29/09/10

29th Sao Paulo Biennial 2010 - There is always a glass of sea to sail in

29th Sao Paulo Biennial 2010
São Paulo, Brasil

September 20 - December 12, 2010

There is always a glass of sea to sail in

The 29th São Paulo Biennial, the city’s traditional bi-annual art exhibition, has open for the general public on September 25. The event features some 200 works of 148 artists and will be held until December 12 at the Ibirapuera Pavilion. The exhibition, under general curators Moacir dos Anjos and Agnaldo Farias and co-curators Fernando Alvim, Rina Carvajal, Yuko Hasegawa, Sarat Maharaj and Chus Martinez, intends to simultaneously be a celebration of the artistic and an affirmation of its responsibility towards life and society.

To state the tight and ambiguous link between art and politics, the 29th São Paulo Biennial borrows this year’s title from the verses of poet Jorge de Lima’s Invenção de Orfeu (The Invention of Orpheus” - 1952): “There is always a glass of sea to sail in”, a verse that suggests that art’s utopian dimension is contained in itself and not in what is outside or beyond it.

29th São Paulo Bienal - The time and the place

The 29th São Paulo Bienal will be a gathering of artists from many countries, with a strong presence of Latin American artists. This reflects the time and place from which it is thought of: from Brazil and from the time of rapid global geopolitical reorganization. The exhibition has no hierarchies, bringing together recent works and those created many years ago. “Historical” works, therefore, are not included in the 29th São Paulo Bienal as mere “documents” of past times, but for their importance in understanding the world today.

“Terreiros”

The exhibition is not merely contemplative. It offers visitors several different manners of experimenting the transforming power of art. For this purpose, six meeting spaces were built. In addition to offering places to make a pause in before continuing the visit to the show, they are used for a variety of activities such as talks, screenings, performances and readings. They are called “terreiros”, or yards, taking visitors to the squares, plazas, terraces, temples and courtyards, open or closed spaces that are found all over Brazil, where people dance, fight, sing, play games or instruments, cry, talk or ritualize the country’s hybrid religiosity.

Specific matters from each one of these spaces created by guest architects and artists and from the programs they harbor are stated and discussed, clearly placing the deep and diverse presence of art in life. The performance terreiro called O Outro, O Mesmo (The Other, The Same) borrows its name from a book by Argentine writer Jorge Luís Borges and is developed by architect Carlos Teixeira. The terreiro called A pele do invisível (The skin of the invisible) is signed by Slovenian artist Tobias Putrih.  Architect Roberto Loeb and graffiti artist Kboco create a discussion and conversation space in the Dito, não dito, interdito (Said, not said, interdicted) terreiro, evoking the works of writer Guimarães Rosa. In addition, the architects of Amsterdam’s UN Studio create spaces for discursive activities in a terreiro called Eu sou a rua (I am the street), a tribute to Carioca journalist and columnist João do Rio. It is a text by São Paulo writer and playwright Antonio Bivar that lends its name to the Longe daqui aqui mesmo (Far from here right here) terreiro designed by artists Marilá Dardot and Fábio Morais, a mixture of library and labyrinth.  Lastly, the Lembrança e esquecimento (Remembrance and forgetfulness) terreiro designed by Ernesto Neto is used as a space for breathing, reflection and rest.

As the discursive activities in the 29th São Paulo Biennial are part of the programs of the Eu sou a rua and Dito, não dito, interdito terreiros, they are not following the traditional format of the previous Biennial conferences and seminars, which were concentrated in a single day.  On the contrary, they are spreading over the exhibition’s entire opening period. The schedules of each one of the terreiros demands the participation of a greater number of artists in the 29th São Paulo Biennial, in addition to those included in the exhibition area. 

Bienal de São Paulo
Parque Ibirapuera • Portão 3 • Pavilhão Ciccillo Matarazzo
04094-000 • São Paulo • SP • Brasil

Opening Hours
Monday to Wednesday: 9am to 7pm // Thursday and Friday: 9am to 10pm // Saturday and Sunday: 9am to 7pm

www.fbsp.org.br

Exposition Monet-Rodin au Musée Rodin, Paris

Monet-Rodin. Rien que vous et moi
Musée Rodin, Paris

Commissariat général : Dominique Viéville
Commissaires de l’exposition : Nadine Lehni et Véronique Matiussi
1er octobre 2010 - 30 janvier 2011



En marge de la rétrospective qui sera consacrée à Monet à l’automne 2010 au Grand Palais, le musée Rodin propose une exposition-dossier à partir d’un des chefs-d’oeuvre de ses collections : la peinture représentant Belle-Île, par CLAUDE MONET.

Photographie de Claude Monet par Adolphe Braun Photographie de Claude Monet par Adolphe Braun
Courtesy Musée Rodin, Paris

Claude Monet, Belle-Ile-en-Mer
CLAUDE MONET, Belle-Ile-en-Mer
Courtesy Musée Rodin, Paris

Cette peinture fut probablement donnée vers 1888 par le peintre à AUGUSTE RODIN, en remerciement ou en échange de La Jeune Mère à la grotte que le sculpteur venait de lui offrir.

Deux ans auparavant, à l’automne 1886, CLAUDE MONET s’était isolé durant dix semaines pour peindre la côte rocheuse de Belle-Ile luttant alternativement contre le soleil, le vent, la pluie et les tempêtes pour réaliser en un travail déjà sériel et d’une grande virtuosité, trente-neuf toiles de cette falaise sauvage. Le plus grand des impressionnistes et le sculpteur le plus célèbre de son temps partagent un réel attachement à la nature qui les unit dans cette quête vers un même idéal artistique. Leurs rencontres lors des célébrations officielles et mondaines ou plus intimes, dans la campagne de Giverny sont régulières. Cette exposition-dossier évoque à travers quelques plâtres, manuscrits et autres documents la relation particulièrement riche et longue entre les deux hommes dont l’exposition commune en 1889, à la galerie Georges Petit constitue un événement marquant. Ensemble mais sur l’initiative de Monet, ils contribuèrent à l’organisation de cette exposition retentissante, qui allait célébrer, avant l’heure, ces deux précurseurs. Désormais en possession des clés pour établir leurs propres règles ils allaient explorer certaines des voies les plus fécondes, à l’origine de la modernité.

« Ils devaient se grouper. L’un semble compléter l’autre – écrivait-on dans la presse au lendemain du vernissage – Rodin ne pouvait trouver de meilleur cadre à sa sculpture que la peinture de Claude Monet… A première vue, on voit que les deux artistes ne relèvent que d’eux-mêmes. On est bien réellement chez eux, et la nature y est bien chez elle. C’est à elle seule qu’ils se sont adressés, bannissant impitoyablement toute réminiscence étrangère. Résultat : étonnement, nouveauté, originalité… Ce qu’ils ont trouvé, c’est la vie. »

Catalogue de l’exposition : Editions du musée Rodin / Flammarion

Commissariat général
Dominique Viéville, Conservateur général du patrimoine, Directeur du musée Rodin

Commissaires de l’exposition
Nadine Lehni, Conservateur en chef chargée des dessins et des peintures
Véronique Matiussi, Service de la recherche, de la documentation, de la bibliothèque et des archives, Adjointe au responsable de service

Musée Rodin, Paris
www.musee-rodin.fr

Mon 1er Festival Films enfants dès 2 ans à la Toussaint 2010

6ème édition de "Mon 1er Festival"
Lieux : Cinémas Arts et Essais participants
 
27 octobre - 2 novembre 2010

A destination des enfants à partir de 2 ans, Mon 1er Festival se déroule à Paris durant les vacances de la Toussaint et propose une approche du cinéma ludique et pédagogique au tarif unique de 4 euros la séance. Son but est d’éveiller le regard et la curiosité des plus petits pour le 7ème art.

Pour info : En 2009, le festival a accueilli 16 500 spectateurs (+35% par rapport à l’édition 2008), lors de 210 séances programmées dans dix salles Art et Essai partenaires.

Cette année, le Forum des images rejoint la manifestation avec trois séances spéciales (deux ciné-concerts et une avant-première).

La 6ème édition du festival propose de découvrir une programmation pleine d’humour et d’émotion autour du thème « Eclats de rire », avec :

•    une centaine de films,
•    des avant-premières et des films inédits,
•    une fenêtre sur le cinéma britannique,
•    un hommage à Louis de Funès,
•    les films coups de coeur de la marraine ou du parrain du festival,
•    des ciné-concerts,
•    et de nombreuses séances animées.

Deux prix récompenseront les films présentés en avant-première

•  Le Grand Prix du jury, décerné par un jury composé d’enfants des centres de loisirs de la Ville de Paris encadrés par la Cinémathèque municipale Robert Lynen (en partenariat avec la chaîne Cinécinéma)
•  Le Prix du Public pour lequel tous les jeunes spectateurs du festival seront invités à voter (en partenariat avec Paris Mômes).

Pour inviter encore plus d’enfants à participer à la manifestation, la Ville de Paris associe depuis la création de Mon 1er Festival les centres de loisirs et s’appuie depuis 2009 sur les relais associatifs des quartiers parisiens.

La Ville de Paris a confié l’organisation de cette sixième édition à Enfances au cinéma, association spécialisée dans l’éducation au cinéma.

Mon premier Festival - Informations pratiques

•  3 séances de cinéma chaque jour dans les 10 salles Art et Essai participant à la manifestation :

le Nouveau Latina - 4e
le Grand Action - 5e
le Studio des Ursulines - 5e
l’Archipel -10e 
le Majestic Bastille -11e
l’Escurial - 13e 
l’Entrepôt - 14e
le Denfert - 14e
le Cinéma des Cinéastes - 17e
le MK2 Quai de Seine -19e

•  Horraires : Séances à 10h15 (11h15 le week-end), 14h15 et 16h15 (et 3 séances spéciales au Forum des Images à 15h)

• Un tarif attractif de 4 euros par personne à chaque séance ;

• Une carte de fidélité de 5 entrées (la 6ème étant gratuite) valable pour toute la famille.

A lire également sur ce Blog 

Nouveauté à la BnF : La Bibliothèque numérique des enFants en ligne sur internet

LAM Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut

OUVERTURE DU LAM LILLE MÉTROPOLE MUSÉE D'ART MODERNE,
D'ART CONTEMPORAIN ET D'ART BRUT

VILLENEUVE D'ASCQ, FRANCE

Le 25 septembre 2010, le Musée d’art moderne de la métropole lilloise à Villeneuve d’Ascq a réouvert ses portes, sous un nouveau nom, après quatre années de rénovation et d’agrandissement.

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LaM Vue d'ensemble
Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut
à Villeneuve d’Ascq
Photo : P. Ruault. © Manuelle Gautrand Architecture

Le musée d’art moderne à Villeneuve d’Ascq valait déjà bien le déplacement. Le musée, sous sa forme rénovée et agrandie, enrichit de nouvelles oeuvres, ne peut pas décevoir. C’est un élément de taille qui retrouve sa place dans la région lilloise qui offre tout un éventail de ressources artistiques qui sont parmi les plus dynamiques de France.
C’est sous un nouveau nom que le musée d’art moderne à Villeneuve d’Ascq réouvre : le  LaM Lille Métropole Musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut. Ses deux très belles architectures, environnées par un parc de sculptures (Alexandre Calder, Pablo Picasso, Eugène Dodeigne...), abriteront désormais trois collections prestigieuses des XXe et XXIe siècles dont un ensemble unique d’art brut. Au total : plus de 4500 oeuvres (dont certaines jamais présentées au public), 4000 m2 de surface d’exposition (sans compter la Bibliothèque Dominique Bozo et son Centre de recherche), mais aussi un auditorium, un café-restaurant...
Au carrefour de Londres, de Paris et de Bruxelles, à proximité d’Amsterdam et de Cologne, le LaM est placé au contact direct des autres scènes artistiques européennes. Grâce à cette situation géographique idéale, il trouve tout naturellement sa place comme l’un des grands musées de l’art des XXe et XXIe siècles au nord de l’Europe.

DEUX ARCHITECTURES DANS UN PARC DE SCULPTURES
En 1983, ouvrait le Musée d’art moderne Lille Métropole, construit à Villeneuve d’Ascq, dans un cadre verdoyant par l’architecte Roland Simounet. Dès l’origine du projet, et sous l’impulsion des donateurs Geneviève et Jean Masurel, le Musée a été pensé comme l’alliance harmonieuse d’une collection d’oeuvres d’art, d’une architecture et d’un parc exceptionnel.
Lauréate du concours lancé en 2002 pour la restructuration et l’extension du Musée, Manuelle Gautrand a créé un bâtiment aux volumes organiques qui vient embrasser l’arrière de l’édifice d’origine. Cette architecture, radicalement nouvelle par son esprit et ses matériaux, se découvre essentiellement de l’intérieur, en une continuité fluide. Avec ses deux architectures insérées dans un parc de sculptures, le LaM orchestre naturellement une déambulation entre extérieur et intérieur et permet une appréhension des oeuvres d’art à hauteur d’oeil, initiant un rapport d’intimité entre les oeuvres et les visiteurs.

TROIS COLLECTIONS EXCEPTIONNELLES :
ART MODERNE, ART CONTEMPORAIN ET ART BRUT

Seul musée en Europe à présenter simultanément les principales composantes de l’art des XXe et XXIe siècles, le LaM propose au public l'accès à une prestigieuse collection d'art moderne, à un ensemble d'art contemporain de référence et à une collection d'art brut sans égale en France.
Inscrit à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 2000, le Musée a été conçu pour abriter la donation faite par Geneviève et Jean Masurel à Lille Métropole Communauté Urbaine en 1979. Cette collection est constituée de chefs-d’oeuvre cubistes de Georges Braque, Henri Laurens ou Pablo Picasso, ainsi que d’ensembles significatifs d’oeuvres de Fernand Léger, Joan Miró et Amedeo Modigliani. Le Fauvisme, le Surréalisme, l’École de Montparnasse, l’École de Paris, l’Art Naïf et les artistes du Nord de la France y sont également représentés.
La collection d’art contemporain, constituée au fil des ans, rassemble des oeuvres d’artistes français et étrangers tels que Lewis Baltz, Christian Boltanski, Daniel Buren, Allan McCollum, Annette Messager, Dennis Oppenheim, Pierre Soulages ou Jacques Villeglé.
En 1999, ces collections se sont enrichies de la plus importante collection d’art brut en France, issue de la donation faite par l’association L’Aracine. Les plus grands noms de l’art brut y sont représentés : Aloïse Corbaz, Fleury Joseph Crépin, Henry Darger, Auguste Forestier, Madge Gill, Jules Leclercq, Augustin Lesage, Adolf Wölfli ou bien encore Carlo Zinelli... C’est l’ampleur de cette donation qui a nécessité la rénovation du Musée et la construction de son extension.

L’EXPOSITION DE RÉOUVERTURE : HABITER POÉTIQUEMENT LE MONDE
L’exposition Habiter poétiquement le monde met en avant la façon dont des artistes, mais aussi des écrivains et cinéastes peuvent habiter poétiquement le monde.
Passé, présent et avenir : intérieur et extérieur se mêlent, le quotidien ne se sépare plus de l’oeuvre, ni du regard. Les frontières entre intime et commun se brouillent dans une mise en doute du quotidien, du communément partagé. Un habité poétiquement qui détourne les gestes quotidiens en apparence les plus évidents : se reposer, se vêtir, circuler, s’abriter, manger.
Transversale aux collections (en particulier d’art contemporain et d’art brut), Habiter poétiquement le monde est conçue comme une promenade à travers les différents espaces du Musée (salles d’exposition, auditorium, parc, site Internet). Cette exposition de réouverture laisse une part importante à la création contemporaine et à la performance.

LaM - Informations pratiques
Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut
1 allée du Musée
59650 Villeneuve d’Ascq
France
Site internet du LaM : www.musee-lam.fr

TARIFS
Collections permanentes : Tarif Plein 7 € / Tarif Réduit 5 €
Exposition temporaire + collections permanentes: Tarif Plein 10 € - Tarif Réduit 7 €
Visioguide : 3 €
L’accès au LaM est gratuit le premier dimanche du mois.
Exceptionnellement et jusqu’au 30 janvier 2011, le Musée est gratuit pour les visiteurs individuels, du mardi au vendredi, de 16 h à 18 h.

JOURS ET HORAIRES D’OUVERTURE
Du mardi au dimanche, de 10 h à 18 h.
Fermeture exceptionnelle les 25 décembre, 1er janvier et 1er mai.
Pour ceux qui ne connaissent pas, la métropole lilloise ne doit pas être vue comme Lille + quelques petites communes dépendantes. Lille tient évidemment une place centrale, mais la métropole comprend plusieurs grandes villes et notamment Roubaix, Tourcoing et Villeneuve d’Ascq.  Ces villes, et leurs lieux d’expositions artistiques, sont très proches les uns des autres et le système de transport en commun assure une parfaite liaison, notamment pour ceux qui n’habitent pas cette région et ne s’y rendent pas en voiture, qu’ils résident en France ou en Belgique. Pour les français, rappelons-le, Lille n’est qu’à une heure de TGV de Paris.

Commercial Printers Can Reduce Ink Costs, Excess Spot Color Inventory through Sun Chemical’s Dispenser Program


At Graph Expo 2010, commercial printers can learn how to decrease their overall ink spend by up to 46 percent through the Sun Chemical Dispenser Program.

Designed for commercial printers to manage what has typically resulted in an overabundance of spot color inventory and to reduce the possibility of having the wrong spot color, the Sun Chemical Dispenser Program can decrease a printer’s overall ink spend by up to 35 percent when blending the inks in-house and up to 46 percent if blended inks are purchased.

Commercial printers can receive the savings and a GFI dispensing unit along with color repeatability and accuracy, to within .001/lb, of their spot colors. The dispensing unit is provided to the printer at no cost by purchasing a minimum annual amount of Sun Chemical conventional commercial sheetfed bases and inks. Printers that sign up for the program will have better control and can provide a faster turnaround to meet the demands of their print jobs since they don’t need to wait for spot color inks to be delivered.   

“In today’s challenging economic times, commercial printers are looking for ways to reduce their operating costs and we responded,” said Brian Breidigan, Vice President Product Management Commercial Inks, North American Inks, Sun Chemical. “At Sun Chemical, we recognized that many printers frequently end up with more spot color inks than they need that just sit on their shelves. So we offered an answer that not only allows printers to mix the exact amount of spot color they need, but saves them a significant amount of money. It also ensures the right spot color is mixed.”  

At the Pitman Company booth #2611, commercial printers can see a “live” demonstration of the dispensing unit and learn from a Sun Chemical Dispenser Program specialist how they can save money using the program.  

Through the Dispenser Program, a printer has access to more than 100,000 colors through Sun Chemical’s SmartColour™ Global Shade Library. If a printer has a spectrophotometer, they can upload the spot color data obtained through the readings to a secure website for their color formula, or a sample can be mailed to the nearest local Sun Chemical location. Taking this information, customers will then receive via email the color formula they need to mix the spot color on-site.   

Printers that sign up for the program will use Sun Chemical SunLit™ conventional commercial sheetfed bases with 20 percent strength in the dispensing unit. Printers will also have access to Sun Chemical’s SunLit 4-color process ink systems. The SunLit commercial sheetfed bases and inks available with this program are geared for strong print performance, offering ease of use on press and high print fidelity.  

To learn more about the Sun Chemical Dispenser Program and see the “live” demonstration, stop by the Pitman Company booth #2611 at Graph Expo 
or visit www.sunchemical.com/dispenserprogram. 
At the website, printers can also calculate their cost savings from the program and watch a video.

Reeling 2010 Chicago LGBT film festival

Reeling 2010: The 29th Chicago Lesbian & Gay International Film Festival, the second-oldest LGBT film festival in the world, opens on November 4th and runs through the 13th.
 
 
Reeling29 2010 Poster
 

Reeling 2010 will take place at Landmark's Century Centre Cinema, Chicago Filmmakers, and Instituto Cervantes.

Opening Night, Thursday, Nov 4: Children of God // Q&A with director Kareem Mortimer after the screening
Centerpiece - Tuesday, Nov 9: A Marine Story, winner of two Grand Jury Awards at 2010's Outfest // Q&A with actress Dreya Weber and director Ned Farr after the screening
Centerpiece - Wednesday, Nov. 10: I Love You Phillip Morris (Jim Carrey and Ewan McGregor)
Centerpiece - Thursday, Nov. 11: Flight of the Cardinal // Q&A with director Robert Gaston after the screening
Closing Night - Saturday, Nov. 13: Undertow, the winner of the Audience Award at this year's Sundance Film Festival and Peru's Official Submission to the Best Foreign Language Film Award for the 2011 Academy Awards

Further confirmed titles include: Elena Undone, Amphetamine, Eloïse's Lover, The Four-Faced Liar, Gen Silent, Grown Up Movie Star, Handsome Harry, I Killed My Mother, JoJo Baby, The Owls, Violet Tendencies...
... and more to be announced.
 

FILM SCHEDULE

Saturday, November 6, 2010

Gen Silent
Grown Up Movie Star
Lost in the Crowd
Role/Play
Over the Moon, Also Showing "Hens and Chicks"
JoJo Baby
Kill the Habit
I Killed My Mother (J'ai Tué Ma Mere)
The Four-Faced Liar
Amphetamine
Eloïse’s Lover

Sunday, November 7, 2010

The Secret Diaries of Miss Anne Lister
Love is a Battlefield
The String (Le Fil)
Mother Earth (Tierra Madre), Also Showing "NU2"
Is It Just Me?
Young & Sapphic
Strapped
Fighting for “I Do”
Violet Tendencies
Bloomington

Monday, November 8, 2010

The Adults in the Room
Her Beautiful Disaster
From Beginning to End (Do Começo ao Fim)
Goodbye My Lover

Tuesday, November 9, 2010

A Marine Story > Centerpiece Film
Rock Hudson: Dark and Handsome Stranger
Fantasy Man
Handsome Harry

Wednesday, November 10, 2010

Going South (Plein Sud)
The Fish Child (El Niño Pez)
I Love You Phillip Morris > Centerpiece Film
Eyes Wide Open (Einayim Petukhoth)

Thursday, November 11, 2010

Flight of the Cardinal  > Centerpiece Film
You Will Be Mine (Je Te Mangerais)
Dearest Mother (Madre Amadísima)
Leading Ladies

Friday, November 12, 2010

The Last Summer of La Boyita (El Último Verano de la Boyita)
Other Nature (Tritiya Prakriti), Also Showing "Nobody Passes Perfectly"
Plan B
Fit

Saturday, November 13, 2010

Our Gender Identities
Destination: Unknown
The Topp Twins: Untouchable Girls
Holding Hands
The Game of Juan’s Life (Ang Laro Ng Buhay Ni Juan)
Across Lesbian Borders
The Owls, Also Showing "Chained!"

Closing Night > Undertow (Contracorriente)


Reeling Film Festival is presented by Chicago Filmmakers

Reeling 2010 website: www.reelingfilmfestival.org

REELING FILM FESTIVAL 2010 JURY AWARDS

Best Narrative Feature – TIERRA MADRE (MOTHER EARTH)
Directed by Dylan Verrechia from New York City

Honorable Mention Narrative Feature – THE GAME OF JUAN’S LIFE
Directed by Joselito Altarejos from the Phillippines

Best Documentary Feature – THE TOPP TWINS: UNTOUCHABLE GIRLS
Directed by Leanne Pooley from New Zealand

Honorable Mention Documentary Feature – OVER THE MOON
Directed by Charissa King-O’Brien from Chicago

Best Short Film – HAMMERHEAD
Directed by Sam Donovan from the United Kingdom

Jury members for Reeling 2010:

Narrative Feature Jury – Achy Obejas, Wendy Jo Carlton, and Ben Uribe

Documentary Feature Jury – Ky Dickens, Ron Pajak, and Madsen Minax

Shorts Jury – Joe Steiff, Randy Caspersen, and Latham Zearfoss

This is the end of this great edition of the festival. I think that many people will be at the 2011 Reeling Film Festival to celebrates the birdhay of the festival with the 30th Chicago Lesbian & Gay International Film Festival.

28/09/10

Emmanuel Peillet Photographe Expo à Reims, Bibliothèque Carnégie

Emmanuel Peillet Photographe
Bibliothèque Carnegie, Reims

Jusqu'au 2 octobre 2010

emmanuel_peillet_photographe

Affiche de l’exposition © Ville de Reims et L'Hexaèdre, éditeur
Photo d’Emmanuel Peillet sur l’affiche © Rafael de Luc

Emmanuel Peillet (1914-1973), philosophe né à Reims, professeur de philosophie à Reims puis à Paris, fut aussi un photographe passionné. La bibliothèque Carnegie à Reims, qui dispose d’un fonds important de photographies du philosophe, a organisé la première rétrospective consacrée au photographe et philosophe depuis cinquante ans. Au total, 130 clichés sont dévoilés au public, portraits, natures mortes, surimpressions, mises en scènes inattendues d’où filtrent humour et ironie, mais aussi séries photographiques sur la Champagne d’après-guerre et paysages ardennais…

Depuis 2004, Rafael de Luc a fait don à la bibliothèque municipale de Reims de nombreux documents concernant Emmanuel Peillet : on trouve aujourd’hui dans ce fonds des archives privées, des manuscrits, des brouillons, des notes, des lettres, des coupures de presse… Mais la partie la plus remarquable du fonds est certainement l’immense collection de clichés qu’Emmanuel Peillet réalisa entre 1936 et 1973 : plus de 8000 négatifs, plusieurs centaines de tirages, et 15 albums… parmi lesquels la bibliothèque Carnegie a sélectionné 130 clichés, imprimés sur canson à partir de négatifs restaurés.

 

Photographies de EMMANUEL PEILLET Photographies d’ EMMANUEL PEILLET © Rafael de Luc

 

Philosophe, Emmanuel Peillet a été cofondateur du "Collège de pataphysique" et également l'un des initiateurs de l’Oulipo. Photographe, il prenait ses photos  avec un Leica 24x36 puis un Rolleiflex 6x6. L'exposition Emmanuel Peillet photographe retrace l’histoire de ses travaux depuis ses premières superpositions surréalistes dans les années 1940, jusqu’aux châteaux et églises de la vallée de l’Ardre, et aux études rimbaldiennes réalisées dans les Ardennes dans les années 1950. Enfin, dans la dernière période de sa vie, le philosophe, qui s’installe à Lozère-sur-Yvette après avoir quitté le laboratoire photographique de son domicile rémois, passe du noir et blanc à la couleur et commence à se concentrer presque exclusivement sur ses cactus. Il aura ainsi pratiqué la photographie toute sa vie durant, avec application comme avec inspiration, allant parfois jusqu’à calculer, pour obtenir la lumière voulue, l’heure exacte du cliché : « un éclairage de cinq heures du soir, quelque chose d’inoubliable », disait-il à Henri Bouché, lors d’une expédition dans la vallée de l’Ardre.

Catalogue Emmanuel Peillet photographe, coédité par L’Hexaèdre éditeur et la Ville de Reims, 160 p., 20 x 20, comprenant les 130 photos de l'exposition -  20 €
Avec des textes de : Remy Bellenger, Paul Gayot, Matthieu Gerbault, Christophe Henrion.

Bibliothèque Carnegie
2, place Carnegie
51100 Reims

Site internet de la Ville de Reims : www.reims.fr
Bibliothèque municiaple de Reims : www.bm-reims.fr

Autres messages récents du blog sur les expos à Reims :

Exposition de Stéphanie Aubin et Arnaud Baumann, Palissade des Halles du Boulingrin, Jusqu'au 20 novembre 2010

Nos meilleurs souvenirs, Expérience Pommery #8 - Jusqu'au 31 mars 2011

____________________

L'Hexaèdre, co-éditeur du catalogue de l'exposition, a également édité 18 cartes portales de photos de Emmanuel Peillet faisant partie de l'exposition.

L'Hexaèdre a également édité ou réédité des livres d'Emmanuel Paillet :

Emmanuel Peillet, Canticum canticorum, 2nde édition piqûre métal, 15 €
Emmanuel Peillet, Philosophie du Départ, 64 p, 13x18 cm, Broché piqûre - 13 €
Emmanuel Peillet, L’Ordre, 64 pages, 13 x 18 cm, Broché cousu - 13 €
Emmanuel Peillet, A l’amiable, 128 pages, 24 x 24  cm - 62 collages, impression quadri (offset) sur papier couché mat 170g  cousu collé - 99 €
Emmanuel Peillet, Antonin Artaud, 64 pages, 13 x 18 cm, Broché cousu - 13 €

Et, toujours chez le même éditeur, une biographie consacrée à Emmanuel Paillet : Ruy Launoir, Biographie d’Emmanuel Peillet, 17 x 23 cm, Broché avec rabats, 400 pages, plus deux cahiers photos (n/b et couleur) de 16 pages, plus de 200 illustrations, dont de nombreuses inédites. 30 €

Site de l'éditeur où il est possible de commander en ligne : www.hexaedre.fr

Roy Lichtenstein, Museum Ludwig Cologne - Art as Motif

Roy Lichtenstein: Art as Motif 
Museum Ludwig Cologne
Through 3 October 2010

The halftone dots used by Roy Lichtenstein (1923-1997) are world famous. Taking motifs from the realms of comics and consumerism, Lichtenstein made paintings by piecing together dots and coloured surfaces. But a very different side of his work can be discovered at this exhibition in Museum Ludwig in Cologne (Germany). Around 100 exhibits, chiefly large-scale paintings along with a number of sculptures and drawings, reveal his fascinating explorations of style through the history of art – from Expressionism and Futurism to Bauhaus and Art Deco. Lichtenstein even appropriated works by his artist heroes - Picasso, Matisse, Mondrian and even Dali - and interpreted them in an often ironic and cryptic manner using his own visual language.

Poster of the exhibition Roy Lichtenstein: Kunst als motiv at Museum Ludwig, Cologne
Poster of the exhibition at Museum Ludwig, Cologne

Many of his early works are based on historic American paintings, such as by Benjamin West. But he also painted after such models as Picasso, Braque and Klee, who according to his own words he worked into an “expressionist Cubism”.

Indeed, Lichtenstein even continued his takes on Picasso later on, once he had already begun to work with the half-tone dots. In his hands, Picasso’s works became a kind of comic and received a character all of its own. Painting a work that clearly resembled Picasso was, according to Lichtenstein, a liberating act.

With his Perfect and Imperfect Paintings Lichtenstein wanted to create abstract works purely for their own sake. According to him, the idea was to let the line start at some point and then to follow it, thus allowing it to draw all of the shapes in the painting. In his “Perfect Paintings” the line ended at the edge of the canvas, while in the “Imperfect Paintings” the line went beyond the bounds of the canvas; this was in fact a humorous play on the idea of the “shaped canvases”, which were very popular in the 1960s.

Roy Lichtenstein’s large-scale paintings from the series “Brushstrokes” show nothing more than gigantic, stylised, comic-like brushstrokes on canvas. This motif has great significance in the history of art: it is a symbol of painting or indeed art per se, and testifies to Lichtenstein’s reflections on paintings about painting.

Roy Lichtenstein also reworked classic motifs, such as the Laokoon group using stylised brushstrokes, which he sometimes applied to the canvas with stencils and sometimes by hand using expressive gestures. The brush stoke became the dominant motif and superimposed itself on the subject. So once again, his actual theme was painting as such.

Apart from this, Roy Lichtenstein also turned his mind to the classic genres of the still life and the landscape. His strongly simplifying style of painting allowed him to capture his subjects in a kind of cliché. Here again he continued to reference Picasso, as well as Matisse. And he also cited his fellow countrymen who specialised in marine still lifes. For his landscapes he took the background of comic drawings as his basis.

Museum Ludwig has the largest collection of American Pop Art outside of the USA, including numerous works by Roy Lichtenstein. Prior to the exhibition, the Peter and Irene Ludwig Foundation has managed to acquire another large-scale work from Lichtenstein’s late period. The 2.80 x 1.30 m canvas from 1996 comes from a series of works inspired by Asiatic motifs. During the mid-nineties Roy Lichtenstein took a long look at Chinese and Japanese landscape painting.

After completing the Lichtenstein exhibition it is worth taking a tour round the permanent collection at Museum Ludwig, which presents fascinating cross-connections and comparisons with works by Léger and Picasso and even Kirchner and Dalí.

The exhibition was organised in close co-operation with the Roy Lichtenstein Foundation. It was shown from January till May in a different form in Milan’s “Triennale di Milano” under the title “Roy Lichtenstein: Meditations on Art”. It was curated by Gianni Mercurio, who has worked with Stephan Diederich for the exhibition at Museum Ludwig.

A documentary film on Roy Lichtenstein is also on view at the exhibition containing hitherto unreleased material from international archives, as well as excerpts from Michael Blackwood’s film Roy Lichtenstein from 1976 and passages from interviews with Diane Waldman and Martin Friedman.

The exhibition is accompanied by an extensive catalogue with numerous reproductions published by DuMont.

The exhibition is generously supported by RheinEnergie AG as a Museum Ludwig Partner, and Ströer Out-of-Home Media AG as a Media Partner.

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Other current exhibitions at Museum Ludwig Cologne: La Bohème. The Staging of Artists in photography of the 19th and 20th century, Through January 2011

Upcoming exhibition at Museum Ludwig Cologne: Suchan Kinoshita: In 10 Minutes, 9 October 2010 - 30 January 2011.

Suchan Kinoshita Museum Ludwig Cologne

Suchan Kinoshita: In 10 Minutes
Museum Ludwig Cologne
9 October 2010 - 30 January 2011

The Museum Ludwig and SUCHAN KINOSHITA (born in 1962 in Tokyo, lives in Maastricht and Münster) will receive the Fine Arts Prize of the Board of Trustees of the Plastics Industry (Kunstpreis des Kuratoriums der Kunststoff-Industrie). This prize will enable the Japanese-German artist to have a solo exhibition in the Museum Ludwig’s largest sun-lighted gallery.



Suchan Kinoshita, "Set" mit "Uhr",
Installation at the van AbbeMuseum, Eindhoven, March 2010
© Suchan Kinoshita, Photo: Nicholas Burrough

Contrasts play a central role in Kinoshita’s work: sound and silence, distance and nearness, permanence and fleetingness. These themes are not just coincidentally related to theatre and music. For Kinoshita (pronounced keen-OSH-ta), who came to Cologne in 1981 to study at the music academy, this connection is natural. Her work is often located at the crossroads of theater, music and visual art.

In her exhibitions, Suchan Kinoshita creates a subtle interplay of objects, sounds and spatial perception. This invites the visitor to move through the installation and regard things alone or in their varying interrelationships. In addition to her experience in theatre and music, her examination of zen and the haiku also find their way into her work. The exhibition thus acquires a contemplative tone that emphasizes the open and associative character of Kinoshita’s art.



Suchan Kinoshita, "Isofollies" und "Dia-Guckies",
Installation at Galerie Nadja Vilenne, Lüttich, 2009
© Suchan Kinoshita, Courtesy Galerie Nadja Vilenne

At the Museum Ludwig, Kinoshita will assemble a selection of earlier and new works that are chosen distinctly for the way they will work together in the large gallery. Exhibition of her earlier works allows new insights into, and access to, her complex methods. She consistently questions the roles of actor and spectator, but through varying means. Thus not only the artist, but also (and perhaps more importantly) viewers and art objects have a voice.



„Detournement“, If I Can’t Dance, I Don’t Want To Be Part Of Your Revolution, 
van Abbemuseum Eindhoven, 19.-20. 3. 2010
Copyright: Suchan Kinoshita
© Suchan Kinoshita, Photo: Peter Cox and van Abbemuseum, Eindhoven

Within the space, Kinoshita will place numerous small and large sculptures on tables, on the gallery floor and on shelves. They are separate groups of work – from small, almost delicate “Guckies” (altered slide viewers that alienate and make the small look monumental), to the fragile “Clocks” (irregular hourglasses filled with fluids that measure time by different speeds), to the solid “Isofollies” (detritus wrapped up in black plastic sheeting and made into an independent sculpture of new value). Filmed performances with a play of light and language will also be shown. The exhibition might thus be seen as comprising many singular shows that can stand alone and still come together.

The Fine Arts Prize of the Board of Trustees of the Plastics Industry was founded in 2002. Since then it has been awarded every other year to a museum for the successful advocacy of contemporary art. The prize of €50,000 is intended at the same time to make possible the significant exhibition of an outstanding artist who has rendered service in the education and advocacy of younger artists. Previous prize holders have been: the Städel Museum, Frankfurt and Thomas Bayrle, 2002; the Kunsthalle Düsseldorf and Fritz Schwegler, 2004; the Galerie Neue Meister, Dresden and Martin Honert, 2006; and the Weserburg, Bremen and Jean-François Guiton, 2008.

Current exhibition at Museum Ludwig, Cologne
Roy Lichtenstein. Art as Motif, Through 3 October 2010

Museum Ludwig Cologne
Heinrich-Böll-Platz
50667 Köln


Expo Photo Reims Boulingrin Photographies Arnaud Baumann Chorégraphie Stéphanie Aubin

Jeu de société  
Une chrorégraphe, un photographe et 100 rémois
Exposition de Stéphanie Aubin et 
Arnaud Baumann
Palissade des Halles du Boulingrin, Reims
Jusqu'au 20 novembre 2010


Affiche de l'exposition © Ville de Reims
avec des photographies de © Arnaud Baumann


C'est une excellente exposition que l'on peut voir à Reims. 290 photographies réalisées par Arnaud Baumann sont exposées sur la Palissade des Halles du Boulingrin. Les photos représentent 100 rémois et rémoises exerçant les métiers les plus divers – apiculteur, prêtre, agent SNCF, maître nageur, retraité, professeur – en tenue de travail ou non, souvent en pleine action. Le projet a débuté par une dizaine de séances photo de 3 heures en début d’année et débouche aujourd'hui  sur de véritables « phrases chorégraphiques » présentées, en images, dans le centre ville de Reims, sur l’un des sites les plus représentatifs d’une ville qui affiche son dynamisme.

La règle du jeu ? Une personne amorce un mouvement. Une suivante le poursuit. Un autre enchaîne. Le tout photographié par Arnaud Baumann, et chorégraphié par Stéphanie Aubin, directrice du Manège de Reims. C'est à peu près ainsi que les photos ont été réalisées. Et le résultat est excellent. Guidés, mis en scène, par la chorégraphe Stéphanie Aubin, les habitants de Reims ainsi photographiés font de très bons acteurs de toutes sortes de situations, parfois totalement décalées. Comme l'aime Arnaud Baumann, l'exposition présente des 'séquences photographiques'. Une belle mise en scène, de bons interprètes et de belles photographies de la vie en société, avec ses acteurs, leurs différences, les liens qu'ils nouent entre eux, de l'action, de la spontanéité, de la vie...

L'exposition de la chorégraphe Stéphanie Aubin et du photographe Arnaud Baumann a été inaugurée le 18 septembre, journée du Patrimoine, et elle se termine le 20 novembre.

Site de la Ville de Reims : www.reims.fr

Exposition Artistes Russes Enghien-les-Bains Centre des Arts

What we hear and what faces us 
National Centre for Contemporary Arts, Moscou
Vois ce que j'entends
Centre des Arts, Enghien-les-bains
Jusqu'au 17 décembre 2010

Une exposition originale à Enghien-les-bains au Centre des Arts présente le travail d'artistes russes en lien avec le Centre national pour les arts contemporains de Moscou. Le projet What we hear and what faces us  ou littéralement Vois ce que j’entends est consacré aux phénomènes de perception et de visualisation des sons. Au fil de cette exposition, des émissions sonores donnent lieu à des 'acoustiques visuelles' singulières et oniriques ; on découvre alors le répertoire d’un langage qui devient la trame de figurations souvent poétiques, s’enrichissant via les technologies actuelles, de formes vidéo, photographiques ou encore animées. 

What we hear and what faces us se présente comme un projet en deux temps. Un premier volet "historique" réunit les artistes Arseny Avraamov (1885-1944), Evgeny Sholpo (1891-1951), Nikolay Voijnov (1900-1958) et Boris Yankovsky (1905-1973). Viennent ensuite un certain nombre d’artistes contemporains jouissant de la plus grande reconnaissance dans le milieu des arts visuels russes et dont la créativité dépasse largement les frontières du pays. Ainsi les installations sonores de Vladislav Efimov, N.Y. Group (Nadya & Yuriy), Project  « Generation Z », Vladimir Tarasov, Leonid Tishkov et Vadim Zakharov donnent lieu ici à de nouvelles entités artistiques, révélant le potentiel visuel de ces présences acoustiques. 

Co-commissariat : National Centre for Contemporary Arts, Moscou  et le Centre des Arts, Enghien-les-Bains 

Artistes : Arseny Avraamov, Vladislav Efimov, N.Y. Group (Nadya & Yuriy), Project « Generation Z », Evgeny Sholpo, Vladimir Tarasov, Leonid Tishkov, Nikolay Voijnov, Boris Yankovsky, Vadim Zakharov 

L'édition d’une publication spécifique est prévue par le CDA.

Cette exposition bénéficie  soutien de Culturefrance.

CDA - Centre des Arts
12-16 rue de la Libération
95880 Enghien-les-Bains

Horaires : mardi-vendredi, 11h-19h - samedi, 14h-19h - dimanche, 14h-18h
Accès en train depuis Paris : à 15 minutes de la gare du Nord - trains tous les quarts d’heure
Transilien direction Pontoise ou Valmondois - Arrêt Enghien les Bains

www.cda95.fr

24 septembre - 17 décembre 2010

26/09/10

Expo Photo Harry Callahan Fondation HBC Paris

Harry Callahan, Variations
Fondation HBC, Paris  
Commissaire de l'exposition : Agnès Sire
Jusqu'au 19 décembre 2010

La photographie est une aventure, tout comme la vie est une aventure. Si une personne veut s’exprimer photographiquement, elle doit absolument comprendre sa propre relation à la vie -- HARRY CALLAHAN, Minicam Photography, Vol.9, 1946.

HARRY CALLAHAN, Chicago, 1960
© The Estate of Harry Callahan 
Courtesy Pace/MacGill Gallery, New York

Je voulais voir combien de photographies différentes je pouvais rassembler en jouant avec les variations d’une même idée. -- HARRY CALLAHAN, Nude: Theory, Lustrum Press, 1979, p. 30

L’exposition de la Fondation HCB, organisée dans le cadre du trentième anniversaire du Mois de la Photo, rassemble plus d’une centaine de tirages noir et blanc, réalisés par l’auteur et provenant de collections publiques, la Maison européenne de la photographie (Paris) et le musée d’Art moderne (New York), de la Galerie Pace/MacGill représentant la famille, et d’une collection privée. Cette présentation permet de découvrir les thèmes de prédilection du photographe – la ville, sa famille et la nature, trois axes intimement liés à sa vie personnelle, qui vont se conjuguer jusqu’à la fin.  

La ville, essentiellement les passants, perdus dans leurs pensées, à Detroit, Chicago et Providence ; sa femme Eleanor et leur fille Barbara, la nature, bien souvent des paysages ou des détails sans ciel, à l’exception de son travail à Cape Cod. Pas du tout intéressé par les récits en images, Callahan est le photographe de l’intuition, de la foi absolue dans le médium photographique. Ses obsessions intimes récurrentes constituent le rythme essentiel de son œuvre : J’avais envie de revenir sans cesse aux mêmes idées, sachant qu’elles seraient différentes tout en étant les mêmes, Harry Callahan, 1977, cité dans Photographer at work, Center for creative photography, 2006, p. 50 

BIOGRAPHIE DE HARRY CALLAHAN (1912-1999) 

Né en 1912 à Détroit dans le Michigan, Harry Callahan étudie les mathématiques pendant une année à l’université de Lansing, (Michigan). Il rencontre et épouse Eleanor Knapp en 1936 et, pour subvenir aux besoins de sa famille, accepte un emploi aux usines Chrysler. Il achète son premier appareil photo en 1938 et adhère au photo-club de Detroit. Autodidacte talentueux, Callahan découvre, fasciné, le travail d’Ansel Adams lors d’une conférence organisée en 1941. Cette rencontre bouleverse sa manière de photographier,  cela m’a complètement libéré. D’abord pratiquée comme un loisir, la photographie devient pour Callahan une véritable addiction, un moyen pour apprendre à se connaître et découvrir le monde. C’est pour cette raison qu’il s’intéresse aux sujets qui lui sont proches, comme sa femme mais également la nature et la ville. Bien que la fin des années trente ait vu l’éclosion de la photographie engagée et la multiplication des supports qui offraient des tribunes (et aussi des emplois) aux reporters, Callahan se considère comme  pas concerné (unconcerned) : il n’est pas un raconteur d’histoires (story teller), il n’y a pas de récit photographique dans son travail, mais une tentative compulsive de donner forme à son expérience intérieure. En apparence très formelles, ses images ont en fait une puissance émotionnelle profonde.

L’acte photographique se résume pour moi à être au  bon endroit au bon moment en fonction de mon humeur -- HARRY CALLAHAN, Landscape Theory, Lustrum Press, 1980   

En 1946, il commence sa carrière d’enseignant de photographie presque malgré lui, à l’Institute of Design de Chicago puis à la Rhode Island School of Design de Providence. Pendant trente ans, en se basant sur son expérience et son œuvre, il apprendra à ses élèves à photographier autrement, à rechercher la pureté d’une expression. Au fil des ans, il se lie d’amitié avec des artistes comme Mies Van der Rohe, Edward Steichen, Aaron Siskind, Hugo Weber qui ont beaucoup compté dans sa vie et son travail. Pendant plus de soixante ans, Callahan s’est concentré sur les mêmes sujets. Il était un pur croyant du médium, il avait foi en la photographie. Patient, méthodique et concentré, il allait jusqu’au bout d’une idée pour obtenir la photographie désirée. Il s’est essayé à plusieurs techniques comme les multi-expositions ou les collages. A partir de 1977, il travaille exclusivement en couleur. Distingué par de nombreux prix et bourses, il termine sa vie à Atlanta et décède en 1999.  

CATALOGUE DE L'EXPOSITION

HARRY CALLAHAN, Variations
Publié par © STEIDL
HARRY CALLAHANVariations
Publié par © STEIDL
Photos du livre © The Estate of Harry Callahan 
Harry Callahan, Variations, Steidl, 208 pages, 113 illustrations. Introduction à l’œuvre de Harry Callahan écrite par John Szarkowski en 1976, essai de Callahan sur sa photographie traduits pour la première fois en français. 35 euros.

Harry Callahan, Variations
Fondation HBC, Paris
7 septembre - 19 décembre 2010

Les Conversations de la Fondation HCB - Rencontres à Paris avec des acteurs de la scène photographique

Les Conversations de la Fondation HCB 

La Fondation Henri Cartier-Bresson (HBC) propose un cycle de conversations deux fois par trimestre autour de la photographie. Ces rencontres sont menées par Quentin Bajac, chef  du cabinet de la photographie au Centre Pompidou, avec différents acteurs de la scène photographique : photographes, conservateurs de musées et responsables d'autres lieux d'exposition, commissaires d'exposition, historiens...


Prochaines conversations à la Fondation HBC :  

Mercredi 13 octobre 2010 de 18h30 à 20h 

Des nouveaux lieux pour la photographie : Le Bal (Paris) et Le Point du Jour (Cherbourg-Octeville) 
Avec Diane Dufour, directrice du Bal 
et l’équipe de direction du Point du Jour. 

Nous avons présenté Le Bal dans le message suivant : Le Bal, Lieu d'exposition photos à Paris

Mercredi 15 décembre 2010 de 18h30 à 20h 

Ecrire les débuts de la photographie. « Primitifs de la photographie. Le calotype en France (1843-1860) » : retour sur une exposition
Avec Sylvie Aubenas, directrice département des estampes et de la photographie à la BnF 
et Paul-Louis Roubert, maître de conférences à Paris VIII, commissaires de l’exposition. 

Si vous souhaitez participer, vous devez vous inscrire auprès de la Fondation HBC : 

Fondation Henri Cartier-Bresson - HBC - Paris - Un lieu d'exposition pour les amateurs de photographie

La Fondation Henri Cartier-Bresson

Reconnue d’utilité publique par décret du 11 mars 2002, la Fondation Henri Cartier-Bresson a ouvert au public le 2 mai 2003. Ni musée, ni mausolée, cette institution a pour but avant tout de faire rayonner l’esprit d’Henri Cartier-Bresson. La grande particularité de la Fondation HCB est d’être ouverte aux autres artistes, sculpteurs, peintres, dessinateurs ou cinéastes, photographes anciens, modernes et contemporains dont le travail  s’inscrit dans l’esprit défendu par Cartier-Bresson. 

Installée dans un élégant atelier d’artistes de Montparnasse construit par Molinié en 1912, primé en 1913 et rénové par le cabinet d’architectes Ceria et Coupel, la Fondation HCB présente tour à tour des œuvres de Cartier-Bresson ou d’autres artistes, au rythme de trois expositions par an.  

La visite des deux salles d'exposition à la muséographie soignée peut être complétée par l'accès du public au troisième niveau. Ce très bel espace à la verrière classée est un lieu de repos mais aussi d'information et de documentation audiovisuelle, où sont exposées en permanence des œuvres de Cartier-Bresson. 

La Fondation HCB a pour but de préserver le patrimoine artistique de Cartier-Bresson en un seul et même lieu : constitué de tirages d’époque, de livres, de publications, de correspondances, de planches contact…, ce fonds sera mis à terme à la disposition des chercheurs qui en feront la demande.  Seule fondation privée dédiée à la photographie en  France, la Fondation HCB doit trouver des partenaires qui lui permettent la restauration parfaite de ce fonds et la présentation d’expositions de qualité.  

Tous les deux ans, la Fondation HCB décerne le prix Henri Cartier-Bresson, une bourse de 30.000 euros destinée à soutenir le projet d’un photographe présenté par une institution. Le projet du lauréat est exposé dans les 18 mois suivant sa nomination par un jury international. Le lauréat du Prix HCB 2009 est David Goldblatt pour son projet « TJ ». L’exposition aura lieu à la Fondation HCB de janvier à avril 2011. 

La Fondation HCB organise par ailleurs des conversations bimestrielles autour de la photographie - menées par Quentin Bajac, chef du cabinet de la photographie au Centre Pompidou.  

Magnum Photos continue de gérer la diffusion des images de Cartier-Bresson ainsi que les tournées d’expositions.  


Fondation HBC : infos utiles

adresse
2, impasse Lebouis
75014 Paris
tel : 01 56 80 27 00

horaires d'ouverture
du mardi au dimanche de 13h00 à 18h30
le samedi de 11h00 à 18h45
nocturne gratuite le mercredi de 18h30 à 20h30
dernière entrée 30mn avant la fermeture
fermé lundi et jours fériés

métro
Gaîté, ligne 13, sortie n°1, vers la rue de l’Ouest
Edgar Quinet, ligne 6, vers la rue de la gaité

bus 
Ligne 28 et 58 arrêt Losserand-Maine
Ligne 88, arrêt Jean Zay - Maine

tarifs
plein tarif 6 euros
tarif réduit 3 euros
gratuit pour les Amis de la Fondation HCB
gratuit en nocturne le mercredi (18h30 - 20h30)

infos : www.henricartierbresson.org

Un appareil photo simple et efficace : le nouveau Pentax Optio LS1000

Nouveau compact numérique
Pentax Optio LS1000


Pentax propose des appareils photos pour chaque type de photographe. En même temps que son reflex moyen format 645D, au prix de 9999 €, présenté dans le message précédent, Pentax annonce la sortie, pour la mi-octobre 2010, de son dernier compact numérique, l'Optio LS1000, au prix de 99 €.

PENTAX OPTIO LS1000 - Photo © Pentax

Compact, léger, sobre, simple à utiliser, l'Optio LS1000 est un appareil photo d'entrée de gamme qui, pour un prix tout à fait raisonnable, dispose d'un ensemble complet de fonctions. L'Optio LS1000 est équipé d'un zoom optique 4x grand angle et d'un capteur de 14 mégapixels. Il est doté d'un écran LCD de 3 pouces et permet de réaliser des séquences vidéo en HD. Sa taille : celle d'une carte de crédit.

Les 14 mégapixels dont dispose l'Optio LS 1000 permettent de recadrer les images et de pouvoir tirer une photo de bonne qualité de la partie recadrée. Ce nombre important de mégapixels permet également de pouvoir faire des agrandissements de vos photos qui seraient impossibles si, par exemple vous aviez prise la photo avec un téléphone mobile ne disposant que d'un capteur de 3 mégapixels.

L'écran LCD 3 pouces est suffisant pour visualiser ses photos sur l'appareil lui-même. Sachant qu'il est difficile de disposer d'un écran plus grand sur un appareil photo faisant la taille d'une carte de crédit :)

L'objectif de l'Optio LS1000 permet de réaliser des photos de scènes larges. Il s'agit d'un objectif grand angle (4,9 à 19,6mm) qui est idéal, par exemple, pour prendre des photos de paysages, de monuments ou de groupes. Le zoom x 4 permet en outre de facilité le cadrage de votre prise de vue. Vous pouvez zommer davantage, jusqu'à 26,8x. Avec la fonction "zoom intelligent" votre photo ne sera pas trop "déteriorée" mais elle sera tout de même de moins bonne qualité qu'en utilisant le zoom jusqu'à 4x. En effet, au delà de 4x ce n'est plus le zoom optique que vous utilisez mais le zoom numérique qui, quelque soit l'appareil utilisé entraîne toujours une dégradation de l'image. Cela ne pose en fait de réel perte perceptible de qualité de la photo si vous l'agrandissez ou souhaitez un tirage d'une partie trop recadrée de la photo.

PENTAX OPTIO LS1000 - Photo © Pentax

Le Pentax Optio LS1000 dispose d'un mode "Auto Picture" qui sélectionne automatiquement le mode de prise le plus adéquat parmi les 15 modes  scènes intégrés (8 modes classiques et 7  nouveaux modes dont « coucher de soleil »  et « ciel bleu »).  Les différents réglages, comme  la sensibilité et la vitesse,  sont  optimisés  afin  d’assurer  les meilleurs résultats avec un minimum d’effort.  

Doté du mode « priorité visage », l’Optio LS1000 détecte automatiquement et instantanément les visages présents dans son champ de vision et assure la mise au point pour un meilleur rendu.  Il intègre également la fonction « détection du sourire » qui déclenche la prise de vue dès qu’il détecte un sourire sur le visage du sujet. A Wanafoto nous l'appelons le mode "tu me tiens par la barbichette". Si vous comprenez pourquoi n'hésitez pas à laisser une explication en commentaire. Si vous ne voyez pas pourquoi vous pouvez nous poser la question en commentaire. Nous vous répondrons très très rapidement :)


PENTAX OPTIO LS1000 - Photo © Pentax

L’Optio LS1000 capture des vidéos de qualité HDTV (1280 x 720 pixels). Pour éviter les  flous de bougé et garantir des clips de qualité, il est également équipé du mode sophistiqué Movie SR (Shake Reduction) qui compense les secousses éventuelles de l’appareil lors de l’enregistrement.  

Pour exprimer votre créativité, l'Optio LS1000 dispose neuf filtres numériques différents. Il est également possible d’appliquer des  filtres multiples à une  seule  image pour des effets visuels plus inventifs.  Enfin, vous pourrez aussi ajouter des effets visuels divers aux images enregistrées, le tout sans avoir besoin de passer par un ordinateur.

PENTAX OPTIO LS1000 - Photo © Pentax


Autres caractéristiques du Pentax Optio LS1000
- La fonction Digital Blur Removal compense les tremblements lors des prises de vues.  
- Le Mode Rafale offre une vitesse de 16 images en deux secondes (fixée à 640 x 480 pixels). 
- Le mode Suivi par anticipation des sujets en mouvement (Auto-tracking AF) permet de garder la netteté sur un sujet en mouvement. 
- Mode numérique Panorama afin de créer une seule image panoramique à partir de 3 photos 
- Le Mode Vert permet d’optimiser automatiquement les réglages lors d’une prise de vue. 
- L’Optio LS1000 dispose de 20 cadres créatifs que l’on peut sélectionner avant la prise de vue.  
- Le logiciel MediaImpression 2.0 est  fourni avec  le  compact PENTAX pour  la  visualisation  l’édition et  le stockage d’image (compatible avec les derniers systèmes d’exploitation, y compris Windows 7 et Mac OS X 10.6. 

Reflex Moyen Format Pentax 645D Les caractéristiques et les photos de ce superbe appareil 40 MP

REFLEX MOYEN FORMAT 
PENTAX 645D

En voilà encore un qui va en faire rêver plus d'un et plus d'une : le moyen format Pentax 645D. Et, en plus, sa sortie est prévue juste au moment de la période de cadeaux : en décembre ! En voici les principales caractéristiques et des photos de cette "petite" merveille.

PENTAX 645D - Photo © Pentax

Le PENTAX  645D est équipé du capteur CCD KODAK  haute performance. Les dimensions du capteur sont  44 x 33mm soit 1,7x plus grand que le format 24 x 36mm. Grâce à sa très haute définition d’environ 40 MP, il bénéficie d’une plage dynamique élargie pour des images détaillées dans les hautes et les basses lumières. De par ses dimensions, sa maniabilité et sa tropicalisation le PENTAX 645D est destiné aussi aux prises de vue en studio que pour les prises de vue en extérieur au dessus de - 10°. Avec le 645D, Pentax vise aussi bien un public de professionnels que d’amateurs experts. Chez ces derniers, il existe un réservoir non négligeable de clients à la recherche d'un matériel de type professionnel et qui seront attirés par le format proposé (moyen format), à un prix qui peut apparaître raisonnable dans cette gamme d'appareils.

Processeur d’image PRIME II 
Le PENTAX 645D est doté du processeur d’image PRIME  (Pentax Real  Image Engine) deuxième génération. Ce processeur ultra rapide bénéficie d’un nouvel algorithme pour des images plus riches en nuances et aux couleurs réalistes. Le PRIME II permet un transfert rapide des données rapide. Cela permet une utilisation professionnelle au format RAW. 

PENTAX Convertisseur A/N 14bits 
La conversion du signal est sur 3x14 bits. Cela permet d’augmenter la quantité de nuances enregistrées par le capteur et d’améliorer les images à fort contraste. 

PENTAX 645D - Photo © Pentax


Robustesse du boîtier 
La coque du PENTAX 645D est fabriquée en magnésium qui offre l'avantage de la légereté en même temps que la robustesse. Le châssis est en aluminium. Les matériaux utilisés pour ce niveau d'équipement ne doivent être bien plus solide que le matériel courant. Cela explique aussi leur prix. Ils sont destinés à une utilisation quotidienne intensive et doivent pouvoir être utilisés dans des situations (température, humidité, sable, petits chocs...) que ne suportent pas longtemps les appareils amateurs ou semi-pro. C'est vrai pour la coque et le chassi mais aussi pour d'autres éléments. Les deux écrans situés au dos et sur le dessus de l’appareil sont équipés d’un verre spécial pour une plus grande protection (anti-rayures). L'appareil est doté de 70 joints de protection, d'un système anti poussières et d'un obsturateur solide. La résistance thermique de l'appareil doit lui permettre d'aller jusqu’à - 10° ( à éviter donc pour ceux qui souhaitent travailler en extérieur en dessous des - 10°  qui sont parfois vite atteints en hivers aux Etats-Unis ou au Canada)

Double slots SD/SDHC 
Le PENTAX 645D dispose de deux slots indépendants au format SD permettant à l’utilisateur de stocker par exemple ses fichiers RAW sur l’un et des JPEG sur l’autre. Il est également possible de paramétrer le slot n° 2 pour prendre le relais lorsque le n° 1 est plein. La gestion de ces deux slots est directement accessible à partir de touches dédiées, situées sur le boîtier. 

PENTAX 645D - Photo © Pentax

Système de nettoyage du capteur DRII 
Le PENTAX 645D est équipé d’un système de nettoyage du capteur par vibrations des lames des filtres UV et IR. Grâce à la fonction « Alerte Poussières » il vous est possible de visualiser sur l’écran l’emplacement exact des poussières persistantes. 

Nouveau système de mise au point à 11 collimateurs 
Le nouveau système de mise au point SAFOX IX+ est composé de 11 collimateurs dont neuf croisés pour une plus grande précision de mise au point requise pour un reflex moyen format numérique. Pour le développer il fallu revoir entièrement le système optique ainsi que le système d’analyse de la source de lumière. 

Cellule 77 zones de mesure 
Pour assurer une bonne analyse de la lumière, le PENTAX 645D est équipé d’une cellule comportant 77 zones de mesure. Grâce à des mini-capteurs installés à l’intérieur du boîtier les données comme l’orientation de l’image et la distance du sujet sont désormais pris en compte pour un meilleur calcul de l’exposition. 

Viseur large et confortable 
Le PENTAX 645D intègre un viseur avec prisme de forme trapézoïdale d’une couverture de champ toute proche des 100% (environ 98 %), cette forme contribue à la relative compacité du boîtier. Associé un verre dépoli clair la visée proposée par le 645D est confortable et lumineuse. 

PENTAX 645D - Photo © Pentax


Le PENTAX 645D dispose de plusieurs modes d’exposition
-  Le décalage Programme qui permet de passer ponctuellement en mode priorité ouverture et priorité vitesse 
-  Hyper Manuel permet grâce à la touche « verte » de revenir instantanément en mode tout auto lorsque l’appareil est paramétré en mode M 
-  Priorité à la sensibilité 
-  Priorité ouverture 
-  Priorité vitesse 

Doté d'un écran 3 pouces d’une définition de 921 000 pixels, le PENTAX 645D permet des prises de vue confortables et d’une très bonne qualité grâce notamment à sa taille et à sa définition. Son angle de visionnage est de 170° permettant une lecture confortable des images. L’écran a fait l’objet d’un traitement antireflet. 

Autonomie de la batterie 
Le PENTAX 645D est alimenté par une batterie Lithium Ion D-Li90 d’une autonomie moyenne de 800 images en prise de vue et de 440 min de lecture. Adaptateur secteur en option.

Autres caractéristiques 
- Plage de sensibilité : ISO Auto, de 200 à 1000, sensibilité étendue : de 100 à 1600 (1/3, 1/2 ou 1 IL)
-  Fonction HDR 
-  Elargissement de la plage dynamique 
-  Correcteur électronique de la ligne d’horizon 
-  Correction auto des distorsions et des aberrations chromatique  
-  Compatible avec les optiques à motorisation ultrasonique / baïonnette PENTAX 645AF2 compatible avec les objectifs PENTAX 645AF et 645A
-  Sortie HDMI (mini type C), AV compatible NTSC et PAL
- Système de synchronisation de flash externe sans fil avec flash compatible. + Prise synchro X
-  Logiciel PENTAX Digital Camera Utility 4  
- Dimensions 156 x 117 x 119 mm (Lxhxp) / Poids 1400 g boîtier nu

Le PENTAX 645D sera disponible courant décembre 2010. Son prix public indicatif est de 9999 € pour le boitier nu et de 10.999 € pour le kit qui inclus l'objectif 55mm f/2,8. Une jolie somme qui n'est pas étonnante pour ce type de matériel. D'autant plus qu'avec ses caractéristiques c'est un équipement censé être utilisé longtemps et que l'on sait d'ordinaire pouvoir revendre d'occasion à un prix des plus convenable pour le vendeur. Pour ceux et celles qui n'ont pas les moyens, on peut penser qu'il fera partie de la panoplie des boutiques de locations de matériel photo.
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Mises à jour du post : 

En avril 2011, la TIPA (Technical Image Press Association) a élu le Pentax 645D "Meilleur reflex numérique professionnel de l'année 2011. Rappelons que la TIPA regroupe des professionnels de la presse dédiée à la photo  représentant 29 magazines parmi les plus lus, édités dans 14 pays différents, principalement européens.



En mai 2011, le Pentax 645D est élu "Appareil photo de l'année" au Grand Prix de l'appareil photo 2011 au Japon (Camera GP Japan Awards). Ce Prix, créé en 1984, est décerné chaque année par une association professionnelle de la presse japonaise consacrée à la photographie et au matériel photo réunis au sein du CJPC (Camera Journal Press Club) qui regroupe 11 magazines. Le jury était composé de 57 membres : journalistes, éditeurs, rédacteurs, experts... ainsi que de membres du CJPC. Le Pentax 645D a été sélectionné parmi 172 nouveaux produits photo introduits au Japon entre le 1er avril 2010 et le 31 mars 2011. Le nouveau moyen format de Pentax est le 28ème appareil photo de l'année élu dans le cadre du Grand Prix de l'appareil photo japonais. Les 3 précédents appareils Pentax ayant reçus ce prix étaient le Pentax Z-1 Quartz Date en 1992, le Pentax 645N en 1998 et le Pentax K10D en 2007.