War (A.D. MCMXIV) (1914), The Rope Dancer Accompanies Herself with Her Shadows (1915-16) and La Fortune (1938); and the painted screen La Forêt Dorée de Man Ray (1950). Two short silent films by Man Ray: Le retour à la raison (1923), the artist’s first film, and Emak-Bakia (1926), whose title means “leave me alone,” as well as excerpts from Man Ray: Prophet of the Avant-Garde, a 1997 American Masters/WNET production, are also on view.

Best known as a photographer, Man Ray moved from one medium to another as he defied aesthetic boundaries. The Jewish Museum show does not confine itself to one period of the artist’s career or a single medium, such as photography. This approach is essential to illustrating how Man Ray continuously broke with aesthetic tradition and made a monumental contribution to 20th-century art with his wildly sophisticated and deeply influential work.

He came of age at the beginning of the 20th century and the rise of abstract art. Man Ray grew up in Williamsburg, Brooklyn. His father worked as a tailor and his mother was a seamstress. After being introduced to New York art circles by photographer and gallery owner Alfred Stieglitz, he went off to Paris—the center of experimental art—and was embraced by the avant-garde. The year was 1921 and Man Ray was 31. In Paris, he was perceived as neither Jewish nor a New Yorker but as a free-thinking American who quickly gained notice.

To make ends meet, he took assignments photographing a broad spectrum of literary and artistic figures. That group now reads like a modernist pantheon—André Breton, Jean Cocteau, Marcel Duchamp, James Joyce, Ernest Hemingway, Marcel Proust and Gertrude Stein, among others. These innovative portraits, all on view in the exhibition, provide a chronicle of the social milieu in which Man Ray thrived.

Man Ray engaged in a constant process of self-inscription and erasure, managing to outwit anyone who wanted to label him. Like his fellow Dadaist and close friend Marcel Duchamp, Man Ray took delight in playing games and confounding expectations. With his steadfast independence and his need to explore every artistic avenue, Man Ray forged a vision that changed the very way art was conceived.

Here are just a few of the press responses to the show. The Wall Street Journal's recent review of the exhibition was entitled “Masked Man, Revealed” and referred to the artist as “a protean master of the 20th-century avant-garde.” ARTnews observed that the show was “ambitious.” The New York Times said that the exhibition was a “retrospective with an irresistible biographical hook,” and The Brooklyn Rail found Alias Man Ray to be “a timely” and “comprehensive survey of Man Ray’s 60-year career as an artist, and what an artist he was” with The Daily Beast declaring it “a lucid, revisionist examination of Man Ray’s life and work.”

The exhibition has been organized by Mason Klein, Curator at The Jewish Museum. The accompanying 256-page catalogue with 246 illustrations, co-published by Yale University Press and The Jewish Museum, includes essays by Mr. Klein, Merry A. Foresta, and George Baker, with an illustrated timeline by Lauren Schell Dickens presenting the facts of Man Ray’s life in the cultural and historical context of his times. The hardcover book is available at The Jewish Museum’s Cooper Shop and bookstores everywhere for $50.00.

Produced by The Jewish Museum in association with Acoustiguide, a random access audio guide has been created for the Alias Man Ray exhibition. Available to visitors for $5, it features an introduction by The Jewish Museum’s Director Joan Rosenbaum; and critical commentary by curator Mason Klein; Neil Baldwin, author of Man Ray: American Artist; and Man Ray scholar Merry A. Foresta.

Alias Man Ray: The Art of Reinvention is made possible by grants from S. Donald Sussman and the David Berg Foundation. Major funding was also provided by the Peter Jay Sharp Foundation, the National Endowment for the Arts, the Eugene M. and Emily Grant Family Foundation in honor of Evelyn G. Clyman, the Anna-Maria and Stephen Kellen Foundation, the Leon Levy Foundation, Ellen S. Flamm, and the Lisa and John Pritzker Family Fund. Additional support was provided by the Neubauer Family Foundation Exhibition Fund and other donors. The exhibition is sponsored by the Jerome L. Greene Foundation. The catalogue is funded through the Dorot Foundation publications endowment.

The Jewish Museum
1109 5th Ave at 92nd St
Manhattan
New York NY 10128

09/02/10

George Legrady Digital Art CODE Live 2010

 

George Legrady is professor of art and of media arts at University of California, Santa Barbara. He will be showing his work in an exhibition that is part of the Vancouver 2010 Cultural Olympiad Festival. Legrady's "We Are Stardust" is one of more than 40 digital art installations in CODE Live, an 18-day event that features visual art, music, and performances fueled by digital technology and audience involvement. It began on February 4 and continues through February 21, 2010.

 

George Legrady, professor of art and of media arts at University of California, Santa Barbara

  Georges Legrady. Photo courtesy of UCSB.

 

"We Are Stardust" is a two-screen projection installation that maps the sequence of 36,034 observations made by NASA's Earth-orbiting Spitzer Space Telescope during the five-year period from 2003 to 2008.

On one screen, an infrared camera in the gallery space sequentially replays the history of the telescope's movements. At the same time, it records the thermal presence and movements of visitors to the gallery. Those images are superimposed with data retrieved from the telescope's log that correlates with information such as the observation number, name of the celestial body target, the vertical and horizontal angles of the telescope, the observation date, duration, the name of the chief researcher, and which of the three onboard instruments were used to make the observation.

 

George Legrady Digital Art  Work showing at CODE Live 2010

  We Are Stardust" heat-sensing camera screen. 
   © Georges Legrady, UCSB. Courtesy UCSB

 

On an opposite screen, a visually projected map of the universe represents deep space. The animation begins with the birth of the universe and follows with the sequence of the 36,034 observations over a five-hour period. Randomly moving points eventually settle into star locations in the universe .

 

George Legrady Digital Art  Work showing at CODE Live 2010

  We Are Stardust" observation sequence screen. 
   © Georges Legrady, UCSB. Courtesy UCSB

 

"The intent of the project is to consider our relationship to both local and deep space, and how we conceptualize and situate ourselves in relation to such spaces," said Legrady, whose work focuses on how data and various forms of information are represented. "This is realized by visually mapping the schedule of scientific observations based on NASA data consisting of what celestial bodies were looked at, when, for how long, and by whom.

"In contrast to this mapping, the heat-sensing camera mounted in the gallery performs in a similar fashion to the Spitzer heat-sensing instruments and simultaneously follows the same sequence of pointing instructions to record thermal images of the public moving through its field of view in the gallery space," he said.

"We Are Stardust" was originally commissioned as installation artwork by the Art Center College of Design and NASA's Spitzer Science Center at the California Institute of Technology, both of which are located in Pasadena. The installation was featured in the "Observe" exhibition at the Art Center College of Design in 2008. NASA's Jet Propulsion Laboratory manages the Spitzer Space Telescope mission for NASA's Science Mission Directorate. Science operations are conducted at the Spitzer Science Center at Caltech, which manages JPL for NASA.

Engineering for the project was realized by Javier Villegas, doctoral student in UCSB's Department of Media Arts & Technology.